Le film Blonde d’Andrew Dominik, présenté comme un biopic de Marilyn Monroe, a été diffusé en avant-première au Festival du film de Venise le 8 septembre puis mis en ligne sur Netflix le 28 septembre. Ce long-métrage déplaît aux organisations pro-mort en raison de sa manière de traiter le sujet de l’avortement.
Dans le film, basé sur le roman éponyme écrit par Joyce Carol Oates en 2000, Marilyn Monroe doit gérer deux avortements illégaux. Pour illustrer ces moments à l’écran, le réalisateur a fait le choix de reconstituer un fœtus en image de synthèse qui s’adresse directement à l’actrice.
“Tu ne me feras pas de mal cette fois-ci, n’est-ce pas ?”, lui demande-t-il.
Planned Parenthood juge cette scène stigmatisante et accuse le long-métrage d’être le relai d’un message anti-avortement.
cadoudal
la haine de la vie saine et naturelle :c’est l’ âme de la République, celle qui dicte ses lois.
Morin
Je crois que Marilyn Monroe, nom et prénom de scène, a été prostituée à 14 ans après avoir probablement subi des viols pour en arriver là, et a avorté plus d’une dizaine de fois. Parce que l’avortement, c’est après tuer un enfant réduire la femme à un objet et déresponsabiliser l’homme de son acte. Marilyn Monroe est l’exemple même de la femme objet dans une société sans morale.