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France : Société

72 personnes ont été indemnisées pour des complications survenues après une vaccination Covid

Par Michel Janva le 18 commentaires / 228 vues
72 personnes ont été indemnisées pour des complications survenues après une vaccination Covid

Les fake news de la veille deviennent les informations du lendemain :

Ces dossiers seront l’un « des sujets essentiels pour l’Oniam » dans les années à venir, a estimé François Toujas.

Soixante-douze personnes ont été indemnisées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) pour des complications survenues après une vaccination Covid (principalement des myocardites ou des péricardites). François Toujas, candidat à la présidence de l’Oniam, a déclaré devant la commission des Affaires sociales du Sénat :

« Au 30 juin, l’Oniam s’est prononcée sur le droit à l’indemnisation dans 241 dossiers » « dont 30 % en faveur d’une indemnisation »..

Les propositions d’indemnisation de l’Oniam concernent « principalement des myocardites ou des péricardites ».

Au total, l’Oniam a reçu au 30 juin 1 020 demandes d’indemnisation amiable pour un problème de santé après une vaccination Covid, dont 768 restent en cours d’instruction. Ces demandes concernent dans 691 cas le vaccin de Pfizer, dans 199 cas le vaccin de Moderna, dans 92 cas le vaccin d’AstraZeneca, et dans 19 cas le vaccin de Janssen.

Problèmes de santé mentionnés :

  • les péricardites et myocardites, avec 211 dossiers.
  • troubles neurologiques (196 dossiers, dont 33 avec paralysie faciale),
  • accidents vasculaires cérébraux (AVC)/thromboses/embolies pulmonaires (129 dossiers),
  • troubles articulaires (91 dossiers),
  • troubles auditifs (67 dossiers)
  • troubles dermatologiques (31 dossiers).
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18 commentaires

  1. 1000 demandes d’indemnisation pour 150 millions d’injections sur environ 53 millions de personnes vaccinées en France. Il y a certainement une sous évaluation des effets secondaires (je connais un cas de complication auditive quasiment certainement liée au vaccin et non déclarée) mais une demande d’indemnisation n’est pas non plus une certitude d’imputabilité au vaccin. Dans mon entourage immédiat personnel et professionnel je connais plus de cas de décès ou de séquelles graves liés au COVID qu’au vaccin. On est loin de l’hécatombe vaccinale annoncée par certains !

    • Les statistiques doivent avoir leurs limites puisque personnellement c’est exactement l’inverse dans mon entourage. Simple curiosité, les décès et séquelles graves liées au COVID que vous évoquez concernent toutes des personnes non vaccinées ?

      • 1) ce ne sont pas des statistiques à proprement parlé, des constatations dans mon milieu professionnel sanitaire, environ 200 vaccinés sans complication notable et dans mon “lieu de culte” très majoritairement non vacciné. J’ai vu en patientèle une surdité brutale unilatérale profonde un lendemain ou surlendemain de vaccination très probablement imputable au vaccin.
        2) Oui, chapelle tradi (au moins 90% de non vaccinés, estimation personnelle). 3 décès dont 2 personnes fragiles et une en pleine forme, 4 hospitalisations longues chez des gens en forme entre 40 et 70 ans dont une garde des séquelles respiratoires très importantes sur un total d’environ 300 personnes.

      • Je pense que vous avez mal lu l’article: Toutes ces personnes ont été vaccinées.
        Il serait absurde de demander une indemnisation (à qui ?) pour les séquelles d’un Covid en étant non vacciné.

      • Pardon, les statistiques personnelles, voulais-je dire. Vous auriez peut être des surprises en connaissant le statut vaccinal des personnes que vous supposez non vaccinées (et peut-être même inversement… C’est un peu comme le vote FN en fait :-)). Je crois vos dires sur ce que vous avez constaté mais j’avoue que cela me surprend beaucoup car encore une fois cela ne rejoint en rien mes propres constatations et celles de mon entourage, y compris personnel de santé en lien avec toutes sortes de patients, comme vous. Ce que je vois autour de moi est catastrophique et je crois malheureusement que ce n’est que le début. Notamment pour ce qui concerne la fécondité, qui avait été déjà été bien entamée par d’autres nombreux facteurs. J’ai 35 ans et comme je ne suis pas vaccinée, je devrais avoir le temps de voir la suite, si Dieu me prête vie !

