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Culture de mort : Avortement / Pays : Etats-Unis

Menaces, pressions : l’hystérie des militants de l’avortement

Menaces, pressions : l’hystérie des militants de l’avortement

Les gens du bien estiment que les juges ne devraient avoir le droit de ne juger que dans un sens… Dans Présent, Christian Daisug évoque les menaces subies par les juges de la Cour Suprême :

Des groupes d’activistes partisans de l’avortement ont fait durant plusieurs heures le siège du domicile de trois des six juges à la Cour suprême considérés comme défenseurs de la vie. Samuel Alito, en Virginie, Brett Kavanaugh et John Roberts, dans le Maryland, virent leur maison cernée par des centaines d’excités qui ont crié des injures et hurlé des menaces en déversant les habituels tombereaux de haine que le gauchisme réserve à ses ennemis jurés. « Les pro-vie sont des menteurs ! » « Hypocrites ! Assassins ! » « Vous tuez des femmes ! » « Justice de m… ! » Les trois autres juges qui partagent sur l’avortement les opinions de ces trois victimes du radicalisme, à savoir Clarence Thomas, Neil Gorsuch et Amy Barrett, ne furent que nommément cités dans les explosions verbales. Ils ont échappé, pour l’instant, aux démonstrations à domicile. Aucune arrestation n’a eu lieu. Les journaux relèguent l’événement en pages intérieures. Et la Maison-Blanche ainsi que le ministère de la Justice se barricadent dans une indifférence complice. […]

Menacer des juges pour influencer leurs décisions est un délit puni par la loi fédérale. Condamner des juges pour leurs opinions est une attaque directe contre le système. Dans les deux cas, l’opération s’avère gravissime. Elle inocule un doute sur la légitimité de la Cour suprême comme pouvoir judiciaire indépendant, arbitre des lois et protecteur des libertés. Les républicains s’indignent. Les ténors démocrates approuvent et jubilent. Le ministre de la Justice répète que le siège du domicile d’un juge fait partie des « droits du citoyen ». Quant au « président » Joe Biden, il laisse faire.

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5 commentaires

  1. En fait la devise de ces fanatiques n’est pas libre choix, mais permis de tuer (00X).

  2. méthode habituelle de la bien pensance, en France tout conservatisme ou bon sens est taxé d’extrême
    droite ou de fasciste.
    Par lâcheté RN, LR et d’autres partis se laissent insulter, tout débat devient impossible. On nous bâillonne par ces intimidations.
    Macron l’a bien compris et a empêché ses opposants de mener campagne.Des français trop nombreux se laissent berner pas ce dénis de démocratie.

    La puissance des globalistes(mondialistes) dans la presse et les organisations mondiales est tel que beaucoup baisse les bras.

    il est temps de se donner les moyens financiers pour combattre ces totalitarismes

  3. Et oui, c’est un bon vieux western où les truands s’en prennent au shérif.
    Il faut un héros, comme dans tous western, du type de waine, douglas ou Trump pour flinguer les truands et sauver le shérif. On attend la suite du film.

  4. « Vous tuez des femmes ! »
    Cet argument des “pro-choix” peut leur être retourné, car dans les enfants avortés, il y a statistiquement 50% d’embryons féminins.
    De même, “mon corps, mon choix” peut être repris en le faisant “dire” à l’embryon menacé!

    • Non, ce n’est pas 50/50. Il y a en réalité bien plus d’embryons féminins avortés que de masculins. Tout simplement parce que la préférence à avoir un garçon est plus fréquente, au point que le fait que l’échographie montre que ce sera une fille déclenche souvent la décision d’avorter, surtout chez les populations dont la culture d’origine privilégie les hommes au détriment des femmes : cultures musulmanes et africaines.
      Vous pourrez faire valoir cet argument auprès de vos éventuels amis « féministes ».

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