Daniel Hamiche rapporte les propos du Président Bush à l’égard de Benoît XVI, dans un discours sur le Pape, la défense de la vie, le rôle des catholiques dans la société américaine et le système scolaire catholique :
"Cette semaine a été une semaine de grande joie. Ce fut un moment de grande joie pour les catholiques – et cette semaine ne fut pas non plus si mauvaise pour les méthodistes ! La joyeuse excitation était palpable. Les rues était pleines de gens tout excités à l’idée que le Saint Père était là. Et ce fut un très grand honneur que de recevoir cet homme bon aux États-Unis. Pour ceux qui étaient sur la pelouse du Sud [de la Maison Blanche] – ou qui ont suivi en direct cette cérémonie – ce fut, chose incroyable, ce fut tout simplement un moment exceptionnel. Et ce fut aussi un moment exceptionnel que de recevoir le Saint Père dans le Bureau ovale. C’est un humble serviteur de Dieu. C’est un brillant professeur. C’est une âme ardente et généreuse. Il montre du courage dans la défense des vérités fondamentales. Sa Sainteté croit que la liberté est un don que Dieu donne à chaque homme, à chaque femme, à chaque enfant sur cette terre. Il sait que toute personne possède une valeur, ou mieux, pour utiliser des propres mots : “chacun de nous est voulu, chacun de nous est aimé [et] chacun de nous est nécessaire”. Le Saint Père croit fermement qu’à celui à qui il a été beaucoup donné on doit attendre qu’il donne beaucoup : il est un messager de l’appel de Dieu à aimer notre prochain comme nous voudrions être aimés nous-mêmes".
MJ
VdR
Attendons les propos de notre président en septembre prochain…
iffy
et dire que pour une “certaine presse” dite francaise il passe pour un idiot!excusez les ,Monsieur Bush ,mais ils ne savent pas qui ILS SONT!
Pascal G
Ces propos sont une réponse à ceux qui accusent Bush d’hypocrisie ou de ”moralisme” : cet homme, comme une grande partie de la droite républicaine, a un sens chrétien que l’on rencontre peu chez les responsables politiques européens, et surtout, français.
Sarkozy reçoit les dirigeants maçonniques à l’Elysée, tandis que Bush qui en rencontre lui aussi certainement, étant donné l’aspect public et non secret de la maçonnerie aux USA, reçoit le Pape à la Maison Blanche. Ceci quoi qu’on puisse penser de la politique extérieure américaine, souvent peu claire.