Une jeunesse chrétienne pour un retour du sacré à la messe ainsi qu’un plus grand respect du magistère
Deux enquêtes ont été initiées par le frère Paul Adrien, dominicain connu sur Youtube, ainsi que Luc Desroches, co-fondateur de Paroles d’Hommes, afin de connaître les aspirations de leur public concernant l’Église. Les résultats sont à des années-lumières du synode.
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- Les personnes sondées réclament majoritairement une Église qui assume ses opinions.
- Elles militent pour un retour du sacré à la messe ainsi qu’à un plus grand respect du magistère. Le succès du pèlerinage de Chartres témoigne de l’engouement de la jeunesse à propos d’un retour à la tradition et du sacré.
Une grande partie des sondés sont des jeunes chrétiens. Plus de 28% des personnes qui ont répondu sont dans une démarche de pratique régulière de la foi depuis moins de trois ans.
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- Parmi les personnes interrogées, 90% se disent fières d’être chrétiennes, mais d’après eux, l’Église ne les encourage pas assez.
- Le manque de respect envers le christianisme fait souffrir 49% des interrogés.
- 26% pensent que la laïcité à la française est abusive
Pologne : tentative d’interdiction de la grande manifestation patriote
Après une tentative d’interdiction par le maire de la ville, le défilé de la fête de l’indépendance du 11 novembre à travers la ville de Varsovie, l’une des plus grandes manifestations patriotiques d’Europe (voir les images de 2018), aura bien lieu.
Le 23 octobre, le bulletin d’information publique de Varsovie a finalement publié un avis d’acceptation de la marche de l’indépendance du 11 novembre. Cela signifie que la plus grande manifestation patriotique d’Europe se déroulera à nouveau dans les rues de Varsovie, comme c’est le cas depuis 14 ans, malgré une nouvelle tentative d’interdiction cette année.
Le maire de Varsovie, Rafał Trzaskowski, a d’abord pris une décision interdisant la Marche de l’Indépendance, en invoquant les importantes entraves à la circulation et à l’accès aux habitations que cette marche, qui rassemble environ 100 000 personnes, provoqueraient.
En fin de compte, la mairie a cédé à la vague de critiques, bien que le camp au pouvoir de M. Trzaskowski n’ait pas caché son aversion pour lacetteMarche de l’Indépendance et ait retiré à l’événement le statut d’événement cyclique dont il bénéficiait de 2017 à 2023. Cela oblige les organisateurs à rivaliser avec d’autres entités pour réserver l’itinéraire traditionnel de la marche chaque année, le 11 novembre. Comme l’avaient prévu les organisateurs de la marche, des inconnus ont effectivement tenté d’usurper l’itinéraire traditionnel de la marche.
En septembre, sur ordre du parquet, le siège de l’Association de la Marche de l’Indépendance a été perquisitionné par la police, qui a saisi un certain nombre de documents et d’appareils électroniques. Dans cette affaire, les avocats de l’Institut Ordo Iuris, représentant l’Association de la Marche pour l’Indépendance, ont déposé une plainte contre les décisions du bureau du procureur et les procédures de perquisition et de saisie.
En outre, l’Institut Ordo Iuris et l’Association de la Marche de l’Indépendance ont préparé une pétition pour mettre fin aux attaques illégales contre l’événement. Finalement, le maire de Varsovie a publié un avis sur le rassemblement du 11 novembre dans le bulletin d’information publique. Cela signifie que la Marche de l’Indépendance sera organisée légalement.
Cette manifestation commémore l’indépendance de la Pologne recouvrée par les armes après la Première Guerre mondiale.
CESE : payés à ne rien faire
Voilà déjà 10 ans que nous réclamons la dissolution du CESE, cet organisme inutile et coûteux. Le Figaro vient de publier un article pour dénoncer ce «Club Med de la République» :
Comment gagner entre 3700 et 4500 euros brut par mois pendant cinq ans, renouvelables une fois, et toucher ensuite une retraite à vie en en faisant le moins possible!? Le Conseil économique, social et environnemental est le «Club Med de la République!». C’est Sophie de Menthon qui le dit, en connaissance de cause : elle y a été membre de section, un poste quasi bénévole, de 1997 à 1999, puis conseillère de 2009 à 2015, période pendant laquelle elle a touché 2600 euros brut par mois. Sa retraite du CESE est aujourd’hui de 2500 euros par trimestre. « C’est un nid de syndicalistes, nommés ici par leurs centrales pour les récompenser, dit-elle. Ils ont la main sur tout.» La chef d’entreprise et présidente du mouvement Ethic (Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance) n’a jamais eu d’aussi bons rapports avec des représentants de salariés qu’au sein de l’institution du palais d’Iéna. « Ma présidente de section, une cégétiste, était absolument exquise, se souvient-elle. L’influence sans doute de ces locaux magnifiques et de l’urbanité des rapports entre nous ! Ici, tout le monde s’entend avec tout le monde.» Outre les représentants du monde du travail, le CESE accueille des acteurs du monde associatif et des militants de mouvements divers, jeunes et écolos notamment.
