Les élections municipales approchent (9 et 16 mars) et les électeurs doivent choisir. Ce blog s’était investi lors des élections présidentielle et législatives en décryptant les positions des candidats à la lumière des points non négociables, que défend l’Eglise. Pour les municipales, il en est un peu de même. Parmi les points non négociables, il en est un sur lequel les maires peuvent avoir un impact : la famille et donc le refus de l’union et de l’adoption pour les homosexuels.
Actuellement, plus de 13000 maires (sur 36000) ont rejoint le Collectif Maires pour l’Enfance. Votre maire sortant en fait-il partie ? Les candidats actuels promettent-ils de rejoindre ce Collectif ? Que feront-ils si un jour la loi leur ordonne de célébrer des unions homosexuelles ?
En novembre 2006, un sondage IFOP indiquait que 81% des maires de France sont favorables, au nom de la défense de l’intérêt de l’enfant, au maintien du modèle parental avec un père et une mère. Ce chiffre aura-t-il progressé ou régressé après le 16 mars ? Il appartient aux électeurs d’en décider.
N.B. : Si vous êtes un professionnel de l’enfance (corps enseignant, médical, judiciaire, social, associatif), vous pouvez rejoindre l’Appel des professionnels de l’enfance, qui se mobilisent contre la légalisation de l’adoption et la procréation au sein d’unions homosexuelles.