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Rassemblement au Trocadéro ce soir contre la guerre en Syrie

Charles-Henri Jamin, Président du Parti Chrétien-Démocrate, invite toutes les personnes de bonne volonté à se rassembler ce soir pour demander au Président de la République de refuser la folie meurtrière de la guerre :

"L'appel lancé par le Parti Chrétien-Démocrate en fin de semaine dernière appelant à s'opposer à la guerre en Syrie par un rassemblement dans le calme ce mardi 3 septembre a été entendu.
Je suis heureux aujourd'hui d'annoncer que seront présents et interviendront au cours de ce rassemblement pour la paix :

  • L'Aide à l'Eglise en Détresse
  • La Fondation du Service Politique
  • Liberté Politique
  • L'Observatoire de la Christianophobie
  • le Blog Nouvel Arbitre
  • L'institut d'éthique et politique Montalembert

Déjà le nombre d'inscrits sur l'événement Facebook dépasse nos prévisions.
Alors que la France semble de plus en plus isolée sur le plan international, plusieurs pays ayant consulté leur représentation nationale et par conséquent renoncé à la voie de l'engagement militaire en Syrie, et que se dessine au sein même de l'opinion nationale une opposition à cette option faussement appelée "guerre juste", le Parti Chrétien-Démocrate demande au Président Hollande de renoncer à son projet.
Monsieur Hollande, Monsieur le Président, tourner le dos à ce projet mortifère serait une vraie preuve de lucidité, de courage même et de respect envers la grande tradition diplomatique de la France , "Patrie des droits de l'Homme" !

L'instant est grave, la paix mondiale est menacée, les intérêts de la France sont fragilisés. Soyez à la hauteur de ce rendez-vous historique et de l'honneur de notre Pays !
J'appelle toutes les personnes de bonne volonté à nous rejoindre ce soir à 19h au Trocadéro pour dire #NonALaGuerreEnSyrie."

Des rebelles syriens auraient reçu des armes chimiques d’Arabie

Lu ici :

"Selon le journaliste de l'Associated Press, de nombreux médecins,
résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles,
prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par
l'intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince Bandar bin
Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l'attentat
chimique mortel.

Les rebelles ont dit à Gavlak qu'ils n'ont pas été
correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques,
qu'ils ne savaient pas de quoi il s'agissait. Il semble que les armes
devaient initialement être données à Al Qaïda et au groupe Front
al-Nosra
[un groupe djihadiste de rebelles armés].
Un militant de l'opposition a dit au journaliste qu'ils étaient très
curieux au sujet de ces armes et que malheureusement certains d'entre
eux ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les
explosions. Un autre combattant, une femme, a ajouté que le groupe de
rebelles ne savaient pas de quel type d'armes il s'agissait ni comment
les utiliser. […] Plus d'une douzaine de rebelles ont été interrogés et ont indiqué que
leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien
, écrit Gavlak."

Voie de garage

Lu sur Veille éducation :

"Toute entrée en seconde correspond à une condamnation à 3 ans de lycée,
ferme et sans remise de peine pour les élèves à la peine.

En ce jour de prérentrée, on nous apprend la bonne nouvelle. Le
pourcentage d’élèves qui passent de 3e en seconde au lieu d’aller dans
l’enseignement professionnel ou en apprentissage augmente. Ce qui
suppose que « le niveau monte Â» et que la qualification de la main
d’oeuvre « s’améliore Â».

Autre bonne nouvelle, aucun de ces élèves qui choisissent le « général Â»
au lieu du professionnel ne s’est trompé. Ils y réussissent tous, même
ceux qui avaient tout juste le niveau pour aller en seconde ou même un
peu moins, et même ceux qui n’ont pas pu trouver de place dans une
filière professionnelle. En cas d’échec, tout est prévu :

Le ministère a organisé le fait qu’il est pratiquement
impossible pour un élève de seconde de poursuivre en voie
professionnelle.
Les passerelles « descendantes Â» sont coupées. Dans un lycée d’Île de France, il y a
25% de propositions de réorientation au second trimestre, plus de 9% de
décisions de conseil de classe demandant une réorientation, et seuls 2
ou 3% d’élèves peuvent se réorienter dans le lycée, et pratiquement
aucun vers un autre lycée."

