Le ministre de la Justice, Christiane Taubira, dans un portrait publié par le "New York Times" le vendredi 9 août, aborde
notamment le rapport qu'elle entretient avec la hiérarchie :
"Mon patron, c'est ma
conscience. Et ma conscience me dicte des règles qui sont vraiment… je
dirais, grandioses – elles sont rudes mais belles". "J'ai toujours fait mes choix". "J'ai toujours eu une grand liberté. J'ai toujours eu du mal avec l'endoctrinement, avec l'encartement."
En revanche, tout le monde doit marcher droit et obéir aux lois délirantes qu'elle fait voter. Pas de liberté de conscience pour les autres.