Les 175 conseillers doivent participer un après-midi tous les quinze jours aux séances plénières, sous peine d’amende. Ils y votent des rapports que personne ne lit, rédigés par les 153 fonctionnaires du CESE. Ils produisent aussi des avis que personne ne suit. […]
Tensions non résolues depuis la fin de la Guerre froide, une période qui rappelle celle qui a suivi le Traité de Versailles
Co-fondateur de l’IFRI (Institut Français des Relations internationales), puis député, ministre, président de l’Assemblée Parlementaire de l’Otan, et représentant spécial de la France en Afghanistan-Pakistan, Pierre Lellouche vient de publier Engrenages. La guerre d’Ukraine et le basculement du monde (Odile Jacob). Il a été interrogé par Jean-Baptiste Noé dans Conflits. Extraits :
Vous comparez souvent cette situation avec la période qui a suivi le traité de Versailles. Pouvez-vous expliquer ce parallèle historique ?
Le parallèle est pertinent, car le traité de Versailles, de 1919 avait laissé sans réponse, nombre de questions géopolitiques capitales, comme le comprit très rapidement Jacques Bainville dans son ouvrage Les conséquences politiques de la paix (1919). À Versailles, d’ailleurs, la question ukrainienne avait été purement et simplement ignorée : par les vainqueurs comme par les vaincus, tandis qu’en Russie, les Bolcheviques comme les Russes Blancs considéreraient eux aussi l’Ukraine comme faisant partie intégrante de la Russie. En 1945, Staline traça les frontières de l’Ukraine moderne, mais à l’intérieur de l’Union soviétique, et Khrouchtchev y ajouta la Crimée en 1956, comme « cadeau » à la République Soviétique de Kiev.
La question se posa à nouveau en 1991 lors de l’effondrement de l’URSS : qu’allait-on faire de ce pays, à l’époque de 52 millions d’habitants et trois fois plus vaste que la France ? Confirmer son ancrage vers la Russie, ou l’accueillir à l’ouest, ou simplement lui donner un rôle de pont entre les deux camps et donc un statut de neutralité garantie par la communauté internationale ? En vérité, les Occidentaux n’ont jamais voulu, ou su traiter cette question de manière explicite, pour des raisons tenant à l’indifférence, à l’ignorance, au business (le gaz russe bon marché), bref à une négligence stratégique, similaire aux années 1930. Aujourd’hui, la guerre en Ukraine rappelle ces tensions géopolitiques mal gérées, amplifiées par l’élargissement de l’OTAN et l’incapacité des grandes puissances à s’entendre sur le statut de l’Ukraine.
[…] Car on ne sait toujours pas ce que l’Occident veut réellement obtenir à l’issue de cette guerre. Est-ce la libération totale du territoire ukrainien, ce qui semble aujourd’hui hors de portée ? Ou bien la chute du régime de Poutine ? Cette ambiguïté affaiblit la stratégie occidentale, tandis que la lassitude gagne en Europe comme aux États-Unis, et que les caisses sont vides…
Donc l’Occident n’a pas d’objectif de guerre clair ?
Exactement. Contrairement à la Russie, qui a défini des objectifs – même s’ils ont évolué au fil du conflit – l’Occident semble manquer de but précis. Au début, la Russie voulait sans doute occuper toute l’Ukraine et installer un régime pro-russe, mais cette ambition a échoué. Les Russes ont alors concentré leurs efforts sur le Donbass et la Crimée. L’objectif russe est donc plus ou moins clair aujourd’hui : maintenir le contrôle de ces régions. En revanche, du côté occidental, le discours se résume à un slogan assez flou : « aussi longtemps que nécessaire», sans que l’on sache vraiment ce que cela signifie. Nous sommes dans une guerre où les émotions dominent, mais sans véritable plan stratégique à long terme.
[…] Dans les grandes lignes, l’essentiel de l’accord a déjà été négocié entre les belligérants dès avril 2022, sous médiation turque (je publie en annexe, dans mon livre, l’essentiel du projet d’accord alors négocié).
