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L’extrême-gauche veut saboter les hôtels Accor

Le crime de ces hôtels : accueillir l'université d'été du FN ce week-end à Marseille.

"Attaquons
et mettons à jours tous les soutiens à l’extrême droite. Que vous soyez
sur Marseille ou ailleurs, montrez votre mécontentement face à cette
idéologie fasciste !       

Quelques idées :

-> les hôtels du groupe ACCOR sont partenaires de l’université d’été de Marine Le Pen (collage, tractage, graff, sabotage…)

->
Les frontistes viennent par bus (départ dans plusieurs grandes villes,
renseignez vous, un retard pourrais leur faire rater un bout du
« spectacle Â»), par train (arrivée à St Charles), par avion (Marignane
puis navette St Charles) ou par voiture (A7, A55 et A50)

-> l’udt aura lieu au parc chanot"

Sans aucun doute, Manuel Valls va dissoudre dès demain ces groupuscules violents qui menacent la démocratie… Voici la liste des associations, solidaires des "sabotages", à faire dissoudre (CGT, CNT, MRAP, FSU, PCF, NPA, EELV, UNEF…).

Libération croit encore au pays des soviets

Dans Libération, François Sergent écrit :

"Comme l’a dit Barack Obama hier soir commentant la proposition russe de désarmer la Syrie de ses stocks chimiques : «C’est possible si c’est réel.» Piège
grossier ou coup de génie diplomatique, l’offre soviétique, aussi vague
soit-elle à cette heure, a bloqué la marche à la guerre, une marche
déjà bien embourbée." (via)

Place Vendôme : les sentinelles sont toujours là

S

Le gouvernement proposera bientôt une charte de bonne conduite pour les délinquants

Suite à la charte de Vincent Peillon, Marine Le Pen écrit dans un communiqué :

"Cette charte
apparaît donc pour ce qu’elle est : une suite de principes et de bonnes
intentions, absolument sans effet.
A ce rythme, le gouvernement
proposera bientôt une charte de bonne conduite pour les délinquants… La
réalité c’est qu’aucune mesure véritable n’a été annoncée pour lutter
concrètement contre les avancées du communautarisme. Rien sur le hallal à
la cantine
, rien sur la séparation anormale des sexes à la piscine,
rien non plus sur les parents voilés accompagnants les enfants en sortie
scolaire, etc.

Liberté de conscience : déclaration des adjoints au maire de Bollène

Déclaration :

B"Nous,
adjoints au maire de Bollène, et en tant que tels, officiers
d'état-civil, avons souhaité faire cette déclaration, pour plusieurs
raisons.

1/ En
portant plainte contre Marie-Claude Bompard, mesdames Gilles et Leroux
ont déclenché un mécanisme visant à la priver de son droit à la liberté
d'expression, donc à sa liberté d'opinion.
En conséquence, le
maire de Bollène ne s'exprimera plus sur ce sujet que dans le cadre de
la procédure judiciaire, si toutefois le parquet estime justifié et
opportun de la poursuivre.

2/ Nous sommes réunis pour assurer Marie-Claude Bompard de notre entier et indéfectible soutien dans cette affaire.

Il
y a presque trois semaines, le 23 août, madame le maire de Bollène a
souhaité recevoir ces deux personnes, pour leur faire part des raisons
qui la conduisaient à refuser d'assurer elle-même cette cérémonie ou de
déléguer son pouvoir à un conseiller municipal, fut-il d'opposition,
pour le faire à sa place. Ce rendez-vous n'était en aucun cas public.

A
la sortie de cette réunion, Mme Gilles et Mme Leroux sont allées dans
la minute contacter la presse
(Vaucluse matin). Elles ont posé pour les
photographes. Elles ont donné leurs noms, montré leurs visages. Ce sont
elles qui ont décidé de médiatiser cette affaire. Elles en portent
l'entière responsabilité.

De
ce fait, et depuis lors, le maire de Bollène a été en butte à des
pressions administratives, des pressions politiques, notamment de la
part du parti socialiste, des pressions médiatiques et, pour finir,
puisque celles-ci ne suffisaient pas, des pressions judiciaires.

C'est donc pour éviter toute éventuelle condamnation pénale à Marie-Claude Bompard que notre collègue Jacqueline Morel a décidé, de sa propre initiative, de procéder à la cérémonie d'aujourd'hui.

Cet
acte ne constitue nullement une approbation de notre part de la loi
Taubira. D'ailleurs, il y a un peu moins d'un an, le conseil municipal
votait une motion demandant
le retrait de cette loi, et, en cas de vote de cette loi,
l'instauration d'une clause de conscience pour les officiers
d'Etat-civil. Cette motion est plus que jamais d'actualité.

3/
En effet, nous réclamons la liberté de conscience pour les officiers
d'état-civil, comme François Hollande lui-même l'avait proposé, devant
les maires de France en novembre 2012, déclarant : « et il y a toujours la liberté de conscience Â».