Et 80% auront leur BAC général. Pourquoi faire ? Ah ça.

La justice égyptienne ferme Al-Jazira

La justice égyptienne a ordonné la fermeture définitive de quatre chaines de télévisions, dont l'antenne égyptienne d'Al-Jazira, la chaîne qatarie en langue anglaise, et la chaîne des Frères musulmans.
Outre Al-Jazira Mubasher Misr et Ahrar 25, le tribunal a ordonné la fermeture de deux chaînes islamistes, Al-Quds et Al-Yarmouk. 

Les sentinelles ont repris place de la mairie à Rennes

S

11 000 signataires contre la guerre en Syrie

Merci de continuer à faire connaître notre pétition.

Un affrontement majeur pour défendre la liberté de conscience des enfants et de leurs parents

De Pierre-Olivier Arduin dans La Nef :

N"Pour bâtir sa nouvelle société et forger un nouvel homme, le
gouvernement est résolu à faire de l’école un lieu de (ré)éducation
morale et de l’enseignement un moyen d’endoctrinement des nouvelles
générations
. Nous sommes à la veille d’un affrontement majeur pour
défendre la liberté de conscience des enfants et de leurs parents. Au
début de cette année scolaire 2013-2014, nous devons prendre la mesure
des dangers qui nous attendent et nous organiser pour résister.

Le
ministre de l’Éducation nationale nous a prévenus dans son
livre-programme Refondons l’école : « Il appartient à l’école de
produire un individu libre, émancipé de toutes les tutelles –
politiques, religieuses, familiales, sociales
». Comme il
l’annonçait dès 2008 dans une vidéo édifiante mise en ligne sur le site
de son éditeur, il s’agit par l’école d’accomplir la Révolution
française qui n’est pas encore achevée
. Vincent Peillon voit dans
l’éducation sexuelle, la promotion des identités de « genre » et
l’imposition d’une morale laïque le fer de lance de la révolution
spirituelle et intellectuelle
qu’il appelle de ses vœux sur le terrain
de l’éducation, terrain, dit-il, qu’il ne faut « pas laisser à l’Église
catholique car on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec
elle
».

Théorie du genre d’abord. Cette idéologie est une
hérésie anthropologique qui nie toute complémentarité naturelle entre
l’homme et la femme
et fait de l’hétérosexualité une structure
arbitraire socialement construite et artificiellement reproduite sans
rapport avec la dimension sexuée de la personne. Vincent Peillon en est
l’un de ses plus fervents adeptes comme il l’avoue lui-même : « La lutte
contre les stéréotypes de genre et l’homophobie doit s’effectuer à tous
les niveaux de l’enseignement
». Peu lui importe que l’amendement
de la députée Julie Sommaruga sur l’éducation à l’égalité de genre à
l’école ait été écarté lors du vote de sa loi au Parlement, il sait que
la circulaire du 30 septembre 2010 de son prédécesseur de droite qui
introduisait les premiers fondamentaux de cette théorie dans les
programmes du lycée a préparé minutieusement son offensive
; il compte
surtout sur le nouvel enseignement obligatoire de « morale laïque » à
raison d’une heure par semaine du CP jusqu’à la terminale
pour en faire
un véhicule privilégié. Plusieurs signes illustrent par ailleurs la
propagande méthodique du ministre : expérimentation dès la rentrée dans
cinq académies du programme ABCD de lutte contre les préjugés « genrés »
de la grande section de maternelle au CM2
avec l’objectif de le
généraliser en 2014, arrêté du 21 mai 2013 accordant un nouvel agrément à
SOS Homophobie
qui affiche sa volonté de détruire « la binarité
historique entre féminin et masculin
» (un passage en force inouï de la
rue de Grenelle quand on sait que le tribunal administratif de Paris
venait d’interdire à cette association d’intervenir en milieu scolaire
en raison de son militantisme)…

