Cette histoire se passe au Canada, mais elle pourra se passer en France lorsque l’euthanasie sera légalisée.
Une infirmière d’un hôpital de l’Alberta à Heather Hancock a déclaré à une femme handicapée souffrant d’une infirmité motrice cérébrale depuis l’enfance :
« Vous êtes égoïste. Vous ne vivez pas, vous vous contentez d’exister ».
Née en 1968 dans l’Alberta, elle a travaillé en tant qu’employée d’hôpital en Colombie britannique avant d’arrêter en raison de l’aggravation de son état musculaire il y a une dizaine d’années.
« Vous devriez faire ce qu’il faut et envisager l’aide médicale à mourir (AMM) ».
Suite à cette affaire, l’infirmière a été retirée de l’équipe de soins.
Ces propos ne sont pas isolés. Depuis 2016, date de la légalisation du suicide assisté au Canada, le personnel médical a conseillé à cette femme de recourir à l’« aide à mourir » à trois reprises.
« Ils me considèrent comme un fardeau pour le système médical et pensent que l’argent de mes soins pourrait être dépensé pour une personne valide ».
Une autre Canadienne, Tracy Polewczuk, s’est également exprimée sur les problèmes similaires qu’elle a rencontrés au Québec. Atteinte de spina bifida, une malformation congénitale, elle déplore la dégradation des soins qu’elle reçoit à domicile quotidiennement à Pointe-Claire, à Montréal. A deux reprises des membres de son équipe soignante lui ont dit qu’elle était admissible à l’AMM.
« J’ai l’impression qu’on nous pousse vers l’AMM au lieu de nous donner l’aide dont nous avons besoin pour vivre ». « Je veux survivre. Je veux m’épanouir. Je veux retrouver ma vie. Je veux le contraire de ce qu’ils essaient de nous faire faire ».
cadoudal
Bientôt des cocotiers dans les hôpitaux pour éliminer les malades;
et des primes aux médecins qui seront ” productifs” .
l’ultime Progrès de l’ humanisme maçonnique.
la civilisation de mai 68 aura atteint le niveau de celle des cannibales de Polynésie.
PK
Quel pays de malades mentaux… Et je ne parle pas des soignés…
On n’en est pas loin en France de toute façon. La médecine a abdiqué toute volonté de soigner. La crise du COVID a été un immense révélateur et il règne désormais une profonde fracture entre les soignants et les soignés. Quel malade peut faire confiance aujourd’hui à un médecin ?
AnneR
A craindre: une pénurie savamment organisée d’anti-douleurs afin de forcer à dire “je veux l’euthanasie”…sous la torture.
Collapsus
Ce qui est à craindre avec cette loi de barbares, c’est que nos anciens, même en dehors de remarques de ce type, s’imaginent que leur entourage auront de telles pensées à leur égard, ce qui alimentera chez eux une mauvaise conscience de vouloir survivre à un tel environnement inamical voire dangereux.
Adalbert
“Il y a un soupçon général, confinant à la certitude, selon lequel ces nombreux décès inattendus de malades mentaux ne se produisent pas naturellement, mais sont intentionnellement provoqués, en accord avec la doctrine selon laquelle il est légitime de détruire une prétendue « vie sans valeur » […] Une doctrine terrible qui cherche à justifier le meurtre des personnes innocentes, qui légitime le massacre violent des personnes handicapées qui ne sont plus capables de travailler ! […] Si on l’admet, une fois, que les hommes ont le droit de tuer leurs prochains « improductifs » […], alors la voie est ouverte au meurtre de tous les hommes et femmes improductifs […]. La voie est ouverte, en effet, pour le meurtre de nous tous, quand nous devenons vieux et infirmes et donc improductifs. Alors on aura besoin seulement qu’un ordre secret soit donné pour que le procédé, qui a été expérimenté et éprouvé avec les malades mentaux, soit étendu à d’autres personnes « improductives » ! »
— Mgr Clemens August von Galen ( à propos du plan d’extermination des handicapés, malades mentaux et “improductifs” mis en œuvre par le régime nazi).
Arwen
Quelle horreur!!!
Pauvre femme… c’est abject d’oser lui tenir ce genre de discours!
Il est à craindre que cela nuise à la qualité des soins auxquels ont droit les personnes invalides, handicapées ou simplement malades.
ExtraEcclesiamnullasalus
C’est ce qui attend les retraités français qui ont massivement voté pour leur champion élyséen et son parti à plusieurs reprises pour tenter de sauvegarder leur retraite.
Les retraités représentent, selon cette vision sociétale extrémiste, utilitariste et pragmatiste criminelle, une charge de plus en plus lourde à faire porter à la nation, et bientôt jugée insupportable. La génération actuelle, très largement relativiste, hédoniste, épicurienne, consumériste et matérialiste, dont les cotisations professionnelles servent également à payer les retraites, n’est pas disposée à se sacrifier pour ses aînés.