Nous réclamons cette liberté de conscience, droit prévu dans notre Constitution.

C'est d'ailleurs en ce sens que Marie-Claude Bompard avait écrit à Manuel Valls, le 27 août dernier, sans réponse à ce jour.

C'est
pour cela aussi que nous ne pouvons que nous féliciter des récentes
conclusions du rapporteur public au Conseil d'Etat, qui estime que la
question de l''absence de liberté de conscience dans la loi Taubira et
dans la circulaire Valls, n'est pas dépourvue de tout caractère
"sérieux". Nous attendons donc, avec espoir, la décision du Conseil
d'Etat, quant à la transmission de cette question au conseil
constitutionnel.

4/
Pour conclure : nous assurons Marie-Claude Bompard de tout notre
soutien et nous poursuivons notre combat pour que notre liberté de
conscience soit reconnue."

Otage en Syrie, il témoigne : “Notre histoire, c’est celle de la comparaison entre deux foi différentes”

Domenico Quirico, journaliste à La Stampa détenu en Syrie pendant cinq mois avec le Belge Pierre Piccinin, a regagné l'Italie lundi. Il a livré à son journal le récit de sa captivité. Extrait :


Q"Cette expérience est remplie de Dieu. Pierre Piccinin [le compagnon de captivité de Domenico Quirico] est croyant. Je le suis aussi. Ma foi est très simple, c'est celle de mes prières d'enfant, des prêtres que je croisais alors, pédalant vers leurs petites paroisses chaussés comme des ouvriers, leur sacoche attachée à leur vélo. Ils allaient porter l'extrême onction, bénir les maisons, avec la foi de Bernanos, simple mais profonde.

Ma foi, c'est de me donner, je ne crois pas que Dieu soit un supermarché, où on va demander à peu de frais la grâce, le pardon, un service. Avoir la foi m'a aidé à résister.
Notre histoire, c'est celle de deux chrétiens dans le monde de Mahomet et de la comparaison entre deux foi différentes : la mienne, simple, faite de don de soi et d'amour, et la leur, qui est faite de rituels. J'avais aussi avec moi un de mes carnets où j'écrivais chaque jour ce qui s'était passé. Je l'avais presque fini, il ne restait que deux pages. Le dernier jour, ils me l'ont pris. Il m'a surtout servi à tenir le compte des mois, des jours, parce que si on perd le sens du temps, on sombre dans un puits d'où on ne ressort pas."

Sermon de Dom Louis-Marie pour la messe d’inhumation de Hélie de Saint-Marc

Sermon pour la messe d'inhumation de Hélie DENOIX de SAINT-MARC par Dom LOUIS-MARIE, Père Abbé de Sainte-Madeleine du Barroux à Lagarde-Adhémar le samedi 31 août 2013 :

Cher Monsieur l'Abbé,
Messieurs les représentants des autorités civiles,
Chère Manette et chère famille,
Chers Amis,

C'est
en raison de la grande amitié entre le Comandant Hélie de Saint-Marc et
Dom Gérard, mon prédécesseur, que l'on m'a invité à célébrer cette
messe d'inhumation. L'amitié entre ces deux grands hommes était faite de
respect, de bienveillance et de valeurs partagées.

DHélie Denoix
de Saint-Marc était tenu en grande estime au monastère, non seulement
parce que comme disait Dom Gérard « les moines sont un peu les
légionnaires de l'Église et les légionnaires les moines de l'Armée Â»
mais aussi pour son attitude en 1961 lors du putsch des généraux. Je me
souviens avec joie de ce que nous disait notre professeur de théologie,
qui le donnait comme exemple parfait d'une action morale droite :
une action en conscience
une action qui respectait les éléments de la guerre juste
une action dont il a assumé la responsabilité
une action qu'il a payée, lui et sa famille, par un prix bien lourd et injuste.
Mais
on a peut-être trop parlé de tout cela. Et je voudrai aujourd'hui
mettre en lumière trois valeurs que le Commandant Hélie de Saint-Marc
partageait avec le moine bénédictin Dom Gérard.

