De nombreux juristes (dont ceux du MRAP et de la LICRA) pensent que les derniers propos de Le Pen ne sont que des jugements de valeur et que l’enquête n’a aucune chance d’aboutir. Pire, elle pourrait même finir par relaxer le président du FN, ce qui serait insupportable pour la classe politico-médiatique.
Selon Philippe de Villiers et Julien Dray, Le Pen a simplement souhaité réoccuper la scène médiatique d’où il est chassé, ce que conteste ce dernier, puisqu’on l’accuse sur la base de 10 lignes extraites d’un entretien de 2 pages (reproduit ici).