En session plénière à Strasbourg, les eurodéputés ont approuvé le “rapport sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’Union européenne” présenté par l’eurodéputé libérale Sophie in’t Veld (photo), présidente de de la Plate-forme du Parlement européen pour la laïcité en politique et Vice-présidente de l’Intergroupe sur les droits des LGTB. Sous prétexte de lutter contre les discriminations envers les femmes, ce rapport fait la promotion de l’avortement et du mariage homosexuel. On y lit :
"R. considérant que, dans l’Union européenne, les familles présentent différentes structures et peuvent se composer de parents mariés, non mariés ou ayant contracté un partenariat, de parents de sexe opposé ou de même sexe, de parents célibataires, ou encore de parents d’accueil, et que tous doivent bénéficier d’une protection égale au regard de la législation nationale et européenne; […]
“5. invite la Commission et les États membres à élaborer des propositions en vue de la reconnaissance mutuelle des unions civiles et des familles homoparentales à travers l’Europe entre les pays qui disposent déjà d’une législation pertinente en la matière, afin de garantir un traitement égal dans les domaines du travail, de la libre circulation, de l’imposition et de la sécurité sociale et ce, de façon à protéger les revenus des familles et des enfants; […]
“7. déplore que certains États membres aient adopté des définitions restrictives du terme ‘famille’ afin d’éviter d’avoir à garantir une protection juridique aux couples de même sexe et à leurs enfants; rappelle que, conformément à la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, la législation de l’UE s’applique à tous, sans discrimination fondée sur le sexe ou l’orientation sexuelle.”
Le PPE a voulu supprimer le paragraphe 7, mais son amendement a été rejeté par 342 voix contre 322.
A propos de l’avortement (sous couvert de “droits sexuels et génésiques), on lit :
“R. considérant que la santé et les droits sexuels et génésiques des femmes font partie des droits humains et doivent par conséquent être garantis pour l’ensemble des femmes, sans discrimination fondée sur la situation sociale, l’âge, l’orientation sexuelle ou l’origine ethnique;
“47. réaffirme sa position sur les droits en matière de santé sexuelle et génésique, exposée dans ses résolutions du 1er février 2010 et du 8 février 2011 sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’Union européenne – 2009 et 2010; exprime son inquiétude concernant les réductions budgétaires touchant le planning familial et l’éducation sexuelle, ainsi que les restrictions à l’accès aux soins de santé sexuelle et génésique dans certains États membres, en particulier en ce qui concerne la protection de la grossesse et de la maternité et l’avortement légal et sûr; souligne que toutes les femmes doivent être maîtresses de leurs droits sexuels et génésiques, notamment en ayant accès à une contraception de qualité à prix abordable."
oliroy
La grande Europe dans toute son horreur. Malheureusement, individuellement les nations qui la composent sont sauf exception, comme la Hongrie, aussi indignes.Prions tous pour que notre Sainte Mère, Marie, Reine de France, nous protége et que notre Seigneur, ROI de l’Univers nous envoie son lieutenant pour gouverner la France et la faire sortir de la main étouffante de celui qui l’assassinne. l’humanité.
Sancenay
et dire que ces gens ruineux sont payés à prix d’or: quelle gabegie !