    • C’est le début du commencement… Pour l’instant les personnes victimes de ces effets secondaires graves ont accepté un indemnisation à l’amiable. Le battage médiatique va aiguiser l’appétit de ceux, nombreux, qui ont subi ces effets avec plus ou moins d’intensité, soit pour obtenir eux aussi une indemnisation amiable, soit pour les plus gourmands et/ou les plus gravement atteints un bon procès bien médiatisé avec le jackpot à la clé: Les juges savent que Pfizer a les reins solides et que son copieux passé judiciaire ne plaide pas en sa faveur.

      • Tout est justement fait pour qu’il y ait peu de battage médiatique…
        Qui contrôle les merdias, contrôle les esprits. Avons-nous entendu parler des ces 72 indemnisations sur BFM ?
        Par contre, un cas de grippe aviaire et des millions de volailles à l’abattage…

      • Sauf que Pfizer ne paiera pas puisqu’il a fait signer aux incapables ou plutôt vendus qui sont à la tête de l’état et de l’europe que s’il y avait des problèmes ce sont les états qui paieraient. Donc nous tous vaccinés ou pas

    • Si j’ai bien lu, il ne s’agit ici que des demandes sur des personnes vivantes ayant été vaccinées.
      Combien de décédées ? Les morts ne parlent pas mais les chiffres oui. Peu médiatisées mais les statistiques de l’INSEE montraient une surmortalité après vaccination et non avant…

      • Si des indemnisations ont eu lieu pour des personnes vivantes, les proches de personnes décédées vont se manifester tôt ou tard.

        • Encore faudrait-il connaître la proportion de personnes qui sont capables de déni.
          Combien oseraient avouer publiquement s’être trompé et avoir laissé un proche mourir ?

          • Tout à fait d’accord, le déni est un mécanisme de protection puissant. Et à mon avis le plus dur n’est pas forcément d’avouer son erreur publiquement, mais déjà de se l’avouer à soi-même. Y compris pour les personnes victimes d’effets secondaires. J’en connais qui ont mis beaucoup de temps à faire des liens dans leur tête, totalement aveuglées par le martelement que l’on a connu et par la violence qui leur a été faite pour les mener à l’injection qui a finalement pourri leur vie. C’est d’autant plus vrai pour les soignants. S’ils reconnaissent que quelque chose ne tourne pas rond là dedans, cela implique une remise en question tellement énorme de toute leur formation, de leur confiance dans les autorités de santé, dans le monde tel qu’ils le connaissent, que le pas est trop dur à franchir pour beaucoup. Sans compter le poids de la culpabilité d’avoir injecté de nombreux patients qui faisaient confiance, et d’avoir grassement gagné de l’argent au passage, pour certains. Non décidément, c’est bien plus simple psychologiquement de persister à penser qu’il n’y a rien à signaler, que tout va bien. Je connais quelques médecins qui ont été capables d’ouvrir les yeux, mais il faut entendre à quel point c’est dur pour eux.

    • Reconnaissons néanmoins que:
      1/ Le vaccin n’a protégé ni contre l’infection ni contre la transmission du virus. Des gens à jour de leurs vaccins et rappels ont développé la maladie 2 fois voire 3 fois de suite.
      2/ Concernant la transmission un membre du staff Pfizer a admis ingénument devant des députés européens que le vaccin n’avait jamais été testé à cet effet.
      3/ Le Pr Perrone, en se basant sur des statistiques anglaises (les stats françaises faisant l’objet d’une rétention suspecte de la part des autorités) a démontré que la prétendue “protection contre les formes graves de Covid” relevait de la légende urbaine, le pourcentage de décès étant identique chez les personnes ayant contracté le virus, qu’elles soient vaccinées ou non vaccinées.
      Une légende qui continue cependant à être largement répandue par les média.

  2. Mince alors, plus de morts après injection en 2022 que pendant le Covid en 2020…

    https://www.bfmtv.com/sante/53-000-morts-de-plus-l-insee-constate-une-nette-surmortalite-en-2022_AD-202306070874.html

  3. voici un avis :
    https://twitter.com/PanDanTag/status/1673632016758128641?t=I1d2SnFcb4s2jlHOrAn1xg&s=35
    ensuite j’avais lu un article sur Télégram d’une discussion à la commission (?) européenne, la vaccin validé n’était pas celui distribué et que celui distribué faisait 5% de décès et, de mémoire, 35% d’effets indésirables…si un courageux qui a un peu de temps peut retrouver l’info…

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