… sans donner la parole au maire de la ville, Jacques Bompard, dont nous nous honorons de diffuser ce communiqué :
"Lors du second tour des élections présidentielles, un président de bureau de vote, notre adjoint à la sécurité, n’a pu établir avec suffisamment de certitude la correspondance entre la photo d’identité d’une électrice et son visage. Il lui a donc demandé de se découvrir partiellement. Ce qui a été fait sans esclandre.
Par la suite, une série d’associations communautaires, avec le relais de la presse, a décidé de faire une « forgerie ». D’un conflit électoral, les hyènes du politiquement correct entendent fabriquer un incident nauséabond.
Au moment de la sortie de la majorité des articles et au moment où je vous écris, la plainte évoquée n’est même pas qualifiée par la police. Elle n’existe pas. Si elle l’était, je continuerais à assurer mon adjoint à la sécurité de toute ma confiance. Il n’a pas à être « présumé coupable » parce que la bien-pensance l’aurait décidé.
J’assume ma politique : aucune place pour l’islamisation de notre société sur deniers d’Etat, moratoire sur la construction de mosquées, rappel de l’identité chrétienne de notre pays.
Je rappelle aussi que je suis opposé à l’idéologie laïciste et que je ne cherche donc pas à aller au-delà de la loi en ce qui concerne les conditions du vote.
Je note que les médias diffusent complaisamment cette « fake news » sans nous donner la parole. Cela fait plus de vingt ans que je suis maire d’Orange, ils devraient savoir que ces procédés ne nous impressionnent pas."