Personne ne la connaissait et l’on apprend son existence à la faveur d’un scandale…
Le 15 janvier, une enquête administrative a été ouverte par le ministère de l’Éducation nationale, à la suite d’accusations “de harcèlement et de maltraitance au sein du cabinet de Nathalie Elimas“. Un pré-rapport a été remis à Jean Castex il y a quelques jours, et selon une source à l’Elysée “les conclusions sont terribles” pour Nathalie Elimas, directement mise en cause. Jean Castex lui a demandé une explication sur ces accusations et le départ de Nathalie Elimas du gouvernement a été évoqué, mais “elle a refusé cette option”.
Nathalie Elimas reste donc un membre à part entière du gouvernement, un conseiller explique :
“c’est impossible de faire démissionner un ministre contre sa volonté on aurait dû organiser un remaniement.”
Un collaborateur ajoute que le président veut attendre d’annoncer sa candidature, et profiter des départs de plusieurs ministres, “pour faire partir le bébé avec l’eau du bain”. Le dossier Nathalie Elimas passera donc au milieu des autres, lors du remaniement de la campagne présidentielle.
Michel
En fait d'”éducation prioritaire”, la secrétaire d’État semble en avoir bien besoin ; 1ère leçon : comment se comporter à l’égard de ses collaborateurs …
Marcos
“Education prioritaire”, “harcèlement”, “maltraitance” ? Quelques mots d’explication SVP …
F. JACQUEL
Et si, pour raisons sanitaires, l’élection présidentielle était reportée “sine die” (jusqu’à ce que les hôpitaux ne soient plus saturés, par exemple) ?
Naturellement avec la bénédiction du Conseil Constitutionnel, suite à la rencontre très discrète entre l’homme du sang contaminé et MOUSSE-À DARD-MALIN.