Le premier point
commun est le combat de la foi.
Cela pourra vous étonner mais Dom Gérard
a combattu pour  défendre la foi alors que Hélie de Saint-Marc l'a fait
aussi pour l'atteindre : en combattant Dieu en face. Certains ont dit
qu'il avait laissé sa foi à Langenstein. Je crois que c'est un peu vite
dit.
Il a combattu Dieu en face.
Un combat vieux comme le monde.
Un combat qu'ont mené Jacob et Job.
Un combat présent dans toute la Bible.
Un combat que mènent tous ceux qui refusent de vivre à la surface des réalités.
C'est
le combat de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, de Mère Térésa, de saint
Jean de la Croix. Ce combat consiste très précisément à confronter le
Dieu que l'on connaît par la foi et le Dieu que l'on perçoit dans
l'histoire. C'est un combat redoutable.
Hélie de Saint Marc disait
quelques jours avant sa mort que la souffrance indicible des innocents
était pour lui un mystère incompréhensible. Dans Champs de Braises, il
écrivait : « Je ne peux certifier qu'il existe un Dieu et qu'Il est
l'image de Celui que nos pères nous ont enseigné, mais je sais au moins
que le Mal existe, je l'ai vu en face. Â» Et, de fait, la réponse au
grand mystère ténébreux du mal n'est ni facile, ni simple, ni rapide.
Mais, trois jours avant sa mort, je crois qu'Hélie avait trouvé un début
de réponse. Comme Job, à plus de deux mille ans de distance.
Job,
qui avait touché le fond de la souffrance, de l'injustice (car là est le
problème), après des cris de révolte, de façon inattendue, au chapitre
19, se lève de son grabat, et fait un acte de foi et d'espérance dans un
au-delà, et il dit que ses yeux de chair verront son Dieu. Israël a mis
du temps à croire et à espérer dans cet au-delà, à faire une confiance
absolue à son Dieu.
Et Hélie de Saint-Marc a fait cet acte de foi, de
confiance. Je lui ai demandé s'il croyait à la résurrection et il m'a
répondu affirmativement, avec humilité car il a ajouté : « je suis bien
obligé ! Â» et une véritable joie. La joie de celui qui goûte
intérieurement ce à quoi il croit.

Et l'on en vient au deuxième trésor que partageaient le moine et le soldat : une âme contemplative.
Dom
Gérard était un contemplatif par vocation. Hélie de Saint-Marc était
aussi un contemplatif par nature. Un contemplatif, c'est à dire un homme
capable de voir l'invisible à travers les choses visibles. Même au camp
de Langenstein où il a souffert jusqu'au paroxysme de la faim, de
l'épuisement, des coups, des humiliations, de la déshumanisation, il a
gardé ce regard contemplatif par lequel, par delà les origines sociales,
il voyait avec surprise les âmes telles qu'elles étaient.
Hélie était un contemplatif car il était sensible à la beauté :
la beauté des paysages
la beauté de la musique
la beauté des corps et des visages
la beauté de sa femme
la beauté des âmes.
Il
a laissé un testament spirituel sur la beauté que nous devons tenir
absolument : « A travers les siècles, la violence et les passions se
succèdent. Seule la beauté demeure et résiste à tout. Elle seule élève
l'homme. Elle seule peut transfigurer certaines défaites trop lourdes à
porter… Â».
Hélie était un contemplatif car il avait cette capacité
d'unifier dans un regard tout simple un monde bien complexe et même
contradictoire. Il était capable en une phrase de faire voir tout le
charme du Vietnam dans le mouvement de paupière d'une vietnamienne.
Et
nous prions aujourd'hui pour que Hélie puisse parvenir enfin à la
plénitude de contemplation de l'Être le plus vrai le plus beau, le plus
simple qu'est Dieu. Et nous nous rappellerons que nous avons tous, que
nous soyons croyants où non-croyant, la vocation bienheureuse de voir
Dieu, de le voir enfin face à face, avec cette joie de Le comprendre, de
L'aimer, de Le vivre.

J'en arrive au troisième trésor que partageaient Dom Gérard et Hélie, peut-être le meilleur.
Ils étaient tous les deux des pères.
Quand Dom Gérard est mort, un cri unanime s'est élevé d'une foule nombreuse : « on a perdu un père Â».
Hélie
de Saint-Marc avait lui aussi une puissance paternelle hors du commun.
Il est le père d'une grande famille. Et vous me permettrez de donner un
témoignage personnel. En lisant ses écrits, j'ai reçu de lui, d'une
certaine manière, la vie. Il m'a donné envie de vivre. Non seulement
d'aller un jour voir le Vietnam, non seulement de rencontrer un jour
cette femme dont il parlait avec tant de charme : Manette. Mais aussi de
devenir un homme. Hélie nous a montré qu'il n'était pas facile d'être
un homme mais que c'était possible et que c'était bon et grand. Nous
sommes toute une génération à avoir repris espoir en lisant ses écrits.
Lors
de notre dernier entretien aux Borias, Hélie s'est encore montré tel
qu'il était, en père. Il me demandait, malgré son extrême faiblesse, ce
qu'il pouvait faire pour nous. Il pensait aux jeunes novices, à ce qu'il
aurait pu leur dire pour les aider. Et je lui ai simplement demandé de
nous bénir, ce qui l'a beaucoup étonné mais qu'il a fait volontiers. Il
s'est signé et il nous a imposé les mains, comme les patriarches de
l'Ancien Testament.
Hélie était un père qui a su, contrairement à
d'autres grands hommes, fonder une belle famille. Qui eut pu imaginer
qu'un homme qui avait tant souffert donnerait le jour à quatre jolies
fleurs qui à leur tour donneraient de beaux fruits. Il a aimé sa femme,
il a aimé ses quatre filles, et il a su se faire aimer, et il laisse une
vingtaine de petits-enfants qui semblent ne pas avoir peur de la vie.
Et
je tiens à dire que l'amour qu'il a eu pour sa femme, un amour mutuel,
un amour fidèle, un amour qui a su passer au dessus de sa solitude, est
le plus bel héritage qu'il laisse à ses enfants en ces temps où l'amour
est humilié et déshumanisé.