Les deux parties devront d’abord se mettre d’accord sur un partage territorial que naturellement ni l’Ukraine, ni les Occidentaux ne reconnaîtront comme définitif, de même que dans les années 40, nous n’avions pas, nous Occidentaux, reconnu la partition de l’Allemagne comme définitive. La réalité sur le terrain, est que la Russie contrôle déjà 20 % du territoire de l’Ukraine, notamment la Crimée et une grande partie du Donbass, lui-même annexé d’ores et déjà par Moscou. La réalité militaire est que l’Ukraine ne pourra pas reprendre ces territoires par la force armée. Dès lors, le futur accord ne pourra que constater cet état de fait.
Reste le plus difficile : le statut de l’Ukraine et les garanties de sécurité. La réalité, là encore, au-delà des beaux discours, est que l’Ukraine ne pourra pas entrer dans l’OTAN : ni les Américains, ni les Allemands ne souhaitent franchir cette ligne par crainte d’une confrontation directe avec la Russie. Funeste ironie pour qui se souvient que l’origine de cette affaire remonte au sommet de l’OTAN à Bucarest en 2008, où George W Bush tenait absolument à faire entrer l’Ukraine immédiatement ! Reste alors le statut de neutralité, compatible avec l’entrée de l’Ukraine dans l’UE, qui serait garanti par la communauté internationale. Cette fois cependant il devra s’agir de garanties extrêmement solides, à un moment où les États-Unis sont tentés de basculer vers l’Asie. Cela signifie que l’Europe devra jouer un rôle crucial dans la sécurisation et la reconstruction de l’Ukraine de l’après-guerre : un pays amputé, économiquement dévasté, politiquement instable et de surcroît sur militarisé. En clair : une tâche immense s’annonce donc pour les européens. […]
Wokisme : Laurent Gerra non plus n’a pas aimé la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques
L’humoriste lyonnais Laurent Gerra, invité de l’émission Quelle époque sur France 2 samedi, a déclaré :
« Je ne vais aller dans le sens du wokisme, du neo-feminisme et du véganisme, tous les trucs en ‘isme’ qui nous emmerdent ». « Je suis libre. La scène est le dernier espace de liberté. Sur RTL, je suis libre, je ne vais pas sur les réseaux de cas sociaux ».
Dans une autre émission, On refait la télé sur RTL, diffusée ce week-end, le comédien confie :
« Non je ne l’aime pas, mais ça va j’ai mes vieux films, mes vieux disques, j’ai de quoi m’émerveiller d’autres choses ».
L’humoriste n’a pas du tout apprécié la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
« Tout ce dont je me moque dans mon spectacle était réuni dans cette cérémonie. On avait tout. Trois heures avec des gens sur des péniches qui font coucou, avec les rappeurs et Aya Nakamura… Il fallait se fader le truc ! » « J’ai pas tenu jusqu’au bout (…) Tout le monde était fier d’être français et moi, je riais aux larmes… Je me disais, mais c’est pas possible qu’on donne une image comme ça de la France. Je veux bien être progressiste, mais pas avec des trucs ridicules quand même… À un moment donné, c’est quand même notre argent ! ». « Je n’aime pas ça, il y a toujours une surenchère… Je suis pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour, comme disait Pierre Dac ».
Le service public s’empare de la question de la détransition de genre
Les personnes ayant changé de sexe qui, regrettant leur choix, tentent de faire le chemin inverse est un phénomène en pleine expansion. Dans ce documentaire diffusé mardi soir, le téléspectateur suit Emma, 20 ans, née fille, qui a entrepris dès 14 ans les démarches pour devenir un garçon : prise de testostérone, puis ablation de la poitrine à 16 ans. Après deux années en tant que Nathan, elle est tombée en dépression et exprime des regrets.
Les «détrans» regrettent en général le manque d’information et de garde-fous dans leur démarche. Alors que des pays comme la Grande-Bretagne et la Suède font marche arrière dans les processus de transition, ne faudrait-il pas mettre le pied sur la pédale de frein? Plus désemparés qu’en colère, les parents d’Emma pointent le fait d’avoir été mis sur «des rails» avec «une seule destination». Un «processus balisé», des entretiens «très techniques», une «chronologie tracée», avec comme objectif un changement de genre en moins de deux ans. Sans trop se soucier de l’état psychologique de l’adolescente en mutation. Irresponsables.
Le Gouvernement est-il un gouvernement pro-immigration irrégulière ?
