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50 ans après la loi Debré, le privé sous contrat souffre du manque de places

Une famille sur deux souhaiterait que ses enfants fréquentent
l'enseignement privé sous contrat, qui scolarise un enfant sur cinq
, indique un
sondage
réalisé pour l'Association des parents
d'élèves de l'enseignement libre (Apel).

55%
des Français (47% de parents d'élèves interrogés) souhaiteraient
scolariser leurs enfants dans le privé, selon ce sondage commandé avant
le 50ème anniversaire, le 31 décembre, de la loi Debré, qui régit les
rapports entre l'Etat et les établissements privés.

67%
estiment que l'Etat devrait permettre au privé d'ouvrir d'autres
établissements ou de nouvelles classes
, afin que tous les parents qui
le souhaitent puissent y scolariser leurs enfants. Actuellement, le privé sous contrat se cantonne à un maximum de 20% des élèves scolarisés, selon un accord de principe avec le gouvernement.

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4 commentaires

  1. 67% votent UMP, PS, MODEM, NC, Verts… Pourquoi se plaignent-ils ?

  2. Et pourtant certains établissements imposent le “politiquement correct” et éliminent la référence catholique dans l’enseignement pour ne pas choquer ceux qui sont accueillis malgré la pratique d’une autre religion.
    C’est encore le chrétien qui doit s’adapter et subir dans sa propre religion alors qu’il fait des sacrifices pour le bien de ses enfants !

  3. Où sont les obstacles à un système de “sécurité d’instruction” analogue à la “sécurité sociale”: chaque prestation d’instruction est cotée (comme les actes médicaux), et remboursée à un tarif connu d’avance, quel que soit le prestataire, choisi parmi une liste de prestataires agréés (une consultation de rebouteux n’est pas remboursée): cela devrait permettre de choisir le mode d’instruction que l’on estime préférable pour ses enfants, comme on choisit son médecin ou son dentiste!

  4. Il y aurait un bon truc pour “désengorger” le privé sous contrat : lui faire mettre en œuvre réellement l’annonce “explicite” de l’Evangile.
    Ainsi un grand nombre des parents qui viennent uniquement chercher un lieu ou ils reçoivent un coup de téléphone en cas d’absence imprévue de leur ado, devrait partir.
    Et nous, quand on demandera en réunion APEL ou OGEC que :
    – la prière soit remise à l’ordre du jour,
    – qu’il n’est pas normal qu’un instituteur homme devienne au cours de l’année un instituteur femme (cas normand réel !),
    – qu’il y ait une messe de temps en temps (lors des grands moments liturgiques, simplement),
    – que l’on ne courre pas pour le téléthon mais pour une association type “Professeur Lejeune” qui respecte nos convictions chrétiennes quant aux essais que les cellules souches embryonnaires (imaginez la tête de mon interlocuteur !),
    – que le Père Noël disparaisse un peu au profit de Marie, Joseph et les animaux de la crèche dans les chansons que nos enfants apprennent, etc… (vous pouvez continuer la liste quasiment indéfiniment), bref, quand on demandera que notre école catholique Saint-Machin soit réellement une école catholique, que ce jour là on ne soit pas étiqueté vieux réac intégriste (probablement facho, ça va sans dire).
    Fini les problèmes de manque de place ! Et en plus profs et encadrement gagnent leur ciel par leur apostolat : n’est ce pas la solution idéale ?

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