C’est ce que craignent des proviseurs de Seine-Saint-Denis, en référence aux émeutes de novembre dernier.
[L]a situation est de plus en plus tendue en Seine-Saint-Denis, où 25 des 64 lycées publics du département étaient perturbés hier par la mobilisation anti-CPE. Chaque jour, de nouvelles communes sont touchées par des violences en marge de manifestations qui virent aux «mouvements urbains», selon un policier. «Jusqu’à présent il y avait des incidents avec des élèves regroupés devant les établissements, précise-t-il. Mais depuis hier on voit des petits groupes sillonner les rues pour se livrer à des dégradations de matériels publics (abribus, panneaux de signalisation, kiosques à journaux) et tenter de se servir gratuitement dans des supérettes.» Un autre rapporte «des tentatives d’affrontements directes avec la police», notamment à Drancy, La Courneuve et Clichy-sous-Bois, où «des jeunes guettent les équipages isolés pour les caillasser». […] Selon le rectorat, «la tendance qui se dessine, ce sont des mouvements non politisés avec l’idée d’en découdre avec l’autorité en général. Parmi ces jeunes, il n’y a pas que nos lycéens». Certains proviseurs disent craindre «un peu un glissement vers un scénario à la novembre».
Eloi
Combien de temps devrons nous supporter cette chienlit ?
Prions pour que la France trouve un homme (ou une femme) capable de mettre hors d’état de nuire les responsables de cette gabegie, que ce soient la gauche anarcho-bancaire, la droite molle libéral-suicidaire, les millions de bons à rien et de cafards d’administration qui vivent au crochet du contribuable, sans compter les cliques talibanlieusardes…
En attendant la gauche salonarde incarnée par le camarade Hollande et sa tombée de représentant en chaussettes frotte ses mains
moites : y’a bon pour les élections !
Et la France ?