La Russie va lancer un appel d'offres pour des porte-hélicoptères destinés à sa marine de guerre et envisager des solutions nationales, alors que Moscou était supposé se fournir auprès de la France.
Pourtant, Nicolas Sarkozy a assuré le mois dernier que la vente de ces bâtiments à Moscou était acquise et que la France en construirait deux pour la Russie. Un échec qui ne serait pas le premier. Et sans doute pas le dernier, puisque la vente de l'avion de combat Rafale au Brésil se fait toujours attendre alors qu'il était considéré comme acquis.