La solution au fardeau financier croissant des retraites, est toute trouvée : l’euthanasie active. Les retraités sont en ligne de mire de cette Gauche haineuse, qui a osé faire inscrire un droit à l’assassinat de l’enfant à naître dans sa constitution, et qui s’apprête à se doter des outils législatifs nécessaires à la suppression, à cadence accélérée, de nos aînés, jugés improductifs et donc, selon la même vision purement mécaniste, réductionniste, utilitariste et pragmatiste, inutiles, voire, considérés comme des nuisibles ! Le Canada, à cet égard, est devenu le pays occidental où l’on assassine les personnes jugées indignes de continuer à vivre, à la chaine, comme chez Renault ou PSA (législation canadienne MAiD, Medical Assistance in Dying).
Quelle est la différence entre un régime politique socialiste et socialo-bolchévique contemporain corrompu, qui préconise l’application de l’euthanasie active à toute personne incapable de vivre de manière autonome et de “profiter de la vie” (conséquence de l’adoption plus ou moins directe de la philosophie existentialiste de Jean-Paul Sartre et Martin Heidegger, mais aussi de celle, nihiliste, de Friedrich Nietzsche) et le régime politique du Troisième Reich hitlérien ?
La différence est purement une de moyens !
Le régime nazi du chancelier Adolph Hitler, (régime de SOCIALISTES nationalistes, cf. l’article de Joseph Goebbels, propagandiste en chef du régime nazi, paru le 16 juillet 1928, dans le périodique hitlérien berlinois, Der Angriff, et intitulé “Warum sind wir Sozialisten ?”) utilisait l’exécution sommaire, la pendaison, la torture, la mort par privation, par expérimentation scientifique et médicale et les chambres à gaz. Ces dernières furent également utilisées pour mettre en œuvre le programme d’extermination eugénique Aktion T4 des handicapés dans l’Allemagne nazie. Les handicapés, n’étant pas capables de vivre une vie autonome et jugée digne, étaient considérés comme des déchets humains, dont il fallait se débarrasser, selon la vision des SOCIALISTES hitlériens. Exactement comme cette Canadienne et exactement comme les retraités handicapés, malades ou non autonomes, dès que la législation française sera mise en place.
L’histoire récente nous a montré, avec l’assassinat in utero de l’enfant à naître que, dès que l’on ouvre la boîte de Pandore de la mise à mort délibérée, déguisée mensongèrement en acte d’humanité et de charité, strictement plus rien ni personne, collectivement et au niveau institutionnel, ne pourra et ne voudra, arrêter le massacre des innocents, des malades, des handicapés et des vieillards ! Dans quelques années, si ce régime socialiste corrompu criminel survit, il fera inscrire l’euthanasie active, comme un droit inaliénable dans sa charte des droits fondamentaux, comme pour l’assassinat in utero de l’enfant à naître.
cadoudal
ajouter à la liste des parasites à euthanasier en priorité :
-les opposants au régime en place, rejetés par l’ arc républicain; ;
-les chômeurs longue durée.
-les personnes critiques envers les LGBTQ;
– les personnes qualifiées de “bêtes immondes” par la Licra.
et ce sera le triomphe de la Fraternité républicaine.
AnneR
C’est à craindre en effet.
Vous remarquerez que l’euthanasie est pratiquée par piqûre létale pour les “personnes qui veulent mettre fin à leur souffrance, mourir dans la dignité…”. L’injection mortelle est également utilisée pour exécuter des criminels dans les pays où la peine de mort est légalement adoptée.
L’euthanasie tue de la même façon que la peine de mort exécute des repris de justice, c’est factuel.
Seul change le décorum hypocrite verbal et idéologique.
Ainsi, les personnes en passe d’être euthanasiées sont aussi dans le couloir de la mort.
Un jour et une heure sont fixés pour leur mort.
Ils sont tués et non “endormis”.
Encore une fois, ce sont des mots qui correspondent rigoureusement à la réalité.
Tout le reste est enfumage idéologique.
Patrick85
J’ai toujours pensé que cette hypocrite ” aide à mourir” n’était nullement un acte d’humanité vis à vis de la personne souffrante, mais un mesure destinée à assurer la quiétude des survivants qui oublient qu’ils deviendront, eux aussi, une gêne pour leur descendants…
AnneR
L’euthanasie ne devrait pas être administrée par piqûre létale mais par étouffement, un coussin sur le visage.
Le processus devrait se poursuivre si et seulement si le “patient” parvient à lutter contre le réflexe de retirer l’obstacle à la respiration et ainsi assumer sa volonté anti-naturelle ne serait-ce que de piétiner l’instinct de vie et de survie dont le Créateur a doté chaque être vivant.