Un reportage involontairement significatif : un tas de bébés jetés dans un puits c’est choquant !
Des fouilles révèlent ce qui pourrait être le plus grand infanticide de l’histoire. Une énigme troublante au cœur de l’Antiquité. ⚱️
⏰ “Cold cases de l’Antiquité”, ce soir à partir de 20h50 sur #HistoireTV pic.twitter.com/sO1QYKuVV4
— HISTOIRE TV (@histoiretv) December 8, 2024
Il s’agit de bébés jetés dans un puits à Athènes dans l’antiquité. Un reportage diffusé sur Histoire TV hier soir évoque ce sujet.
Et l’étude archéologique de ce puits écarte l’idée d’infanticides directs, mais suggère que des bébés morts dans la première semaine après la naissance n’étaient pas reconnus comme membres de la communauté humaine par la cérémonie de l’amphidromie… et que leurs restes étaient jetés sans trop de cérémonies.
Un peu comme les avortoirs en France, qui se débarrassent des restes humains sans trop de cérémonies. Avec des proportions angoissantes (plus de 600 bébés par jour).
Gaudete
Désolé mais s’ils étaient déjà morts quand on les a jetés dans le puits ce n’est pas un infanticide, c’est juste un non respect de la personne humaine. Je pense qu’en cette matière on devrait se sentir un tout petit peu humble et arrêter de donner des leçons nos politicards sont vraiment mal placés, pour rappel 220000 bébés tués dans le ventre de leur mère ce n’est pas un infanticide c’est un génocide quoiqu’en pensent les âmes prétendues charitables qui veulent prendre soin de la santé des femmes comme si être enceinte était une maladie
Garde67
Si ce que montrent les fouilles archéologiques sont exactes, cela révèle que la démocratie athénienne, hier, n’offre pas de garantie contre la barbarie. Ce qui était vrai hier l’est encore aujourd’hui dans notre démocratie républicaine, qui organise et finance les avortements et l’éducation sexuelle dès la maternelle.
Hier, Hippocrate déclarait : “J’utiliserai le régime pour l’utilité des malades, suivant mon pouvoir et mon jugement ; mais si c’est pour leur perte ou pour une injustice à leur égard, je jure d’y faire obstacle. Je ne remettrai à personne une drogue mortelle si on me la demande, ni ne prendrai l’initiative d’une telle suggestion. De même, je ne remettrai pas non plus à une femme un pessaire abortif”.
Aujourd’hui, d’autres après lui, tel le Professeur Jérôme Lejeune, demandent avec insistance que les enfants conçus dans le sein maternel, comme ceux qui ont eu la chance de naître, bénéficient de la protection de l’État et de la société. Ils réclament aussi le respect des jeunes enfants livrés à la sexualité et à la pornographie.
Le combat pour la vie n’est jamais fini.