À l’occasion du triste anniversaire de la séparation de Rome de l’Église orthodoxe en 1054, le pape François a publié une nouvelle directive qui restreint l’utilisation de la liturgie traditionnelle de rite latin et permet aux évêques catholiques libéraux et marxistes d’éradiquer la forme traditionnelle de culte de leurs juridictions. Cette coïncidence n’est pas un accident. Cela prouve seulement que la Tradition Sacrée ne peut pas survivre en dehors de l’Église Orthodoxe, dont Rome et ses disciples se sont séparés il y a près de 1000 ans. L’abus liturgique du nouveau rite protestant “Novus Ordo” est l’ultime rébellion contre Dieu et ses rites apostoliques. Le rite latin a été massacré par le pouvoir et l’obéissance illimités qui ont été donnés à l’évêque de Rome. Une fois que les réformateurs ont pris le siège de Rome : le rite apostolique, les disciplines apostoliques et la foi apostolique n’ont jamais eu de chance contre le charlatan et sa clique.
L’Église orthodoxe ne peut pas être en communion avec ceux qui utilisent des rites non apostoliques.Bien que nous soyons conscients que des changements liturgiques légers et mineurs se produisent au fil du temps, ces changements doivent toujours agir comme une mise à niveau, comme un ajout. Ainsi, avec le temps, la liturgie devient plus belle et plus décorée. Mais écrire la nouvelle liturgie et suspendre l’ancienne, est l’acte le plus impie et le plus audacieux qui n’appartient qu’au plus fou des hérétiques.
En l’an 600, Saint Grégoire le Grand, le Pape de Rome, a écrit un très petit et bel ajout à la Liturgie Romaine, la Population Orthodoxe de Rome de cette époque, qui ne croyait pas au pouvoir absolu et à l’obéissance au Pape de Rome, a presque tué Saint Grégoire pour avoir osé toucher à la sainte liturgie. Avec le temps, les hérésies de Rome ont corrompu la foi des fidèles occidentaux et, au 20e siècle, les Fidèles n’ont offert que peu ou pas de résistance à la réforme liturgique la plus impie et la plus blasphématoire.
Même si un ange du ciel descendait et nous offrait une nouvelle liturgie (doctrine), nous ne l’accepterions pas.