L’humoriste lyonnais Laurent Gerra, invité de l’émission Quelle époque sur France 2 samedi, a déclaré :
« Je ne vais aller dans le sens du wokisme, du neo-feminisme et du véganisme, tous les trucs en ‘isme’ qui nous emmerdent ». « Je suis libre. La scène est le dernier espace de liberté. Sur RTL, je suis libre, je ne vais pas sur les réseaux de cas sociaux ».
Dans une autre émission, On refait la télé sur RTL, diffusée ce week-end, le comédien confie :
« Non je ne l’aime pas, mais ça va j’ai mes vieux films, mes vieux disques, j’ai de quoi m’émerveiller d’autres choses ».
L’humoriste n’a pas du tout apprécié la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
« Tout ce dont je me moque dans mon spectacle était réuni dans cette cérémonie. On avait tout. Trois heures avec des gens sur des péniches qui font coucou, avec les rappeurs et Aya Nakamura… Il fallait se fader le truc ! » « J’ai pas tenu jusqu’au bout (…) Tout le monde était fier d’être français et moi, je riais aux larmes… Je me disais, mais c’est pas possible qu’on donne une image comme ça de la France. Je veux bien être progressiste, mais pas avec des trucs ridicules quand même… À un moment donné, c’est quand même notre argent ! ». « Je n’aime pas ça, il y a toujours une surenchère… Je suis pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour, comme disait Pierre Dac ».