Maintenant, je me dois de vous
transmettre à tous sa dernière demande, faite juste avant qu'on se
quitte : Hélie a demandé qu'on prie pour lui. Il l'a demandé à plusieurs
reprises. Il savait que la porte de l'éternité s'ouvrait devant lui. Et
que c'était grave. Dieu l'attendait.
Il savait
qu'il avait besoin d'aide,
qu'il avait besoin de la grâce,
qu'il n'était pas au niveau de Dieu.
Il
avait bien du mal à se faire à l'idée que Dieu s'était abaissé, qu'Il
était venu jusqu'à lui par l'incarnation, par la croix, par l'Église,
par le prêtre.
Mais je le lui ai rappelé, et il a souri. Prions pour lui.
Amen

Je cumule, tu cumules… mandats ET indemnités 2/2

Pourquoi le palmarès des élus cumulards publié aujourd'hui n'est-il pas classé en fonction des indemnités perçues ? Parce qu'officiellement, ces dernières sont plafonnées. Il s'agit d'un drôle de plafond. Qui peut s'élever. Très haut. S'élargir aussi, en couvrant la famille, les amis, les copains élus. Un plafond comme vous n'en avez jamais vu. Quelques explications ici :

"Le cumul des indemnités est plafonné depuis 1992. Les revenus d'un
député titulaire de mandats locaux ne peuvent excéder une fois et demie
son indemnité parlementaire de base, soit quelque 8300 â‚¬ bruts mensuels.

Un
bémol doit être apporté à cette règle. Les parlementaires continuent à
percevoir, outre l'indemnité de base, une indemnité de fonction (1420 â‚¬
bruts mensuels), qui échappe à l'impôt, une indemnité de résidence
(165 â‚¬ bruts mensuels) et une indemnité représentative de frais de
mandat (6037 â‚¬ nets mensuels), défiscalisée.

De surcroît,
certaines situations ont suscité des critiques. Une indemnité de
secrétariat (7548 â‚¬ bruts mensuels) est destinée à rémunérer des
collaborateurs. Or, certains parlementaires recrutent un membre de leur
famille. Par ailleurs, un élu en situation de cumul peut faire verser la
part de ses indemnités qui excède le plafond de 8300 â‚¬ bruts mensuels à
un autre élu de son choix. Et quelques élus ont fait attribuer leur
surplus d'indemnité à un parent."

Passons sur les systèmes de féodalité qui se mettent en place entre élus
: "Je te donne une partie de mon excédent, tu me rends tel service". Il y a donc aussi les histoires de familles, qui se partagent le pactole. Ainsi le roi du cumul des mandats, Michel Delebarre, sénateur-maire de Dunkerque, a-t-il été rappelé à l'ordre, voilà un an, par la justice, pour avoir embauché sa fille et son gendre au sein de la communauté urbaine qu'il préside.

D'autres élus ne s'embarrassent pas, en se faisant rémunérer par les organismes en charge des ponts, des eaux usées… alors que c'est illégal depuis un arrêt du Conseil d'Etat datant de 1997 :

"« Merci de me le signaler, je vais me renseigner », nous
a répondu le maire de Sèvres, François Kosciusko-Morizet (père de la
ministre), qui reçoit quelques piécettes. Ainsi touche-t-il
792 euros net par mois, comme quatorze autres conseillers, pour siéger
au Siaap (assainissement à Paris) et 736 euros à l’EPTB Seine Grands
Lacs, qui contrôle les barrages régulant le débit du fleuve.
"

Palmarès des élus cumulards 1/2

… à découvrir ici, avec un moteur de recherche à la clé pour trouver facilement vos élus. Les mandats (député, sénateur, maire…) et les fonctions
(présidence d'un office HLM, d'une entreprise publique…) des 1573 principaux élus de France ont été passés au crible
.

De quoi faire monter la pression, alors que le projet de loi, déjà voté à l'Assemblée, va être examiné dans une semaine par un Sénat très réticent, y compris dans les rangs de la majorité. A la vue du podium, on comprend mieux pourquoi. Le sénateur-maire PS de Dunkerque, Michel Delebarre, l'emporte haut la main avec 26 mandats et fonctions (l'équivalent de 7 emplois à plein temps d'après l'Express), devant le sénateur-maire PS de Tours, Jean Germain, qui en collectionne 12 et Jean-Michel Baylet… également sénateur, et, entre autres, président du Parti radical de gauche et du conseil général du Tarn-et-Garonne.

