Réaction de Jean-Marie Le Pen :
Après l’opération médiatique qui a consisté à interpeller près de 200 clandestins pour les relâcher quelques heures plus tard, le ministre de l’Immigration s’est rendu à Calais pour annoncer la « fermeture » de la « Jungle » où des centaines de clandestins attendent de passer en Grande-Bretagne, mais aussi pour assurer que l’Etat ne laisserait pas sans soutien ces personnes qui n’ont pourtant aucun titre à se trouver sur le territoire français.
En réalité, M. Besson n’est que l’exécuteur des ordres de la Commission européenne.
La Commission européenne a en effet décidé que seraient installés à Calais des CADA : centres d’accueil de demandeurs d’asile, c’est-à-dire des Sangatte améliorés, ainsi qu’un « bureau d’appui » aux demandes d’asile, afin de traiter en France les demandes d’asile concernant la Grande-Bretagne, et d’obliger ainsi les Britanniques à « prendre leur part du fardeau de l’immigration clandestine », selon les propres paroles de Jacques Barrot.
Autrement dit, Bruxelles va mettre en œuvre à Calais, par l’entremise
de ses laquais de Paris, une gigantesque pompe aspirante de
l’immigration clandestine, en violant la souveraineté nationale de la
France comme du Royaume-Uni.
En réalité, M. Besson n’est que l’exécuteur des ordres de la Commission européenne.
La Commission européenne a en effet décidé que seraient installés à Calais des CADA : centres d’accueil de demandeurs d’asile, c’est-à-dire des Sangatte améliorés, ainsi qu’un « bureau d’appui » aux demandes d’asile, afin de traiter en France les demandes d’asile concernant la Grande-Bretagne, et d’obliger ainsi les Britanniques à « prendre leur part du fardeau de l’immigration clandestine », selon les propres paroles de Jacques Barrot.
Autrement dit, Bruxelles va mettre en œuvre à Calais, par l’entremise
de ses laquais de Paris, une gigantesque pompe aspirante de
l’immigration clandestine, en violant la souveraineté nationale de la
France comme du Royaume-Uni.