C’est la question posée lundi par le député Brigitte Barèges (UDR) lors des questions au gouvernement :
Je pose la question à M. le Premier ministre : le Gouvernement est-il un gouvernement pro-immigration irrégulière ? La semaine dernière, nous avons appris avec stupéfaction, en commission des lois, que les crédits destinés à la lutte contre l’immigration irrégulière seraient réduits d’un quart, ce que le ministre de l’intérieur a d’ailleurs reconnu. Et nous découvrons maintenant dans le projet de loi de finances pour 2025 que 1 milliard d’euros de subventions serait destiné aux associations pro-migrants ! Ce budget a triplé depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2016. Ces associations, nous le savons, sont bien souvent complices des passeurs et des mafias qui ont du sang sur les mains et des morts sur la conscience, qu’il s’agisse des hommes et des femmes qui périssent chaque année en Méditerranée ou qu’il s’agisse du sang des Français ! Ainsi, l’auteur de l’attentat islamiste d’Arras avait-il bénéficié de l’aide de la Cimade pour être régularisé avec sa famille en 2014 avant de montrer sa reconnaissance en assassinant le professeur Dominique Bernard.
Pour réduire l’immigration, commençons par réduire les budgets de ceux qui l’alimentent et l’encouragent ! Le groupe UDR a déposé un amendement à votre budget afin de retirer en urgence 500 millions les subventions à ces associations. Ma question est donc simple : êtes-vous d’accord pour réduire enfin les aides aux associations pro-migrants et pour en affecter le montant à la construction de centres de rétention et d’expulsion, comme l’avait demandé Éric Ciotti lors de l’examen de la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur ?
Réponse du secrétaire d’État chargé de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations, Othman Nasrou :
Contrairement à ce que vous indiquez dans votre question, il ne s’agit pas de subventions à des structures associatives mais de financements dans le cadre d’une délégation de service public décidée par l’État – cela fait partie de sa politique migratoire. Des associations se sont portées candidates à un appel à projets et l’ont emporté. En proposant, comme vous le faites dans votre amendement, de supprimer 500 millions de crédits de la mission Immigration, asile et intégration, vous-même voulez casser notre capacité à exécuter notre politique migratoire. Par ailleurs, savoir si nous devons ou non déléguer à des structures associatives une partie des missions relevant de la politique migratoire est une vraie question.
Le ministre de l’intérieur, dont la détermination en la matière est connue de tous, a déjà dit très clairement qu’il était à prêt à étudier la répartition des rôles.
Je vous l’affirme en tout cas : la baisse des crédits n’est aucun cas une solution. D’ailleurs vous la déplorez tout en l’appelant de vos vœux. Je vois là une grande contradiction. Sachez que le cahier des charges imposé à ces structures associatives sera revu. Il est évidemment tout à fait inconcevable que les missions exercées en matière de politique migratoire ne soient pas conformes à la volonté de l’État qui les a déléguées.
Je vous réaffirme donc notre détermination, avec le ministre de l’intérieur et sous l’autorité du Premier ministre, à être beaucoup plus efficace.
Mme Brigitte Barèges : Je vous remercie, monsieur le ministre !
Condamné pour avoir frappé un élu, il accompagne Macron en visite officielle
Outre l’islamophile Yassine Belattar, Emmanuel Macron était accompagné de M’jid El Guerrab, ancien député LREM condamné en appel mi-octobre 2023 à trois ans de prison, dont un ferme, ainsi qu’à deux ans d’inéligibilité pour avoir agressé en 2017 l’ancien responsable socialiste Boris Faure devant un café parisien. Une décision qu’il a contestée en cassation.
M’jid El Guerrab avait asséné deux coups de casque de scooter sur la tête de Boris Faure, provoquant à ce dernier un traumatisme crânien et une hémorragie cérébrale. Il avait été opéré en urgence.
Cet événement avaient poussé M’jid El Guerrab a démissionner du parti présidentiel, tout en gardant son mandat parlementaire jusqu’en 2022. Il avait été élu en juin 2017 député de la 9e circonscription des Français de l’étranger, qui couvre le Maghreb et une partie de l’Afrique de l’Ouest.
Marseille : deux voyous interpellés pour vol sur le toit du sanctuaire Notre-Dame de la Garde
Les deux suspects, âgés de 17 et 18 ans, ont été repérés par une sœur du couvent de la Basilique alors qu’ils prenaient la fuite peu après minuit. Interpellés par des policiers de la BAC, ils ont été retrouvés en possession de pièces de monnaie jetées par les visiteurs sur un toit du site.
Ils étaient tous deux porteurs d’une petite sacoche et d’un sac à dos qui contenaient de l’argent. Dans un communiqué, le diocèse de Marseille explique :
La basilique Notre-Dame de la Garde informe qu’une intrusion a été constatée sur le site du sanctuaire dans la nuit du 28 au 29 octobre. Aucun bâtiment n’a été pénétré et aucune dégradation n’a été relevée. Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, les offrandes n’ont pas été volées, mais seulement les pièces jetées par les visiteurs sur un toit du site.