Surpris par un tel zèle au service de l'Etat, on ne manquera pas de compléter la lecture du classement par quelques exemples remarquables d'absentéisme chronique, de conflits d'intérêt ou d'inégalités entre territoires qui en découlent. Quelques extraits (Article complet ici) :

"Prenez Gaston Franco : premier magistrat de
Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes), député européen et conseiller
régional UMP de la région Paca, il n'a pas mis une fois les pieds dans
l'hémicycle marseillais depuis la séance inaugurale qui a suivi son
élection, en 2010 ! Ce qui ne l'empêche pas d'affirmer sans trembler :
"Personnellement, je suis contre le cumul." (…)

Or il arrive que la nation et les territoires aient des intérêts divergents. Lorsqu'en 2009, Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé, a voulu interdire la vente d'alcool aux mineurs, le député UMP Thierry Mariani,
pourtant censé soutenir le gouvernement mais élu d'une région viticole
(en Vaucluse), s'est interposé en ces termes :"La viticulture est déjà
assommée par une multitude de réglementationset de demandes
d'autorisation en tout genre […]. De grâce, n'en rajoutons pas!" (…)

Les cumulards profitent de leur doule casquette pour obtenir des
avantages en faveur de leur fief.(…) La pratique est électoralement efficace : est-elle
juste? "Cette forme de clientélisme entraîne des distorsions dans les
arbitrages, s'offusque la sénatrice verte Marie-Christine Blandin.
Les équipements publics doivent-ils aller aux territoires dont les élus
sont les plus influents ou à ceux qui en ont le plus besoin ?
" "

“Pourquoi j’irai longuement écouter samedi prochain Frigide Barjot lors de l’université d’été de LMPT. “

Précisons de suite qu'aucune intervention de Frigide Barjot n'est prévue samedi lors de l'université de La Manif pour Tous.

Je diffuse volontiers cet appel à l'unité écrit par Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, en soulignant que cet appel à l'unité est d'autant plus méritoire que Xavier Lemoine s'oppose au projet d'union civile de Frigide Barjot ainsi qu'à la réthorique sur l'homophobie :

L"La loi Taubira pour
transgressive qu'elle soit n'est hélas qu'une étape
. Elle recèle un
double contenu. Le contenu explicite de l'indifférenciation entre les
couples hétéro et homo et la filiation pleine. Un contenu implicite qui
se déclinera dans les mois et années qui viennent tel que PMA ,
GPA,….. Nous n'avons pas pu ni su empêcher cette loi qui se voit par
ailleurs durablement et méthodiquement confortée par tous les nouveaux
enseignements scolaires et autres.

En résumé, une transgression
majeure avec un double contenu explicite/implicite adoptée par voie
législative en dépit d'une opposition hors norme. 

De ce fait,
cette mobilisation pourtant hors norme qui n'a pu bloquer le processus
législatif est donc, au regard de la bien plus grande difficulté encore à
revenir en arrière, totalement insuffisante pour obtenir à court/moyen
terme le moindre résultat. Il est donc urgent et impératif de préserver
comme une richesse inestimable cette mobilisation populaire hors norme
.
Cela interdit toute division
. Il faut même renforcer substantiellement
cette mobilisation et là tous les talents tous les charismes, après
avoir vaincu les démons de la division, sont utiles et nécessaires.

Les
résultats à obtenir à l'encontre de cette loi doivent ils être
envisagés uniquement dans sa "suppression/abrogation" à long terme dès
lors que d'hypothétiques circonstances politiques le permettraient ou
bien doit on de manière immédiate et impérieuse enrayer la mise en place
des contenus implicites de cette loi et restaurer le mariage entre un
homme et une femme dans toutes ses spécificités et prérogatives ? Notre
devoir moral le commande. C'est donc dès maintenant qu'il faut agir mais
de manière graduée et proportionnée
. A défaut donc de pouvoir tout
obtenir et face à la nécessité opérationnelle d'une mobilisation bien
plus forte encore pour espérer obtenir des résultats, certes partiels,
et appartenant dans un premier temps à la doctrine du moindre mal, voie
obligée pour éviter un mal plus grand encore et progressivement
détricoter cette loi et revenir à un bien objectif duquel, hormis les
convaincus actuels, l'opinion publique reste encore éloignée, il
convient donc, de vérités imparfaites en vérités imparfaites, de revenir
à la vérité en soignant tout particulièrement la forme et la
pédagogie.

En conséquence il est impératif que les acteurs
historiques de La Manif Pour Tous, tous les acteurs historiques,
comprennent bien en quoi ils sont complémentaires et efficaces
qu'ensembles et qu'animés de la même exigence de vérité et de la même
exigence de charité ils acceptent, en leur sein, des formes d'expression
différentes. Là est la force de leurs témoignages.

Qu'as tu
fait de ton frère? Qu'as tu fait de ton talent …. et de celui de ton
frère? Telle est, à une semaine de l'université d'été de LMPT, la
question qui nous est posée."

