On avait Tincq l’orgueilleux, Tincq le manipulateur, Tincq le sournois, Tincq le désinformateur, Tincq le menteur, Tincq le diviseur. On découvre aujourd’hui, Tincq le prétentieux, celui qui se permet l’erreur permanente de voir avec ses yeux de chair, voilés dans son ego par une plume qu’il croît exceptionnelle et par son rang de spécialiste du Vatican au Monde. Il s’envole dans des logorrhées verbales d’où transpirent un orgueil et une prétention inimaginables.
Dans son article du jour sur Benoît XVI, il cherche à rapetisser le Souverain Pontife en le comparant à Jean-Paul II, dont il n’aurait aucune qualité. Il le décrit comme un homme qui aurait profité de sa place cachée de second de Jean-Paul II, pour imposer une rigidité dogmatique et doctrinale qu’il doit aujourd’hui, comme Pape, tempérer et modifier en rejoingnant enfin les positions de Tincq. Mais vu son caractère quasi psycho-rigide, l’aveuglement de sa rigueur et le peu de qualités dont il dispose, il aura beaucoup de mal. Mais heureusement, Tincq interprète, juge et se présente avec ses précieux conseils et ses pseudos-analyses.
Quelle prétention méprisable… Nul ne peut comprendre ce qui se passe dans l’Eglise en ce moment, nul ne peut connaître Benoît XVI le humble, le charitable, l’intelligent, nul ne peut sentir l’action de l’Esprit Saint et de la grâce dans l’élection de Benoît XVI s’il n’a le coeur un tant soit peu ouvert à Dieu.
Le Monde a dépéché Tincq à Rome comme "envoyé spécial". Puissent la Grâce et Benoît XVI le repêcher et faire de lui à Rome un "reçu spécial" pour lui ouvrir les yeux d’un coeur de pierre, endurci par l’orgueil, fermé à la Vérité et aveuglé par sa prétention. Rien n’est impossible à Dieu…
"N’ayez pas peur, ouvrez les portes au Rédempteur"