Xavier Lemoine, maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), répond au Figaro :
Certes, en 2005 comme en 2019, un pavé reste un pavé, un cocktail Molotov ou une voiture qui brûle également. Et il peut y avoir, par la manière dont les médias rendent compte des événements, une similitude de forme entre les émeutes urbaines de 2005 et la crise des «gilets jaunes». En revanche, sur le fond, il n’y a rien de commun, rien de comparable entre les deux événements. Le nombre des manifestants ou des émeutiers, leurs motivations, le jugement de l’opinion publique à leur égard sont très différents.
Les émeutes de 2005 ont été, en premier lieu, un événement strictement local à Clichy-sous-Bois et Montfermeil. Dès la quatrième nuit, elles diminuaient considérablement d’intensité, jusqu’à l’explosion d’une grenade lacrymogène […]
DUPORT
La France n’a tout simplement jamais connu une telle répression, y compris à l’époque du gouvernement fasciste de Hollande Ier, mené par l’aspirant dictateur Valls.
philippe paternot
et avec la nouvelle loi anti casseurs, une simple présomption entrainera une interdiction de voter!