Il n’est pas possible d’effacer un nom d’un registre de baptême

La cour d’appel de Caen vient de rendre
son arrêt
concernant un habitant de la Manche,
qui demandait que son nom soit rayé du registre des
baptêmes. Ce qui lui a été refusé. La cour a considéré que le nom sur le registre « ne peut porter en elle-même atteinte à la vie privée de l’intéressé Â». Ce type de registre respecte la loi de janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, selon la cour :  

« Les
données à caractère religieux ne sont communicables qu’aux seuls
membres appartenant à l’Église, et non aux tiers […]. La liberté de M.
Lebouvier de ne pas appartenir à la religion catholique est-elle
respectée sans qu’il y ait lieu à effacement ou correction
supplémentaire du document litigieux. Â»

En 2001, le Manchois avait obtenu facilement que la mention « a renié son baptême Â» soit mentionnée sur le registre.

Cet arrêt est une reconnaissance de la liberté de l'Eglise.

Une femme qui donne naissance à un enfant, quoi d’anormal ?

Rien, si ce n'est que cette femme se prend pour un homme, avec traitements hormonaux, qui ont notamment développé sa pilosité faciale et fait disparaître sa poitrine. Un transsexuel allemand qui avait conservé son utérus et
ses ovaires, a donné naissance à un garçon le 18 mars, après insémination grâce à un donneur de sperme.

L'enfant n'a pas de mère juridiquement, alors que biologiquement, c'est bien le cas, il n'est pas sortir du ventre d'un homme. Et après on nous raconte que l'idéologie du genre n'existe pas. En accouchant à domicile, sa mère, qui est légalement son père, a évité la
déclaration de naissance qui décline l'identité de la mère pour rester pleinement et seulement "père" du petit garçon.

Pauvre enfant. Déjà qu'il est privé de père, mais en plus, sa mère ne veut pas être sa mère.

Les Hommen ne sont pas en cire

Malgré les apparences

H

La charte de l’hallaïcité

L'intervention percutante d'Isabelle sur RMC à propos de la charte de la laïcité :
Zezette et Jean-Jacques – épisode 3 : la… par Le_Salon_Beige 

Le coût du logement majoré de 25% en raison du déluge législatif

Alors qu'une nouvelle loi sur le logement arrive à l'Assemblée, Michel de Poncins analyse :

"[…] Le gouvernement reconnaît une nouvelle fois sa  responsabilité  dans la catastrophe en
constatant
publiquement qu'il n'y a pas de fluidité dans le marché. Il pourrait
alors
prendre les mesures adéquates et nécessaires
pour corriger au plus vite. Ce qu'il
ne fait pas. Il décide que les particuliers qui vendent une
résidence secondaire ou
un bien locatif paieront moins d'impôt sur les 
plus-values à partir de septembre 2013. Pourquoi la
résidence principale
est-elle exclue de cette faveur ? Mystère. Le dispositif, terme très
négatif  de
l'économie dirigée, est d'une  complication
effroyable avec une forte odeur d'usine à gaz
. Retenons en
passant que depuis longtemps les plus-values sont 
taxées, or un logement prospère implique que
les investisseurs fassent des plus-values.

Le plus drôle ou le plus tragique,
au choix, est que ce dispositif est limité à la durée
d'un an. Il est rare que les énarques lâchent prise. Ils espèrent
néanmoins
dans ce délai un mouvement de ventes supplémentaires de résidences
secondaires
et ou de biens locatifs. Il est évident, cependant, qu'il y aura  beaucoup 
d'effets d'aubaine : une vente de bien ne se décide pas
sur un  coup de tête
et est souvent murie à l'avance.  

Un autre fait est l'arrivée des impôts locaux que
la presse  décrit
comme une boisson très amère que moult
gens modestes ne pourront pas 
absorber.

Si le logement est moribond, ce n'est nullement le
fruit du hasard.
C'est le résultat inévitable des diverses politiques du logement
pratiquées

aussi bien par les gouvernements de la fausse droite que par ceux de la
vraie
gauche et depuis longtemps.  Ils
ont
enserré le logement dans un carcan de lois
et règlements totalement destructeurs. Citons pêle-mêle quelques
exemples parmi
les plus importants.

Au premier chef, il
ya la
floraison ridicule des dispositifs censés améliorer les choses
.
Enumérons
courageusement au risque de nous tromper : Robien, Scellier, Scellier
meublé,
BBC, et bien d'autres. La politique volontariste de plusieurs ministres
s'est attachée à
développer la propriété de la résidence prinipale. Il n'y a là aucune
justification. En Suisse, pays dont la prospérité est reconnue,
chacun se détermine librement.
Beaucoup choisissent d'être locataires et investissent leurs épargnes
ailleurs.  

L'encadrement permanent des loyers, récemment
renforcé
. La
quasi-impossibilité de se défaire d'un locataire indésirable. La
difficulté de
choisir soi-même ses locataires selon des critères personnels. Le
sinistre Dalo
ou droit opposable au logement qui existe depuis le 
premier janvier 2008 : par son existence même
il empêche une foule de gens de faire des efforts pour se loger.

