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France : Société

67 militaires français sont-ils décédés des effets secondaires du “vaccin” covid 19 ?

67 militaires français sont-ils décédés des effets secondaires du “vaccin” covid 19 ?

Depuis le 24 aout 2023, il n’y a plus d’obligation de vaccination contre le Covid 19 à l’incorporation dans les armées mais celui-ci reste obligatoire pour les militaires projetés ou projetables, ce qui revient quasiment à une obligation générale. Il s’agit donc toujours, comme nous l’écrivions ici, de la seule profession en France imposant ce dangereux “vaccin”, alors que nombre de médecins généralistes ou spécialistes commencent à parler de manière plus libre de ces effets secondaires…

La question posée par le docteur Typhaine Pinsolle, microbiologiste à l’AP-HP, au Sénat le 7 novembre 2023 dernier est passée plutôt inaperçue alors que, si ce qu’elle avance est vrai, il s’agirait d’un véritable scandale sanitaire qui aurait d’autant plus pu être évité que beaucoup de militaires en 2022 ne souhaitaient pas être “vaccinés”. Ils y ont été contraints par une hiérarchie elle-même souvent très mal à l’aise et partageant les doutes exprimés. Mais les ordres sont les ordres…Certains avaient été sanctionnés et parfois mutés d’office, tandis que d’autres avaient contourné l’interdiction comme des milliers de médecins et infirmiers.

Voici la question posée par docteur Typhaine Pinsolle devant la commission d’enquête du Sénat sur les effets secondaires de ces “vaccins” :

« La science a été confisquée, bâillonnée, ignorée, tous les scientifiques du monde ont été censurés et ce, depuis le début ! Les textes sont là pour nous rappeler qu’on ne peut pas imposer un produit expérimental aux populations. Les textes sont là pour nous rappeler qu’on ne peut pas non plus développer un vaccin lorsqu’il existe des traitements. C’était donc parfaitement illégal (…)

« Les militaires sont toujours soumis à l’obligation vaccinale, ils en sont à leur cinquième dose ! A ce jour, 67 OPEX (67 militaires en Opérations Extérieures) ont été rapatriés pour des effets indésirables graves et en sont décédés. Moyenne d’âge = 27 ans ! C’était de jeunes soldats en pleine santé, jeunes mariés, jeunes pères ou futurs pères, morts dans un silence assourdissant. Des soldats qui n’auront droit à aucune cérémonie nationale, aucune médaille car ils ne sont pas morts pour la France. Ils sont morts sur l’autel du Dieu vaccin qui n’en était même pas un (…)

 

Par ailleurs, la question suivante adressée au ministre des armées par la députée RN Edwige Diaz le 17 octobre dernier est toujours sans réponse :

Mme Edwige Diaz interroge M. le ministre des armées sur la question du calendrier vaccinal à l’incorporation publié chaque année par le service de santé des armées (SSA). Une série de dispositions légales et réglementaires est venue supprimer l’obligation de vaccination contre la covid-19 notamment à destination du personnel soignant et des étudiants (…)

Néanmoins, Mme la députée a été sollicitée par de nombreuses personnes formant le vœu de devenir réservistes au sein des forces armées, mais qui ne semblent pas en mesure d’obtenir une information claire, précise et définitive sur les obligations vaccinales à satisfaire et au premier chef celle contre la covid-19. En effet, Mme la députée note que l’instruction n° 504783/ARM/DCSSA/SDD relative à la vaccination contre la covid-19 dans les forces armées et formations rattachées en date du 19 avril 2022 ne semble pas actualisée, sauf indication contraire circulant en interne dans les administrations des armées. Elle souligne de plus que le calendrier vaccinal à l’incorporation pour l’année 2023 semble toujours prévoir, par renvoi à l’annexe 4 de la directive n° 2022-520546/ARM/DCSSA/SDD/OS/NP du 22 décembre 2022, que la vaccination contre la covid-19 est « recommandée ou réglementaire », suivant un « schéma vaccinal » basé sur les « recommandations en vigueur ». Face à la diversité des sources d’information, Mme la députée souhaiterait que le Gouvernement clarifie sa position sur les obligations vaccinales face à la covid-19 qui incombent aux personnels des armées – civils comme militaires – et notamment aux réservistes. En cas de maintien de cette obligation, elle lui demande s’il va procéder à une coordination des suspensions de ces obligations vaccinales.