La sécurité du sanctuaire est une priorité fondamentale, tant pour protéger les personnes qui y vivent et travaillent quotidiennement que pour garantir la sérénité des nombreux visiteurs. Le sanctuaire met en œuvre quotidiennement des moyens humains et opérationnels conséquents pour veiller à la sûreté de l’ensemble du site.
Nous tenons à remercier la Police nationale et l’agence de sécurité ONET pour leur intervention rapide et efficace, qui a permis de protéger ce lieu emblématique.
Le parquet de Marseille a confirmé que les deux individus ont été placés en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour «vol aggravé». Ils étaient tous deux déjà connus des services de police.
Le cofondateur du Planning familial accusé d’abus sexuels
Le Planning familial, qui vient de renouveler son contrat avec l’Éducation nationale, fait un appel à témoignages concernant le Dr Henri Fabre, cofondateur du mouvement, suite au témoignage d’une femme disant avoir été victime d’agression sexuelle en 1961.
Âgée de 21 ans, elle s’était rendue au centre de planification familiale de Grenoble, pour y obtenir des informations sur la contraception. « Alors qu’elle était sur la table gynécologique, déshabillée, Henri Fabre s’est approché d’elle, pantalon baissé, touchant son sexe avec le sien. “Je me suis reculée. J’étais sidérée” », explique le communiqué. Ce témoignage date de 2021 mais l’association ne réagit que maintenant.
Le docteur Fabre, communiste, anti-clérical forcené, compagnon de route des franc-maçons Pierre Simon et d’Henri Cavaillet, avec lequel il avait publié un ouvrage accusant Pie XII de complicité avec le nazisme, au mépris de toute vérité historique.
La justice confie un garçon de 9 ans à un homme condamné pour viol sur mineur
Mediapart révèle l’histoire d’un garçon de 9 ans, dont la mère est dépendante à l’alcool, démissionnaire, et le père violent quand il n’est pas absent, a fait d’un placement à « un tiers de confiance », le voisin sexagénaire chez qui le garçonnet se réfugie régulièrement quand sa mère oublie de rentrer.
Début octobre, sa mère, décidée à réclamer un droit de visite, consulte une avocate. La juriste ouvre le dossier et à la lecture du nom du voisin, tombe des nues. Elle l’a défendu aux assises en 2008 dans une affaire de « viol sur mineur de moins de 15 ans » pour lequel il a été condamné à dix ans de prison.
Nigeria : encore un prêtre enlevé
🇳🇬Nigeria encore un prêtre enlevé⚠️
Le Père Thomas Oyode, recteur du Petit Séminaire de l’Immaculée Conception, a été kidnappé par des hommes armés le soir du 27 octobre, pendant la Messe à Ivianokpodi, dans l'État d'Edo, au #Nigeria.
Prions pour sa libération ! pic.twitter.com/NAXFfDmuOz— AEDFrance (@AEDenFrance) October 29, 2024
Scandale à l’école : des manuels scolaires choquants sur l’éducation sexuelle
L’émission TPMP (Touche pas à mon poste !) sur C8 a consacré une partie de son émission du mardi 22 octobre aux dérives de l’éducation sexuelle que le Syndicat de la famille a rendu publiques :
Boulevard Voltaire souligne que le Syndicat de la famille conteste l’agrément du Planning familial à l’école :
Le renouvellement du contrat entre le Planning familial et l’Éducation nationale a été signé discrètement cet été, en pleine période de remaniement gouvernemental. Il permet à l’association de continuer sa mission, qui dure depuis 2013, pour les cinq années à venir. Un renouvellement que remet aujourd’hui en question le Syndicat de la famille (SDLF). Pour sa présidente, Ludivine de La Rochère, interrogée par BV, ce contrat donne à l’association la légitimité de propager, auprès des enfants, une idéologie dangereuse, « sans fondements scientifiques ». Le Syndicat de la famille voudrait que le ministère mette « un terme à ce partenariat ».
Quand le Planning impose ses thématiques
Pour appuyer ses inquiétudes, le SDLF a publié un rapport, le 23 octobre dernier, dressant un tableau pour le moins troublant des contenus d’éducation sexuelle introduits en milieu scolaire. Outre les programmes de l’Éducation nationale qui abordent, entre autres, la question de l’identité de genre, le rapport détaille les éléments que certaines associations partenaires – dont fait partie le Planning familial – transmettent aux élèves dès 11 ans. « Savoir que j’ai le droit d’avoir plusieurs amoureux-euses », « découvrir qu’il y a autre chose que la pénétration », « choisir le pronom qui me plaît »… Autant d’affirmations qui ne servent qu’à prouver, une fois de plus, le parti pris idéologique, connu depuis longtemps, du Planning familial, dont le projet, depuis 2018, « s’articule dans le cadre d’analyse de l’intersectionnalité », au croisement de toutes les luttes portées par le wokisme.