La
multitude et la complexité des
logements sociaux
: occupant une énorme partie de l'espace, ils
génèrent un
appel jusqu'au fond de l'Afrique, de la 
sorte qu'il n'y en aura jamais assez. Un coup
d'accélérateur a été donné
par l'obligation faite aux communes récalcitrantes d'avoir un quotient
de
logements sociaux, avec sanctions à l'appui. La sarababande des impôts
de
toutes sortes complètent le système … .     
 .  

La conséquence est que le coût du logement est
majoré, selon les
professionels, de 25% à cause de ce lourd déluge législatif et
réglementaire
voulu par les divers ministres s'occupant
, hélas, du logement. Les
chanceux et
les riches s'en arrangent et ce sont les plus modestes qui en souffrent
davantage."

Allemagne : 200 musulmans se convertissent chaque année

Un musulman turc est devenu docteur en théologie catholique. Il explique :

"J’ai commencé à me rapprocher de la foi chrétienne à l’âge de 18 ans,
après avoir fait la connaissance, dans ma ville, Antakya, d’un chrétien
qui est devenu un ami pour moi. Je viens d’une famille musulmane pas
particulièrement religieuse et, en tout cas, j’ai reçu une instruction
fondée sur des principes musulmans : mes parents appartiennent à la
communauté alaouite. Après avoir rencontré quelques chrétiens,
j’ai commencé à lire la Bible et en particulier le Nouveau Testament. Et
j’ai été immédiatement fasciné par la personne de Jésus.
Cette
fascination, qui me captive encore aujourd’hui, et la surprise (à cause
de l’émerveillement) de savoir que Jésus m’aime au point d’avoir été
crucifié et d’avoir donné sa vie pour moi, sont les raisons pour
lesquelles je suis devenu chrétien.

De quelle manière les personnes de votre entourage ont-elles réagi à l’annonce de votre conversion au christianisme ?

Il y a eu différentes sortes de réactions. Dans ma famille s’est
manifestée une certaine inconscience de ce que signifiait le fait que
l’un des enfants, âgé d’une vingtaine d’années, ait décidé de se faire
baptiser. Probablement à cause d’un sentiment de honte, en raison de ma
décision de ne pas beaucoup extérioriser les raisons de mon choix
religieux, il s’est produit un certain éloignement entre mon père et
moi, à tel point que j’ai dû, pendant un certain temps, quitter le
domicile de mes parents et émigrer en Turquie orientale. Selon certains
de mes amis, je n’étais plus le même. En fait, ils me traitaient comme
un renégat et ont rompu tout contact avec moi.
[…]

Depuis votre observatoire allemand, constatez-vous une augmentation des conversions de l'islam au christianisme ?

En Allemagne environ deux cents personnes originellement musulmanes
sont baptisées chaque année dans l’Église catholique
. On ne sait pas
quel est le nombre de nouveaux chrétiens de confession protestante qui
proviennent de l'islam parce qu’il n’existe pas de statistiques sur ce
point.

Les gens qui abandonnent l'islam ont des motivations
différentes au moment où ils décident d’accomplir cette démarche, qui
est dangereuse. Certains d’entre eux disent : Mahomet a été un homme
politique et religieux trop violent et cette violence s’est également
transmise dans le Coran. D’autres, pour leur part, perçoivent les
communautés arabes où l'islam est majoritaire comme très arriérées.
D’autres encore ont abandonné l’islam parce qu’ils sont venus vivre en
Occident et qu’ils veulent s’y intégrer complètement : selon eux, une
démarche fondamentale consiste à accepter la croyance de la majorité,
autrement dit le christianisme. Mais surtout il y a des musulmans
à la religiosité profonde qui sont à la recherche de Dieu et qui, pour
cette raison, trouvent dans le christianisme un Dieu qui les aime et qui
leur offre la paix et un accueil. Grâce à leur rencontre avec le Christ
ils découvrent une image de Dieu que, bien évidemment, ils ne peuvent
pas trouver à travers l’islam.
"

Caroline Fourest s’invente une hydre catholique

Hier, sur Canal+, la militante LGBT déclarait :

"Il y a un intégrisme qui, massivement,
est en train de reprendre du poil de la bête entre guillemets, c’est
bien l’intégrisme majoritaire catholique."

Pour paraphraser Staline : l'intégrisme catholique, combien de bombes et d'égorgements ?

Les contradictions de la politique étrangère de la France

Extrait de l'analyse du Centre
Français
de
Recherche
sur
le
Renseignement
:

"A l'occasion cet imbroglio politico-médiatique dans lequel ses
intérêts stratégiques ne sont pas en jeu, le gouvernement français mène
une politique incompréhensible pour nos concitoyens comme pour
l'étranger.

Depuis deux ans, la France, par le biais de ses
services spéciaux, – comme d'ailleurs les Américains, les Britanniques
et les Turcs – entraîne les rebelles syriens et leur fournit une
assistance logistique et technique
, laissant l'Arabie saoudite et le
Qatar les approvisionner en armes et en munitions.

