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France : Politique en France

« Théâtre antifasciste »

« Théâtre antifasciste »

Marine Le Pen a été interrogée dans Le Journal du Dimanche, à propos des réticences de la classe politique à défiler aux côtés du RN :

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4 commentaires

  1. Est-ce là la vraie question ?

    N’est-ce-pas plutôt le fait qu’il faille se réjouir de ces manifestations pro israélienne qui remplacent désormais les manifestations pro islamistes et uniquement gauchistes et pro organisations palestiniennes douteuses ?

    Ce sont les racines lointaines de notre civilisation que les français défendent désormais et ce n’est pas si mal !

    Cela dit, il faudra bien qu’un jour Israël s’entende avec les Palestiniens (les gens de Palestine, pas les gauchistes islamistes) et réciproquement.

  2. Lors de la manifestation antisémite d’hier , il y avait en première ligne tous ceux qui ont favorisé cet antisémitisme qui pendant 40 ans , ont favorisé l’immigration et installé un nombre effrayant de personnes qui n’aiment pas la France , ni notre culture etc et en dernier rang, le RN qui est un des rares partis qui a lutté contre cette immigration qui maintenant , nous ne pouvons plus l’arrêter (Europe en cause etc).
    La manifestation a été un échec cuisant :c’était un rassemblement de juifs mais le problème était surtout l’absence totale de la jeunesse
    (pas un jeune ) , pas d’universitaires ,des musulmans , des partis politiques qui ont des pouvoirs d’écoute comme le RN (au dernier rang), des artistes , des sportifs :en particulier ceux qui sont suivis et écoutés comme MBappé , il n(y en avait pas un , et c’est le plus grave , ni les féministes , (mais où sont les FEMEN), les médias et et MACRON qui s’est défilé comme ç son habitude afin de ne pas fâcher les banlieues et son penchants pour cette gauche .

  3. Le grand cirque républicain continue : les acrobates du “en même temps” tente, un coup à droite, un coup à gauche, pour rester sur la corde, les dompteurs de fauves font claquer leur fouet antifasciste, les illusionnistes font des tours de passe-passe, mais hélas les clowns ne font plus rire. N’est pas Bouglione qui veut !
    Dans un petit livret intitulé “Note sur la suppression générale des partis politiques”, la philosophe Simone Weil concluait :”Il est douteux qu’on puisse remédier à cette lèpre, qui nous tue, sans commencer par la suppression des partis politiques.” De quelle lèpre parlait, la philosophe ?
    Elle remarque d’abord que le Club des Jacobins, s’il ne fut au départ qu’un club, se transforma rapidement en parti “sous la pression de la guerre et de la guillotine”. Elle poursuit : “La lutte des factions sous la Terreur furent gouvernées par la pensée si bien formulée par Tomski “Un pari au pouvoir et tous les autres en prison. Ainsi, sur le continent d’Europe, le totalitarisme est le péché originel des partis”.
    À partir de cette genèse, il est aisé de comprendre que le parti au pouvoir met tout en œuvre pour museler l’opposition. Simone Weil souligne que : “Le fait qu’ils existent n’est nullement un motif de les conserver. Seul le bien est un motif légitime de conservation.”
    La philosophe s’interroge : “Y a-t-il en eux-mêmes une partie infinitésimale de bien ? Ne sont-ils pas du mal à l’état pur ?”
    C’est en effet à ces questions essentielles auxquelles il faut répondre.
    “Il faut d’abord reconnaître quel est le critère du bien” demande-t-elle au préalable. “Ce ne peut être, selon elle, que la vérité, la justice et, en second lieu, l’utilité publique.”
    Ces deux critères : vérité et justice sont absents de la charte de tous les partis. Sinon comment expliquer tous les maux que nous inflige l’ensemble de tous les partis : avortement, euthanasie, chômage, pauvreté, etc. Sans omettre, non plus, les décisions prises par ses partis dans les domaines essentiels, tel la souveraineté de la Nation et la survie de notre civilisation. “Seul ce qui est juste est légitime” affirme Simone Weil. Comment ne pas être d’accord avec elle ?
    Poursuivant son analyse, elle soulève la question suivante : “Comment donner en fait aux hommes qui composent le peuple de France la possibilité d’exprimer parfois un jugement sur les grands problèmes de la vie publique ? Comment empêcher, au moment où le peuple est interrogé, qu’il circule à travers lui aucune espèce de passion collective ?” Et de noter enfin : “Si on ne pense pas à ces deux points, il est inutile de parler de légitimité républicaine.”
    Sur absolument tous les sujets qui engagent la Nation toute entière et qui, concernent tous les hommes, non seulement nous ne sommes pas consultés, mais lorsque, extraordinairement, nous sommes interrogés, les débats sont tronqués et manipulés par des passions collectives entretenues à dessein dans le but de discréditer les citoyens en faussant la réalité, voire en la niant.
    Je suis favorable, avec Simone Weil, de supprimer les partis politiques, car comme elle le disait :
    “SI ON CONFIAIT AU DIABLE L’ORGANISATION DE LA VIE PUBLIQUE, IL NE POURRAIT RIEN IMAGINER DE PLUS INGÉNIEUX.”

  4. j’adore ce en même temps : union nationale mais sans le RN et les zemmouriens !

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