L’association, qui se targue de répondre aux besoins constatés sur les territoires, ne semble pas prendre en compte les intérêts de son public en termes de vie sexuelle et affective, dénonce le SDLF. D’après son rapport d’activité de 2022, si seulement 2 % des usagers consultent l’association individuellement pour des questions de vie sexuelle (hors IVG, contraception, grossesse et IST), ce thème représente pourtant 16 % des interventions collectives. De même, alors que 5 % des consultations concernent des questions de vie affective, ce sujet est abordé à hauteur de 15 % dans les interventions en groupe.
« Beaucoup d’argent pour une mission peu définie »
Ludovine de La Rochère est claire : une telle association militante et politique n’a pas sa place dans les salles de classe, auprès des plus jeunes. D’autant que ce ne sont pas moins de 2,8 milliards d’euros que l’État a alloué, pour une période de dix ans, au Planning familial. Lequel juge ce montant encore insuffisant, « eu égard aux besoins du territoire en matière d’information et d’accès aux droits ».
Le contribuable français est-il prêt à confier l’éducation sexuelle de ses enfants à une association qui affirme qu’un « homme peut être enceint » ou que le polyamour est un droit comme un autre ? Pour Ludovine de La Rochère, le Planning familial « joue de la légitimité conférée par l’Éducation nationale pour aller très au-delà de sa mission primaire ». Une mission déjà sujette à débat. Vient-on à l’école pour apprendre l’histoire, les mathématiques et le français ou pour se voir distribuer des préservatifs ? […]
Assistanat contre travail : la crise qui couve…
De Christophe Machard dans Les 4 Vérités :
Tout le monde se souvient de la révolte des Gilets jaunes, un mouvement qui a embrasé la France en 2018, cristallisé autour de l’augmentation brutale des prix du carburant. J’ai moi-même pris part à ce mouvement, d’abord sur les ronds-points de Segré, puis à Paris, et j’y ai rencontré des gens travaillant dur, des ouvriers, des employés, des artisans. Ces manifestations ont montré l’ampleur du malaise: des travailleurs incapables de boucler leurs fins de mois, malgré leurs efforts. L’augmentation du coût de l’essence n’a été que l’étincelle, car la colère couvait déjà depuis longtemps, exacerbée par un système d’assistanat qui privilégie ceux qui ne travaillent pas au détriment de ceux qui triment.
Le mouvement des Gilets jaunes a été amplifié par des algorithmes de réseaux sociaux, qui ont joué un rôle dans la propagation rapide de la contestation. Mais, dès que les manifestations ont pris de l’ampleur, la réponse du gouvernement a été sévère: des manifestants ont été éborgnés, des peines de prison ferme ont été prononcées contre ceux qui avaient osé défier l’autorité de l’État.
Cependant, cette répression n’a en rien résolu les causes du problème. Comme souvent en politique, on s’est attaqué aux symptômes, et non aux causes profondes. Ce traitement des symptômes a laissé un goût amer à une grande partie de la population, car les revendications des ronds-points n’ont pas été entendues. Ce que j’ai entendu à Segré, c’était cela: « Je travaille dur, mais je n’arrive pas à joindre les deux bouts. Mes enfants n’ont même pas droit à une sortie au cinéma, alors que les “cas soc” d’à côté peuvent se le permettre grâce aux aides sociales. »
Le cœur du problème, c’est cet assistanat perçu comme injuste, car il bénéficie davantage à ceux qui ne travaillent pas qu’à ceux qui contribuent par leur travail à la société. La réponse des pouvoirs publics a été paradoxale: au lieu d’écouter les travailleurs, ils ont renforcé les aides sociales. Le résultat est là: le déficit public se creuse.
En parallèle, on assiste à une explosion des fonctionnaires territoriaux, avec une augmentation des effectifs de plus de 20 % ces dernières années, comme l’a relevé la Cour des comptes. Ces embauches ne se traduisent pourtant pas par une amélioration des services publics. Au contraire, les citoyens se plaignent de l’éloignement des services de proximité, conséquence de la création des communes nouvelles, des agglomérations et des communautés de communes qui, tout en augmentant les frais de fonctionnement inutiles, ont éloigné les citoyens des services publics.
