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France : Société / Non classifié(e) / Religions : L'Islam

Un jour, il y aura le FAMAS (fou) d’un militaire que la hiérarchie militaire aura repéré… sans rien faire.

Un jour, il y aura le FAMAS (fou) d’un militaire que la hiérarchie militaire aura repéré… sans rien faire.

Suite au scandale d’Etat de la préfecture de Police de Paris, Jean-Yves Le Gallou s’inquiète, sans doute à juste titre, du risque similaire qui existe dans les armées françaises :

La vérité, c’est que les services de renseignement sont en retard de plusieurs guerres ! Leur logique – héritée de la guerre froide – consiste à suivre et remonter des filières, donc à laisser dans la nature des gens qu’on repère. Or, la mode est au djihad individuel. Il y a des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de musulmans fanatisés. De temps en temps, l’un d’entre eux passe à l’acte, s’empare d’une voiture (folle), d’un camion (fou) ou d’un couteau (non moins fou) et tue dans son voisinage. Imparable. Et puis, un jour, il y aura le FAMAS (fou) d’un militaire de Sentinelle que la hiérarchie militaire aura repéré… sans rien faire.

Les services de renseignement adorent les analystes et les « experts ». Or, ceux-là baignent dans l’univers médiatique. Ils prennent l’air entendu pour diffuser des banalités politiquement correctes. C’est, d’ailleurs, pour cela que ces « experts » sont consultés et réinvités. Ceux qui pensent autrement sont dénoncés par Le Canard enchaîné, Le Monde ou Mediapart.

Une partie des forces est détournée pour surveiller « l’extrême droite » et les Identitaires. Les parlementaires devraient, d’ailleurs, essayer de savoir combien d’agents surveillent les islamistes, les antifas et les Black Blocs, les gilets jaunes et « l’extrême droite ». Et rapporter ces effectifs aux menaces réelles.

Pour illustrer son propos, le ministère des armées pourrait-il informer les citoyens français sur ce que sont devenus les (rares) militaires français qui ont refusé de partir combattre en Afghanistan ? Ont-ils continué une carrière tranquille, sont-ils suivis ou ont-ils été mis dehors ? Le fait que ces cas ont été déclarés officiellement “rares” en “2008” ne met personne à l’abri du mode d’action du “djihad individuel” :

«Moins de cinq» engagés volontaires de l’armée de terre (EVAT) ont exprimé, en 2008, le souhait de ne pas partir en opérations extérieures «pour des raisons confessionnelles», reconnait l’état-major interrogé par Secret-Défense. Il s’agit de jeunes musulmans qui ne voulaient pas aller combattre d’autres musulmans en Afghanistan. Leur nombre serait de trois ou quatre (…) Ces cas sont rarissimes (moins de 0,01% des engagés) mais ils existent. (…)

Le nombre de militaires français de confession musulmane est inconnu. La loi française interdit toute comptabilité en fonction de la religion. Mais une simple visite dans n’importe quel régiment montre que de nombreux Français issus de l’immigration s’engagent.

Le ministère des armées pourrait-il informer les citoyens français sur les sanctions qui ont été appliquées à ce militaire traitant les forces de police de “porcs” dans le cadre de l’opération Sentinelle :

C’est donc plutôt avec inquiétude que nous constatons le souhait de l’armée de terre de recruter massivement en Seine-Saint-Denis. Espérons qu’un jour les états-majors ne soient pas obligés de reconnaître qu’ils savaient et que le besoin de recruter ou la peur d’affronter le politiquement correct l’ont emporter…

« Un vivier très intéressant ». C’est en ces termes que l’armée française considère le département de Seine-Saint-Denis, au nord de Paris. Très pauvre en recrues, ce département va prochainement être la cible prioritaire du centre d’information et de recrutement des forces armées (Cirfa), rapporte Le Parisien. En effet, le Cirfa pour la Seine-Saint-Denis va déménager en plein cœur de la cité du Franc-Moisin, à Saint-Denis (…) « La Seine-Saint -Denis est un département emblématique, dans le cadre du plan égalité des chances, et un vivier très intéressant qui reste à conquérir », juge en tout cas le lieutenant-colonel Olivier D., qui en profite pour rappeler que l’armée est le premier recruteur des 17-30 ans pour le premier emploi.

En 2006, le premier aumônier musulman intégrait l’armée française. En 2018, ils sont désormais 43. Des pèlerinages à La Mecque sont même organisés depuis quelques années :

“(…) L’aumônerie militaire musulmane n’organise que depuis peu les voyages à La Mecque pour les soldats musulmans. « Cela va faire trois ans cette année », nous dit-on à la direction de l’aumônerie. Comme pour le pèlerinage à Lourdes, le financement ne provient nullement de l’Etat, tient-on à nous préciser. Là encore, chacun paye son voyage.

C’est l’Association de soutien de l’Aumônerie musulmane aux armées (ASAMAA) qui se charge de l’organisation du Hajj en passant par une agence de voyage spécialisée. L’an dernier, une cinquantaine de personnes comprenant des militaires, leurs familles et d’anciens combattants ont ainsi fait appel à l’ASAMAA pour partir en pèlerinage à la Mecque, un des cinq piliers de l’islam.

En 2009, elle avait annoncé son intention d’organiser le Hajj des militaires. Mais en raison du risque de pandémie de la grippe A, le pèlerinage des militaires avait été annulé [200 militaires étaient concernés, ndlr]”.

 

 

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1 commentaire

  1. Sur le site des Volontaires pour la France, le Général Martinez a publié une intéressante analyse à laquelle un internaute a répondu en réclamant l’intervention de l’Armée pour nettoyer les écuries d’Augias. À mon tour, j’ai adressé la réponse suivante à cet internaute :
    “Certes, mais nos Armées sont comme, peut-être même plus qu’elles, les autres institutions régaliennes : infiltrées de milliers de djihadistes potentiels qui, comme le Général Martinez l’a bien souligné, vont chaque année à La Mecque se « ressourcer ». J’ai connu le Pèlerinage militaire international de Lourdes. Je ne pense pas que les pèlerins rentrant de La Mecque soient dans le même état d’esprit que ceux qui rentrent de Lourdes. À part quelques unités comme la Légion Étrangère, il est à craindre que l’appel à l’Armée pour reconquérir les enclaves musulmanes ne provoque des mutineries nombreuses avec des passges à l’acte autrement plus terrifiants que celui de la PP de Paris. Imaginez un soulèvement de seulement la moitié des soldats de confession musulmane : leur première action sera de massacrer les sous-officiers et officiers, provoquant ainsi le blocage des unités et une réaction en chaîne précisément dans les enclaves à reconquérir. Je laisse imaginer la suite du scénario…”

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