En Allemagne, une usine vient d’ouvrir ses portes, y compris au public : on y fabriquera des «tranches de cadavres». 3 jours par semaine, l’atelier – le plastinarium – sera ouvert au public (interdit au moins de 14 ans) qui moyennant 12 € pourra assister à la découpe avant de visiter le macabre musée avec des corps mis en scène. Les restes non destinés à l’exposition (le gros de la production) seront vendus aux chercheurs et aux étudiants en médecine.
On reconnaît l’homme au respect dont il entoure ses morts : c’est le signe de sa conscience, de sa pensée, de son âme immortelle et de sa relation à Dieu. Ce genre d’entreprise consiste non seulement à profaner des corps bien au-delà des besoins de la recherche médicale, mais elle anesthésie notre respect pour nos semblables.
MJ
jerome
Plus choquant pour l’exposition que pour la recherche médicale .
l'Omnivore Sobriquet
Oui. De l’Art Contemporain… Sans mauvais goût ni humour noir, mais sérieusement : y a-t-il eut subvention ‘artistique’ ? n’est-ce point une ‘installation’ ? si il n’y a pas assez de visiteurs payants, qui ‘couvre’ ?? Sérieusement !!
l'Omnivore Sobriquet
‘Subventions’ de la part de ‘services publics’, ou alors ‘dons’ de la part de ‘fondations’, bien sûr… Je ne voudrais point être anti-étatiste primaire…, à l’heure où ces Grands Kontrôles se joignent, ont leurs centrales… diverses…
Frédéric
Les allemends ont parfois de drôles de pratiques. Après avoir créer les usines de la mort et assassinés des millions d’individus au nom d’une certaine recherche pseuudo-scientifique, voici qu’ils recommencent avec cette usine pour le moins aberrante. Décidèment…