Ainsi, la
situation syrienne place la France devant ses contradictions. Nous
luttons contre les djihadistes au Mali, après les avoir aidés à prendre
le pouvoir à Tripoli
– en raison de l'intervention inconsidérée de
l'OTAN en Libye, en 2011, dans laquelle Paris a joué un rôle clé – et
continuons de les soutenir en Syrie, en dépit du bon sens. Certes le
régime de Bachar Al-Assad n'est pas un modèle de démocratie et il
servait clairement les intérêts de la minorité alaouite, mais il est
infiniment plus « libéral Â» que les monarchies wahhabites : la Syrie est
un Etat laïque où la liberté religieuse existe et où le statut de la
femme est respecté. De plus, il convient de rappeler que Damas a
participé activement à la lutte contre Al-Qaïda depuis 2002. Pourtant,
nous continuons d'être alliés à l'Arabie saoudite et au Qatar, deux
Etats parmi les plus réactionnaires du monde arabo-musulman, qui, après
avoir engendré et appuyé Ben Laden, soutiennent les groupes salafistes
partout dans le monde, y compris dans nos banlieues
. Certes, notre
soutien aux agendas saoudien et qatari se nourrit sans nul doute de
l'espoir de quelques contrats d'armement ou pétroliers, ou de prêts
financiers pour résoudre une crise que nos gouvernants semblent
incapables de juguler.

Une question mérite donc d'être posée :
la France a-t-elle encore une politique étrangère ou fait-elle celle du
Qatar, de l'Arabie saoudite et des Etats-Unis ?
Depuis la présidence de
Nicolas Sarkozy la France aligne ses positions internationales sur
celles des Etats-Unis et a perdu, de ce fait, l'énorme capital de
sympathie que la politique du général de Gaulle – non ingérence dans les
affaires intérieures des Etats et défense du droit des peuples à
disposer d'eux-mêmes – lui avait constitué.

Si les élections de
mai 2012 ont amené un nouveau président, la politique étrangère n'a pas
changé. En fait, nous observons depuis plusieurs années la conversion
progressive d'une partie des élites françaises  – de droite comme de
gauche – aux thèses néoconservatrices américaines : supériorité de
l'Occident, néocolonialisme, ordre moral, apologie de l'emploi de la
force …

Surtout, un fait nouveau doit être mis en lumière : la
tentative maladroite des plus hautes autorités de l'Etat de manipuler
la production des services de renseignement afin d'influer sur l'opinion
publique et de provoquer un vote favorable des parlementaires
. Ce type
de manœuvre avait été conduit par Washington et Londres afin de
justifier l'invasion de l'Irak en 2003, avant d'être dénoncé. Onze ans
plus tard, le gouvernement recourt au même artifice grossier et éculé
pour justifier ses choix diplomatiques et militaires. Compte tenu de la
faiblesse des arguments présentés dans la note gouvernementale – qui
n'est pas, rappelons-le, une note des services -, celle-ci ne sera
d'aucune influence sur la presse et l'opinion. En revanche, par sa
présentation, elle contribue à décrédibiliser le travail des services de
renseignement, manipulés à leur insu dans cette affaire.

Le
mépris des politiques français à l'égard des services est connu. Est-ce
un hasard si cette affaire survient alors que l'actuel ministre des
Affaires étrangères est celui-là même qui, en 1985, alors qu'il était
chef du gouvernement, a fort élégamment « ouvert le parapluie Â», clamant
son absence de responsabilité à l'occasion de l'affaire du Rainbow Warrior ?

Une
chose au moins est sûre : une remise à plat de notre position à l'égard
de la Syrie et de notre politique étrangère s'impose, car « errare humanum est, perseverare diabolicum Â»."

Place Vendôme : vaut-il mieux être sentinelle ou braqueur ?

Quel camouflet : les braqueurs ont commis leur méfait sous les
fenêtres du ministère de l'Injustice
que toutes les sentinelles
connaissent bien. Mais les braqueurs n'ont pas peur car Taubira leur a "promis l'immunité" car dans ce type de
braquage il n'y a pas d'armes, pas de blessés, pas de victimes et les
peines peuvent être clémentes et inférieures à … 5 ans.

B

Vous voulez vous suicider ? On va vous observer

Un Observatoire national du suicide va être mis en place à l'occasion de la Journée internationale de prévention du suicide, a indiqué le ministère de la Santé.

La France affiche l'un des taux les plus élevés de suicides en Europe avec plus de 10.000 morts par an.
C'est bien plus que les morts sur les routes

Cet Observatoire réunira deux fois par an les représentants de sept ministères concernés, des acteurs institutionnels (opérateurs de l'Etat et caisses d'assurance maladie), des parlementaires, ainsi que des chercheurs, des professionnels de santé de diverses disciplines, des personnalités qualifiées et des représentants d'associations.Nous ne sommes pas rendus…

Il serait de comprendre que la destruction de la famille, du tissu social, le harcèlement des entrepreneurs, crée une société de la solitude et de la désespérance. Laquelle mène au suicide.

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