A l’occasion de la journée de Rungis, le 7 février, l’intervention de Simone Héricourt, Calaisienne, bouleversa la salle, en décrivant ce qu’était le Calais de son enfance, qu’elle aimait, et ce qu’est devenu la ville, et la vie quotidienne des habitants, harcelés par des clandestins violents, abandonnés par les autorités, et vivant dans la peur. Cette femme, venue avec son mari, pourtant gravement malade, risque d’être expulsée de chez elle, dans les prochains jours: