Partager cet article

France : Société

Vaccination Covid : l’ANSM invite les médecins et les femmes à signaler les anomalies du cycle menstruel

La radio d’Etat France info affirmait pourtant l’inverse en janvier :

Covid 19 : le vaccin ne provoque pas de “changement cliniquement significatif” du cycle menstruel

Depuis le début de la campagne vaccinale, de nombreuses femmes ont signalé une modification de leur cycle menstruel. Une nouvelle étude parue jeudi permet d’apporter une réponse rassurante à leurs inquiétudes.

Les professionnels de santé et les femmes sont invités à déclarer les troubles menstruels apparus après une vaccination anti-Covid, via le portail des signalements de pharmacovigilance (signalement.social-sante.gouv.fr), a fait savoir l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). La procédure s’inscrit dans un contexte de réévaluation européenne du lien entre les troubles menstruels et les vaccins à ARNm Spikevax et Comirnaty.

Une réunion au sein de l’ANSM, avec plusieurs associations (France Assos Santé, Endomind, EndoFrance, le collectif Où est mon cycle), les centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV), la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale (FNCGM), le collège national des enseignants de gynécologie médicale (CNEGM), le Conseil national de l’Ordre des sages-femmes (CNOSF) et le Collège de la médecine générale (CMG), a permis de faire remonter des témoignages de femmes décrivant des anomalies du cycle menstruel : saignements anormalement longs pendant les règles ou en dehors des règles (ménorragies ou ménométrorragies), ou au contraire une absence de règles pendant plusieurs mois (aménorrhée), douleurs pelviennes ou abdominales, réactivation des symptômes douloureux chez des femmes atteintes d’endométriose, pourtant contrôlée, saignements anormaux chez les femmes ménopausées.

Et “en même temps” des médecins sont inquiétés pour avoir prescrit des médicaments connus depuis des décennies :

Hydroxychloroquine, ivermectine, azithromycine… des scientifiques tentent depuis le début de la crise du Covid-19 de faire connaitre l’efficacité de ces traitements précoces contre le virus. Dernièrement, des médecins libéraux ayant prescrit ces médicaments ont reçu une convocation par leur conseil départemental de l’Ordre des médecins. Mettant en cause leur décision de prescription, l’organisme prévoit rien de moins que des conseils de discipline. Le début d’une nouvelle « chasse aux sorcières à grande échelle », estime le médecin généraliste, Grégory Pamart, toujours suspendu depuis le 15 septembre suite à son refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19.

Partager cet article

3 commentaires

  1. Un certain nombre de frémissements dans les vues officielles des conséquences de ces produits expérimentaux. Et nous n’en sommes qu’à 19 mois de “vaccinations”…

  2. Aux Etats Unis, il y a plus qu’un frémissement. Plusieurs officiels dont le célèbre Dr Fauci sont poursuivis pour “Collusion avec Big Tech (les plateformes/réseaux sociaux) dans le but de supprimer la liberté de parole”.
    Les poursuites accusent des représentants du gouvernement de collaborer avec Twitter et d’autres grands réseaux de médias sociaux pour supprimer des renseignements véridiques sur de multiples sujets, y compris le virus COVID-19.
    https://www.lifesitenews.com/news/fauci-biden-officials-given-30-days-to-respond-to-subpoenas-in-big-tech-collusion-lawsuit/

  3. Concernant les traitements précoces du Covid19, en particulier l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine éventuellement associés à l’Azithromycine, objet du courroux du Conseil de l’Ordre à l’encontre des très nombreux médecins qui ont osé braver l’interdiction de ces molécules, au nom de “la liberté de prescription” des médecins, jusqu’ici tacitement admise dans le corps médical, il faudrait que les psychorigides conseillers de cet Ordre produisent des plaintes sérieuses de patients ainsi traités ayant subi des effets secondaires graves, avec séquelles, voire mortels dus à ces molécules. Y en a-t-il eu seulement une seule?
    Bien au contraire, des témoignages de dizaines de milliers de patients ayant été guéris du Covid19 pourraient être produits par les médecins poursuivis.
    Le Conseil de l’Ordre envisage-t-il des poursuites contre les patients ayant donné leur “consentement éclairé” à être l’objet de ces traitements précoces ? Ce serait franchement comique…

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services