Face à l’arrivée des vaccins, Didier Raoult ne cache pas son scepticisme. Le professeur marseillais attend que les laboratoires publient leur données. Pour l’instant il reste très prudent face à l’arrivée des candidats vaccins, notamment chez les personnes plus âgées. Pour lui, nous manquons encore de recul concernant les vaccins dits à ARN messagers.
Vaccins : les interrogations de Didier Raoult
Par Michel Janva
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Gaudete
Aussi après sa déclaration d’hier on lui tire dessus à boulets rouges alors qu’il ne faisait qu’une proposition de bon sens, en précisant que ce n’était pas des vaccins, qu’il n’y avait aucun recul et que ce n’était que de la comm des labos. Mais ça les fanatiques des vaccins n’aiment pas d’autant plus qu’on a très bien compris qu’il ne se ferait pas vacciner, il a appuyé où ça faisait mal: refuser le vaccin. On nous prend vraiment pour des billes en début d’année, nos guignols disaient qu’il fallait 10 ans pour faire un vaccin, et là en 3 mois ils le sortent si ce n’est pas du foutage de gueule comment ça s’appelle?
DUPORT
On ne se vaccine pas contre une maladie qui ne fait pratiquement pas de mort d’une part
D’autre part on ne se vaccine pas contre une maladie qui se soigne très bien avec de la chloroquine et des antibiotiques
Enfin sachant que tout vaccin peut provoquer des séquelles graves, qu’il ne protège par forcément, qu’il ne limite pas la propagation, le rapport bénéfice/risque fait qu’on ne se vaccine pas.
A fortiori si c’est un vaccin ARN aux effets inconnus !
F. JACQUEL
Un “vaccin” à ARN messager n’est pas réellement un vaccin, mais une première tentative de thérapie génique qui, jusqu’à maintenant, n’a jamais démontré son efficacité, pas plus qu’elle n’a démontré son absence d’effets secondaires, spécialement dans le domaine des chromosomes donc de la transmission aux descendants.