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Culture de mort : Euthanasie

Un jour à l’église, un autre à promouvoir l’euthanasie

Un jour à l’église, un autre à promouvoir l’euthanasie

Marine Brenier, député LR dans la cinquième circonscription des Alpes-Maritimes, commissaire aux affaires sociales à l’Assemblée nationale et membre de la Commission nationale d’investiture des Républicains, était le 19 décembre à l’église de Saint Martin Vésubie pour la sainte Barbe :

La même va déposer début janvier une proposition de loi pour légaliser l’euthanasie. Son projet prévoit :

L’aide active à mourir telle que définie dans le présent article signifie la prescription à une personne par un médecin, à la demande expresse de celle-ci, d’un produit létal et l’assistance à l’administration de ce produit par un médecin, dans un établissement de santé public ouprivé, à domicile accompagné d’une équipe de soignants spécialisés, ou dans un établissement d’une association agréée par la loi.

Toute personne majeure et capable, telle que définie par les articles 1145 et 1150 du Code Civil, en phase avancée ou terminale, même en l’absence de diagnostic de décès à brève échéance, qui se trouve dans une situation d’affection accidentelle ou pathologique avérée, grave, incurable et/ou à tendance invalidante et incurable, lui infligeant une souffrance physique ou psychique qu’elle juge insupportable ou la plaçant dans un état de forte dépendance qu’elle estime incompatible avec sa dignité, peut demander à bénéficier, dans les conditions prévues à cet article et aux suivants, d’une aide active à mourir.

Et l’ADMD se félicite :

Dans ce cadre, elle organise, conjointement avec les associations française et belge de l’ADMD, un voyage parlementaire de deux jours, les jeudi 14 et vendredi 15 janvier 2021, en Belgique, afin d’échanger avec des médecins, professeurs, avocats et parties prenantes, qui travaillent sur la fin de vie en Belgique. L’euthanasie y a été légalisée en 2002. Euthanasies d’enfants de 9 et 11 ans.

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8 commentaires

  1. et je parie qu’on lui donne la communion à cette nazi. Les LR devient un parti fasciste, j’espère que les catholiques s’en souviendront

  2. le suicide n’est pas un délit en France, alors, ceux qui envisagent de mourir “dans la dignité”, c’est-à-dire à peu près choisir le moment, n’ont qu’à planter laurier tain, laurier rose, ou, pour les adeptes de champignons, de amanites phalloïdes : succès garanti, à condition que la main ne tremble pas… au dernier moment ; et c’est là que certains voudraient un petit coup de pouce
    la liste ci-dessus n’est pas limitative : dame nature y a pensé, et l’humain a complété largement la panoplie
    l’art de e faire mousser avec rien

  3. Et réciproquement, il existe des gens qui n’ont jamais mis les pieds dans une église, ou pas encore, et qui sont de braves gens.

  4. Parents dentistes, biberonnée à la politique dès la naissance, élevée dans le marigot niçois des Estrosi, Cioti, gamine de 34 ans qui vient nous sortir le mouchoir pour faire de l’existentialisme législatif.
    Cela pue la GLFF à plein nez…

  5. La dénommée Marine Brenier envisage-t-elle d’être “en même temps” au Paradis et en Enfer dans l’autre Monde ?

  6. Stop! Les commentaires indignés ne servent à rien. Je ne saurais trop insister pour tous les catholiques, en particulier ceux qui s’expriment ici, se procurent l’inestimable ‘Catéchisme de l’Eglise Catholique’ (CEC) – moins de 10€. On y trouve toutes les références permettant de confondre les tièdes.
    Sur l’euthanasie, voir CEC 2277 (“moralement irrecevable”) et 2324 (“c’est un meurtre”). Sur la responsabilité des décideurs voir CEC 1868 (“coopération formelle”) et 1874 (“choisir délibérément… c’est commettre un péché mortel”).
    Rien n’interdit d’écrire à cette dame en lui rappelant ces articles: son salut est en jeu.

  7. Le professeur Israel, à qui on demandait ce que signifiait “mourir dans la dignité” répondait : “cela est lié au relâchement des sphincters”. J’ai participé autrefois à une émission télévisée dirigée par Bercoff, qui avait invité notamment le docteur Simon, chantre de l’avortement et de l’euthanasie, dont le principe de base était : “il faut désacraliser la vie”. Les héros de l’émission, installés au premier rang aux deux places “d’honneur”, étaient un vieux couple, composé d’un mari prostré et muet, et de sa femme excitée, volubile et péremptoire, qui rêvait de lui tendre sans tarder le cocktail lytique fatal. Glaçant! Digne du film américain”soleil vert” où l’on transforme des vieillards euthanasiés en petfoods.

  8. “Mourir dans la dignité” ne peut être le vœu d’un chrétien, car ce n’est pas imiter Notre-Seigneur.

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