En janvier 2005, le drame avait fait du bruit : une contrôleuse de la SNCF avait été violée, dans l’exercice de ses fonctions, dans le TER de Toulouse-Cahors. Colère, grève immédiate, demande d’agents de sécurité, tout le monde y est allé de ses chaudes larmes, bien légitimes.
Le violeur, 24 ans, en France depuis 9 ans, a été incarcéré aussitôt… et remis en liberté en mai, sur décision du juge des libertés. Voilà qui est déjà inacceptable. Or, le 21 octobre 2005, il a été (re-)condamné à 18 mois (seulement) de prison ferme après avoir violenté une jeune femme à Toulouse.
Anonyme
Je voudrais bien qu’on m’explique comment est-il possible que la peine pour un viol soit de 3 ou 4 mois??!!!