Lu dans Les 4 Vérités :
"Nos « élites » se pincent le nez avec dégoût dès qu’il est question d’identité. Pourtant, la question identitaire (religieuse, nationale ou ethnique) est chaque jour plus importante. Et tenter de la cacher sous le tapis est la pire façon d’y faire face. Ce n’est pas seulement de l’aveuglement ; c’est un aveuglement criminel.
Le désastre de la fameuse « nation arc-en-ciel » multiraciale que nous promettaient les thuriféraires du multiculturalisme, lorsque tomba l’apartheid en Afrique du Sud, devrait nous servir d’avertissement. Aujourd’hui, une ferme afrikaaner est attaquée tous les jours dans ce « paradis » multiracial et un fermier blanc assassiné tous les quatre jours. C’est cela le monde enchanteur que nous promettent les Macron ou les Hollande – mais aussi hélas, à droite, les Sarkozy ou les Juppé, poètes de la « mondialisation heureuse » et de la « France d’après ». Peuvent-ils comprendre que nous ne voulons à aucun prix de cet avenir « radieux »? Peuvent-ils comprendre que leur «paradis» ne sera rien d’autre que la guerre de tous contre tous et la loi de la jungle, où les barbares auront raison de toute forme de civilisation?
La paix n’a rien à voir avec les bêlements pacifistes. C’est, au contraire, par l’effort militaire, par l’autorité, qu’on assure la paix extérieure et intérieure. Défendre notre civilisation et notre paix civile n’ira pas sans sacrifice. Et renoncer à tout effort est le moyen assuré de glisser vers la sauvagerie. C’est ainsi que, par lâcheté, par facilité, par goût du consumérisme, par refus de tout « identitarisme» et de tout «populisme », nos « élites » ont déjà réussi à asservir à la charia et à la loi des caïds des centaines de quartiers de notre pays. Mais, à ce rythme, c’est le pays entier qui sera soumis à la loi des barbares d’ici dix ans si aucun sursaut n’intervient. N’entendez-vous donc pas le cri des Mahorais contre l’immigration et l’insécurité?
N’entendez-vous donc pas la le- çon du colonel Beltrame? C’est bien beau de lui rendre un hommage national. Mais, si on continue à laisser entrer sur le territoire pas loin de 400000 immigrés chaque année, on ne peut pas s’étonner que des attentats comme ceux de Trèbes surviennent. On ne peut que s’étonner du fait qu’ils ne soient pas plus nombreux. Alors, Messieurs les politiciens, oubliez vos prébendes et votre électoralisme et réveillez-vous ! Nous sommes au seuil de la guerre civile. Il serait temps de réagir: la survie de notre civilisation et de notre peuple ne tient plus qu’à un fil."