Quant aux sanctions qui ont été prononcées contre les militaires courageux ayant refusé cette “vaccination”, le ministre des armées a botté en touche en juillet 2023 en réponse à la question formulée par le député RN Grégoire de Fournas lui demandant combien cela concernait de militaires :

Tout militaire qui refuse cette vaccination se rend ainsi inapte aux missions pour laquelle celle-ci est obligatoire et ne peut donc y participer (…) En l’absence de motif légitime, le refus de vaccination contre la COVID-19 en amont d’une projection en opération ou d’un déploiement opérationnel est susceptible de justifier une sanction disciplinaire (…) Dans la mesure où il n’existe pas de suivi systématique des sanctions par leur motif, les armées ne disposent pas de statistiques sur les sanctions disciplinaires liées à la non-vaccination contre la COVID-19. Par ailleurs, les départs anticipés de l’institution sont dus à des facteurs multiples : au regard de la diversité des situations, il n’est pas établi que la non-vaccination à la COVID-19 serait la cause unique d’un départ de l’institution.

 

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12 commentaires

  1. Quand les députés demanderont-ils la levée du secret défense sur le covid ?

  2. Quelques infos…

    1/ La population militaire étant majoritairement jeune, en bonne santé et suivi médicalement, il n’y avait factuellement, médicalement, aucune raison valable pour forcer cette injection (qui rappelons le, ne peut pas être qualifiée de vaccination au regard de son principe de fonctionnement). Mais, l’Etat ne pouvait pas l’imposer à la population sans cela…

    2/ De très nombreux militaires de ma connaissance (op & réservistes) ont “contourné” cette obligation…

    3/ L’Etat s’est retrouvé en 2022 avec des millions de doses “sur les bras”, la xième injection auprès des personnages âgées ayant été un échec (et pour autant on notera qu’il n’y a pas eu une explosion des morts de ce Srass !). Le seul moyen de les écouler maintenant est donc de les affecter à des secteurs qui ne sont pas en mesure de refuser : l’armée… Il est là très facile de faire pression sur les militaires, avec des menaces de mutation et/ou d’arrêt de carrière…

    4/ Il se dit, dans certains milieux, que “ces campagnes” servent aussi de tests…

    5/ 67 morts d’effets secondaires, le chiffre est probablement bien plus important. Mais quand un jeune milouf de 30 ans, hyper sportif, n’ayant jamais eu le moindre problème médical, s’écroule et décède. Son cas est classé dans les arrêts cardiaques inexpliqués. Circulez !

  3. Si c’est vrai, c’est très grave

    • Et si c’est faux ça n’est pas grave. Comment savoir ? On ne trouve aucune source à cette information

      • Bah… il suffit de savoir cliquer. Je ne comprends pas bien votre question

        • Excellente réponse et d’autant plus excellente que cette réponse est validée par le gouvernement qui veut censurer les sources qui le dérangent. Bref, on trouve suffisamment d’infos sur le net pour savoir ce qu’est cette passionnante cochonnerie et le projet derrière; ils préviennent toujours parfois ce qu’ils vont faire parfois même en le gravant dans la pierre.

        • J’ai cherché des sources et n’ai rien trouvé en dehors des affirmations de cette dame.

          • “Cette dame”, qui est votre consœur, a beaucoup œuvré en faveur de la vérité depuis le début du covid.
            Au sujet des militaires, une chose est certaine, le rapport bénéfices risques est nul pour eux, compte-tenu de leur jeune âge, et d’autant plus que les problèmes cardiaques générés par le vaccin touchent surtout les jeunes hommes.

  4. Si c’est pas vrai, c’est très grave aussi

  5. On aimerait en effet savoir ce qu’il en est réellement des potentiels effets indésirables du « vaccin ».
    Mais poser de simples questions vous place illico dans le camp des « complotistes »…

  6. Je crains que, malheureusement, le bilan de cette folie sanitaire est beaucoup plus lourd et que ce n’est pas terminé.
    En France, les autopsies des personnes “décédées avec diagnostic COVID-19” (terminologie officielle de Santé Publique France) ont été interdites.
    Dans d’autres pays, notamment en Grande-Bretagne et aux États-Unis, de nombreux thanatopracteurs ont remonté les cas de caillots “caoutchouteux et jusqu’à 3 pieds” extraits des vaisseaux sanguins des défunts vaccinés qu’ils devaient préparer.
    Informations soigneusement censurées par les médias français…

  7. L’emploi de l’Ivermectine pour traiter le Covid19 n’est plus interdit aux USA.
    Il existe donc aux USA une parade au Covid permettant d’éviter ce vaccin qui ne protège ni contre la contamination par le virus, ni contre la transmission de celui-ci à d’autres personnes, ni même (ultime hoax officiel pour promouvoir ce vaccin) contre les “formes graves” de la maladie.

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