Interrogée dans La Croix, Laurence Tiennot-Herment, présidente de l’Association française contre les myopathies, persiste dans son refus :
"Nous sommes défavorables au don fléché, car c’est – outre un coût en termes de gestion – un risque de remise en cause de la stratégie de l’association, définie par ses adhérents. Un fléchage des dons provoquerait un saupoudrage qui nuirait à notre stratégie d’intérêt général : financement de telle maladie plutôt que telle autre, investissement dans une région plutôt qu’une autre…"
Stratégie qui aujourd’hui nuit -c’est le moins que l’on puisse dire- à l’embryon éliminé à des fins de recherches.