C'est ainsi que Bernard Lebeau, pneumologue et cancérologue et professeur de médecine à l'université Pierre-et-Marie-Curie-Paris-VI, qualifie le meurtre du patient en fin de vie.
Tuer : “un fraternel geste d’amour”
6 commentaires
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senex
Evitez donc de consulter ces “frères” qui ne veulent que votre bien…!Liberté… …Égalité… Mortalité
JCM
Quand on écrit cela : “dans ces pays, le ressenti des praticiens à la réalisation de ces aides à la mort est positif du fait de l’habituelle reconnaissance exprimée par les patients et leurs familles” (sic !), on ne mérite pas tellement d’être pris au sérieux.
Les patients tués lui seraient donc reconnaissant !!!
Daquin
Les Fraternels veulent fraternellement le bien de la société
Haase
Merveilleux ! Tout comme la circoncision ou l’egorgement a vif…
Jean Theis
Oui, oui, c’est ce qui est bien écrit:
“l’habituelle reconnaissance exprimée par les défunts, pardon patients”.
Daguet Dominique
Article lu de bout en bout : l’hypocrisie n’est pas loin. On aimerait que Bernard Lebeau oublie de faire la leçon au chrétiens à propos d’amour les uns envers les autres. Je crois que l’Eglise devrait éclairer ses fidèles sur la nécessité d’attendre la mort, quand son heure arrive, dans la prière la plus fervente, quel que soit l’état de conscience. Atténuer autant que faire se peut les douleurs, mais être attentif à donner à celui qui s’en va, plutôt que le coup du bourreau (oh! comme ce médecin “aime” ses patients, on en pleurerait)le témoignage d’un amour vrai, présent, qui se donne et qui participe à la prière de libération. Cette histoire de liberté et d’égalité est assez habile, mais on sent derrière ces mots un apitoiement factice. Plutôt aider les mourants à prendre le départ sur cette route diffile plutôt qu’à le supprimer. Etc..