“On” nous annonce que “le virus est toujours là”, qu’il a de nouveaux “clusters” et on nous impose la muselière. Si on observe les chiffres officiels du gouvernement, rien ne diffère de la normale, on rencontre toujours quelques cas résiduels de grippe à la belle saison.
De nombreux médecins, un brin agacés, aux Etats-Unis notamment, se demandent pourquoi il n’y a plus de grippe, d’accidents cardiaques ni de pneumonie ! Désormais les seules décès qui existent sont dûs au Covid…
Dans un article traduit par benoît-et-moi, le journaliste italien Aldo Maria Valli dénonce la mise en place d’un nouvel ordre mondial. Extrait :
[…] Il est impossible de ne pas voir, que nous nous trouvons, en somme, au début de la mise en œuvre d’une véritable « reprogrammation » anthropologique, réalisée avec de nombreux instruments : juridiques, policiers, économiques, a-moraux, éducatifs, médico-sanitaires, informatiques, militaires, robotiques. Le tout soutenu par la « peur » d’un virus qui n’aurait pas pu être plus providentiel, au point qu’il semble que nos dirigeants espèrent qu’il ne finira jamais. Et en fait, ils ne l’ont jamais laissé se terminer: on apprend aujourd’hui la volonté prévisible du gouvernement de prolonger l’état d’urgence jusqu’à la fin de l’année. Cela va de soi pour la raison évidente que c’est précisément sur le virus que ce gouvernement est en train de réaliser la perspective décrite jusqu’à présent.
Pour conclure ce tableau, mentionnons enfin l’aspect le plus subtil mais le plus toxique et donc le plus inquiétant, confirmation supplémentaire de tout ce qui précède. Celui du lavage de cerveau massif typique effectué depuis des mois par les médias.
Depuis des mois, le peuple italien est bombardé, des dizaines de fois par jour, par toutes les chaînes de télévision, par l’épuisante invitation à ne faire confiance qu’aux « professionnels de l’information », c’est-à-dire à eux-mêmes : leurs programmes d’information, leurs talk-shows, leurs journalistes et commentateurs, qui chaque soir répétaient en masse les mêmes slogans à inculquer dans la tête de soixante millions d’Italiens, qui créaient – comme toujours – des mots « talisman » à répéter de façon obsessionnelle pour changer la façon de penser du peuple (exemples: « foyer », « asymptomatique », etc.), sans hésiter à montrer des ambulances avec gyrophares et sirènes pour épouvanter (en même temps que l’instrumentalisation d’images de cercueils vides et de camions remplis de morts, qui se sont ensuite révélées « fausses »), pour créer la peur, la solitude, la haine mutuelle, la « lutte des classes » sanitaire.
En pratique, ceux qui ont gouverné durant ces mois ont en réalité établi une sorte de « ministère de la vérité » virtuel, organe typique des dictatures du XXe siècle, basé sur la peur de masse induite.