Le véritable scandale, c’est l’augmentation des postes « administratifs » au détriment des postes utiles. Là où la France manque cruellement de médecins et de professeurs, les administrations se gonflent d’une armée de bureaucrates. Le pays semble partir à la dérive, et les causes profondes qui ont conduit à la révolte des Gilets jaunes n’ont fait que s’aggraver. Pour éviter que l’irréparable ne se produise, il est urgent de réagir. Plusieurs pistes de solutions peuvent être envisagées pour redresser la situation:
1. Alléger les charges qui pèsent sur le travail: Il faut encourager le travail, pas le pénaliser.
2. Faire des économies en supprimant les échelons inutiles : les régions, les communautés de communes et autres structures bureaucratiques ont alourdi le système sans apporter d’améliorations tangibles.
3. Réformer l’assistanat: le principe « celui qui ne travaille pas, ne mange pas » doit être remis au cœur des politiques publiques, tout en restant juste. Cela ne signifie pas abandonner ceux qui traversent des périodes de chômage, car ils ont cotisé pour une assurance chômage, qui doit les soutenir temporairement. Mais l’assistanat permanent, qui décourage l’effort et le travail, doit être combattu. Nous ne parlons pas ici de nos compatriotes inaptes au travail que la société doit en toute humanité aider.
Chaque travailleur, quel que soit son poste, doit pouvoir vivre dignement du fruit de son travail, élever ses enfants correctement, et avoir accès à des services publics de qualité. C’est une question de justice sociale. Si nous n’agissons pas, la prochaine révolte pourrait être plus violente, plus désespérée, et elle pourrait causer bien plus de victimes que la précédente.
Ces pervers ne pensent qu’à ça
L’éducation nationale fait des vidéos d’éducation sexuelle pour les 8-11 ans. Après « Sexotuto », à destination des ados, la plateforme éducative de France Télé a mis en ligne « Sexotrucs », pour les 8-11 ans, dans la lignée du projet du Ministère de l’Education nationale sur l’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité pour les classes du CE2 à la 6e. A travers 20 courts épisodes de 3 minutes, cette série aborde une multitude de sujets : l’anatomie, les émotions, les relations amoureuses, la famille…
Plusieurs épisodes sont ainsi consacrés à l’anatomie, aux sexes féminins et masculins, aux règles, à l’importance de l’hygiène intime, à l’intimité, que ces vidéos violent, à l’égalités filles-garçons, à l’identité de genre, à l’homosexualité normalisée, aux violences sexuelles, à la pédocriminalité et l’inceste.
Dès 8 ans…
Une vidéo décrypte un programme du Ministère de l’Education Nationale sur l’EVARS et le rapport du CESE sur ce même sujet :
Un avant-goût d’euthanasie
Les débats parlementaires sur la légalisation de la mise à mort de patients n’ont pas encore recommencé qu’un médecin est accusé par une famille d’avoir volontairement provoqué la mort d’une personne porteuse de la trisomie 21. Le parquet d’Angoulême a ouvert une enquête.
Joël est décédé le 7 janvier 2023 à l’Unité d’hospitalisation de courte durée (UHCD) du Centre hospitalier d’Angoulême après avoir reçu de la morphine associée à un puissant sédatif. Ce patient âgé de 66 ans atteint de trisomie 21 avait été admis aux urgences de ce même hôpital moins de 13 heures plus tôt pour de simples examens dus à une détresse respiratoire.
Selon le rapport d’expertise, «le patient n’était pas en défaillance majeure et l’objectif du passage aux urgences est un retour rapide dans son état d’origine après traitement». Ce dernier devait se cantonner à «une augmentation de l’oxygène», une «radio des poumons» et une éventuelle «aspiration bronchitique».
«Dans l’après-midi, le médecin est venu me voir. Il m’a dit: ‘‘Votre frère souffre, je vais le soulager’’», raconte la sœur du patient. Selon un document de suivi du Centre hospitalier, dès 16h30, Joël est placé sous hypnovel et sous morphine dans une optique de soins palliatifs. Sans augmentation d’oxygène, la sédation a «majoré la détresse respiratoire», relève l’expert. Et l’augmentation des doses au cours de la soirée conduira au coma puis au décès, «ce qui était l’objectif recherché».
L’expertise indique :
«Le décès du patient est consécutif à un acte volontaire d’entraîner à brève échéance le décès par une sédation profonde et continue provoquant une altération de la conscience maintenue jusqu’au décès avant même toute évaluation de l’évolution sous traitement, ôtant toute chance d’amélioration de son état.»
Une proposition d’indemnisation a été faite à la famille, mais l’établissement estime qu’il n’y a pas eu de sédation profonde et maintient sa confiance dans le soignant.
Rions un peu sur un monde qui refuse un Dieu créateur…
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Un peu d’humour, en ces temps troublés.
Rions de ces scientifiques scientistes rationalistes laïcards, et donc évidemment évolutionnistes et anti-créationnistes.
