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Culture de mort : Avortement

Après l’avortement, l’infanticide légal ?

Lu ici :

" Que faire lorsqu’un enfant avorté naît vivant? Des informations mises en ligne par Statistiques Canada semblent dire que dans des centaines de cas on l’a tout simplement tué après sa naissance.

À partir des données de Statcan, le blog pro-vie Run With Life a calculé qu’entre 2000 et 2009, 491 avortements de 20 semaines de gestation et plus ont abouti à des naissances vivantes. L'enfant avorté serait donc mort après sa naissance. Les statisticiens fédéraux attribuent le code P96.4 à ces avortements post-partum et les classent sous la rubrique «Interruption volontaire de grossesse, affectant le fœtus et le nouveau-né» (…)

L'Institut canadien d'information sur la santé rapporte 119 «avortements-naissances vivantes» pour l'année 2010/201, un chiffre qui représenterait un accroissement significatif par rapport aux années précédentes.

La question qui se pose dans ces cas est la suivante: si l'enfant survit à son avortement, c’est-à-dire, s’il est vivant après avoir été retiré de l’utérus de sa mère, est-ce un homicide de le tuer où est-ce qu’il est normal de mettre fin à sa vie comme le voulait sa mère? Si vous répondez à cette question qu’on doit s’en débarrasser, je vous en pose une seconde qui découle de la première. Pendant combien de temps après sa sortie vivant de l’utérus de sa mère, elle ou le médecin avorteur, ont-ils le droit de le tuer comme s’il s’agissait d’un fœtus? Deux minutes, vingt minutes, une heure? (…)"

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18 commentaires

  1. Horrible… et tous ça au nom des droits des femmes… au féminisme…

  2. Cela s’appelle de l’avortement post-natal mais on lui préférera l’acronyme d’APN.
    Le concept a été développé très officiellement l’an dernier par Francesca Minerva et Alberto Giubilini…
    C’est déjà une réalité: le protocole de Groningen, permettant d’euthanasier un enfant à sa naissance, est appliqué au Pays-Bas.
    Deux minutes, vingt minutes, une heure ?
    Pour ma part je pense que 7 ans, l’âge de raison pourrait être une bonne limite.

  3. Si l’enfant naît viable, alors il obtient la personnalité juridique, et est un sujet de droit. Partant de là, l’irresponsabilité juridique de la mère tombe: ayant accouché en bonne santé, elle ne peut plus invoquer l’état de nécessité. Tuer l’enfant constitue alors un meurtre, du moins en droit Français…

  4. Mais quelle horreur!!!!!!!!!!! C’est vraiment épouvantable. Ce sont des bêtes. Inimaginable !

  5. Ca se pratique déjà en France: un médecin français (au nom d’un chef vendéen, Charette ou Cathelineau) l’avait appris aux évêques réunis à Lourdes. Il y a une vidéo de l’émission de Philippine de Saint Pierre sur Kto: il y avait aussi l’évêque de Marseille et d’autres évêques.

  6. c’est déjà ce qui se passe en Chine et depuis de nombreuses années…

  7. les tueurs à gage du XIXe siècle ne sont plus ce qu’ils étaient…Je vous demande pardon d’être aussi cynique, mais c’est quand même ahurissant de lire des atrocités pareils.
    Pauvres petits, je les porterai dans ma prière, avec tous les autres…
    Pauvres médecins avorteurs, que reste-t-il pour les sauver…
    Pauvres mères, si elles savaient cela, elles seraient anéanties, déjà qu’elles ne s’en remettront pas…

  8. Que Dieu nous pardonne et préserve les siens de sa vengeance!

  9. Vous comprendrez que je puisse trouver cet article extrêmement curieux dans sa formulation!
    Entre autre je suis étonné dans cet article du tour de passe passe qui consiste – alors qu’on parle évidemment techniquement d’une fausse couche, provoquée ou non, là n’est pas la question – à faire disparaître un foetus pour faire apparaître un “enfant”…
    Si je comprends bien, et je n’en suis pas sur, parce que ce n’est franchement pas clair dans la rédaction, nous parlons de foetus de 20 semaines expulsés de l’utérus au cours d’une procédure d’avortement et qui se seraient retrouvés “vivants”?
    Si c’est bien le cas, la bonne question est: un foetus de 20 semaines est-il susceptible de constituer un “prématuré” viable au sens classique de la gynécologie?
    Si tel est le cas, on peut effectivement se poser la question…
    Dans le cas inverse, je m’étonne qu’on se pose même la question.
    Il s’agit donc bien de savoir si la médecine prénatale est susceptible de répondre aux besoins de prématurés de 150 jours?
    Sinon, sur le plan éthique, nous nous trouvons exactement dans la situation d’un foetus mort lors d’un avortement!
    Le foetus devenu “bébé” à 150 jours n’étant de toutes les façons pas viable!
    Je ne saisis pas le distingo là…

  10. Assiste-t-on à la réhabilitation de Josef Mengele ?

  11. Que Dieu nous pardonne et donne à chacun selon Sa justice.

  12. Il ne nous reste, avec les larmes, que la prière.

  13. Moi je propose 100 ans, comme ça on règle du même coup le “droit à mourir dans la dignité”, et le tour est joué…

  14. Pour moi, il n y a pas de mélange ou quoi que ce soit……mais peut-être est-ce parce que, dès la grossesse confirmée, je SAVAIS qu un enfant vivait en moi. D ailleurs, je ne me suis jamais trompée……ce sont bien des enfants que j ai mis au monde.
    Vous pouvez trouver des mots différents afin de soulager votre conscience, foetus, amas de cellules, embryon…..cela ne changera rien à la réalité de la grossesse, ce sont des enfants que nous portons, que nous mettons au monde et surtout que nous aimons depuis la toute première seconde !

  15. L’horreur absolue

  16. Seigneur ayez pitié de nous, accueillez en votre Paradis ces enfants et permettez leurs d’intercéder pour nous.

  17. Dans le ventre d’une mère, deux bébés parlent. L’un est croyant, l’autre pas :
    Bébé-A : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
    Bébé-C : Bi…en sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Et nous sommes juste ici pour devenir forts et prêts à ce qui nous attend après.
    BA : Tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement… Est-ce que tu peux toi imaginer …à quoi une telle vie pourrait ressembler ?
    BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.
    BA : Mais c’est du n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Et de cette autre vie, il n’y eu encore aucun revenant. La vie tout simplement se termine par l’accouchement.
    BC : Non ! Je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler. Mais dans tous les cas, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.
    BA : Maman ? Tu crois en maman ??? Et où se trouve-t-elle ?
    BC : Mais elle est partout ! Elle est autour de nous ! Grâce à elle, nous vivons. Et sans elle, nous ne sommes rien.
    BA : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.
    BC : Non, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie ne va que commencer après l’accouchement…

  18. Merci, Esperanza pour cette belle histoire. C’est une métaphore magnifique.

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