Un simple caillou en silex, qui semble un peu taillé en biface, “doit” nécessairement avoir un auteur, un créateur. On le met dans un musée, on l’étudie. On cherche à retracer la vie de son créateur, de sa société, de ses liens avec nous, etc.
Ce caillou ne pourrait-il pas avoir été réellement le fruit du hasard ? C’est scientifiquement possible, même si c’est peu probable. Personne ne vous dira le contraire… Mais personne ne remettra en cause le scientifique expert qui mettra sa découverte dans un musée.
Quant à Saturne et ses anneaux…
Sans chercher aussi loin, personne ne peut expliquer comme la lune s’est formée et reste en orbite autour de la Terre. C’est scientifiquement impossible, un simple lycéen peut le prouver quand il étudie la gravité…
L’islamophile Yassine Belattar dans la délégation officielle de Macron pour la visite au Maroc
Alors que le président de la République a entamé lundi une visite au Maroc, il a emmené plusieurs ministres ainsi qu’une poignée de personnalités politiques, économiques et culturels. Parmi elles, Yassine Belattar… qui ne faisait pourtant pas partie de la première mouture de la délégation officielle communiquée par l’Élysée.
L’animateur franco-marocain, accusé de complaisance vis-à-vis de l’islamisme, joue depuis des années un rôle trouble auprès du chef de l’État voire de son entourage. Yassine Belattar avait été nommé début 2018 membre du Conseil présidentiel des villes.
Malgré sa condamnation pour menaces de mort, il avait été reçu par deux conseillers d’Emmanuel Macron, quelques jours seulement avant la grande marche contre l’antisémitisme en novembre 2023 – manifestation à laquelle le président n’avait pas participé.
«Comment ce prétendu humoriste, condamné pour menaces de mort, proche des antisémites du CCIF, peut-il être présent à un voyage de cette importance en compagnie du président de la République ?», a réagi le président du RN Jordan Bardella sur X.
Etats-Unis : un spot publicitaire choc en faveur de la vie à naître
Randall Terry, personnalité américaine du mouvement pro-vie s’était présenté aux primaires démocrates dans quelques États (Oklahoma, Alaska, Missouri, et New Hampshire) pour devenir candidat à l’élection présidentielle américaine de 2012. Cette année, il a prévu de diffuser un spot publicitaire pendant l’émission d’avant-match des World Series sur la chaîne Fox, qui montrera de façon saisissante la nature horrible de l’avortement au moyen d’une série de photos choquantes d’enfants tués lors d’avortements tardifs.
Bien qu’il ne dure que 15 secondes, ce spot publicitaire contient un message puissant, exhortant les téléspectateurs à voter contre les projets de loi dans 10 États visant à inscrire le « droit » à l’avortement dans les constitutions de ces États.
Il implore également les électeurs de ne pas voter pour la candidate démocrate à l’élection présidentielle, Kamala Harris, fervente partisane de l’avortement jusqu’à la naissance.
« Désolé d’interrompre les World Series, mais tuer des bébés par l’avortement est à l’ordre du jour dans dix États ».
Il poursuit :
Jésus a dit que ce que nous faisons aux enfants, c’est à Lui que nous le faisons.
Un vote en faveur de ces lois, ou de Kamala, est un vote pour tuer Jésus dans le ventre de sa mère.
Terry délivre son message en montrant une série de cinq photos d’enfants avortés.
Avis aux téléspectateurs : La vidéo contient des images de bébés avortés.
Il en va de même pour une seconde publicité diffusée dans l’émission World News Tonight de la chaîne ABC et qui rend hommage aux militants pro-vie emprisonnés dans des prisons fédérales par l’administration Biden-Harris pour avoir manifesté pacifiquement devant des établissements pratiquant l’avortement.
« Près de 20 Américains innocents sont en prison fédérale pour avoir protesté pacifiquement contre l’avortement ».
« L’avortement jusqu’au jour de la naissance est sur le bulletin de vote dans ces 10 États », poursuit Terry dans le spot, qui cite les noms suivants : Arizona, Colorado, Floride, Maryland, Missouri, Montana, Nebraska, Nevada, New York et Dakota du Sud.
« Allons-nous protéger les enfants ou les assassiner ? …et emprisonner leurs défenseurs ? » « Jésus a dit que si l’on fait du mal à un enfant, il vaut mieux se noyer dans la mer avec une meule de moulin autour du cou ». « Jésus a dit que ce que nous faisons aux bébés, c’est à lui que nous le faisons.
« Un vote en faveur de ces amendements, ou de cette équipe, est un vote pour tuer Jésus dans le ventre de sa mère ».