Sexualité et « droits »
reproductifs ensuite. Vincent Peillon a décidé de rendre obligatoire
l’éducation sexuelle à partir de 6 ans
. Comme si les programmes de
sciences de la vie et de la terre sur la « maîtrise » de la procréation
ne suffisaient pas, le ministère a signé le 11 avril 2013 une convention
cadre – une première ! – établissant un partenariat avec le Planning
familial
: l’article 1 établit ainsi que l’objet général de cette
convention est « l’amélioration de l’éducation à la sexualité, de
l’information en matière d’accès à la contraception et à l’IVG ainsi que
la lutte contre les stéréotypes de genre et les comportements
homophobes ». De surcroît, l’association est désormais habilitée à
former l’ensemble des personnels intervenant en milieu scolaire dont les
professeurs
. On peut d’ailleurs craindre que les toutes nouvelles
Écoles supérieures du professorat et de l’éducation ne soient en réalité
que des lieux d’enrégimentation des enseignants au nouveau catéchisme de Vincent Peillon.

L’article 5 de la Charte des droits de
la famille du Saint-Siège dont nous allons fêter les 30 ans le 22
octobre prochain nous éclaire sur notre responsabilité historique : «
Les parents ont le droit [et le devoir] d’obtenir que leurs enfants ne
soient pas contraints de suivre des enseignements qui ne sont pas en
accord avec leurs propres convictions morales et religieuses.
» Aussi,
face à ce pouvoir qui oppresse toujours plus les consciences, qui
s’arroge le droit de redéfinir la nature humaine en niant la différence
originelle entre les sexes et méprise sans vergogne la vie et sa
transmission, plus aucun compromis n’est possible. La résistance doit
passer par le soutien et la fondation d’écoles catholiques libres de
proposer de la maternelle au lycée des enseignements respectueux de la
loi morale naturelle et du Magistère de l’Église
. Mais il nous faut
aussi dès à présent réfléchir à l’opportunité de lancer, à l’instar de
nos amis espagnols, un vaste mouvement d’objection de conscience dont
les parents et les enseignants devront être les premiers acteurs.
"

Mensonge de Vincent Peillon

Interrogé sur France Inter ce matin vers 8h50, Vincent Peillon répondit que
"la théorie du genre n'existe pas". Puis il explique qu'il est nécessaire
d'assurer l'égalité filles/garçon de telle sorte à permettre une égalité
professionnelle future.

Or, dans il écrivait dans son livre-programme Refondons l’école (page 128) :

"La lutte
contre les stéréotypes de genre
et l’homophobie doit s’effectuer à tous
les niveaux de l’enseignement".

Au Monde, il faut être engagé dans le bon sens

Hervé Kempf vient de quitter le quotidien Le Monde en raison de son traitement "engagé" sur l'affaire de l'aéroport Notre-Dame des Landes. Sur son blog il explique :

"la censure mise en œuvre par sa direction, qui m’a empêché de
poursuivre dans ce journal enquêtes et reportages sur le dossier de
Notre Dame des Landes.
Au terme de l’histoire que je vais ici retracer, il ne me restait
qu’une issue, si je voulais conserver la liberté sans laquelle le
journalisme n’a pas de sens : abandonner le confort d’un salaire assuré
et de moyens de travail avant que soit étouffée la dernière marge
d’expression qui me restait, la chronique Ecologie."

Sa direction lui avait écrit :

« Bonsoir,
En effet Hervé tu as bien noté que je ne souhaite pas que tu suives ce dossier pour le journal (ni pour le M d’ailleurs). Et j’ai bien noté que tu irais sur le terrain en tant que Hervé Kempf chroniqueur ’engagé’. Tout est clair
Merci
Didier ».

Il a répondu :

« J’irai sur le terrain en tant que journaliste. Je ferai mon travail, qui est de témoigner de mon époque, en relatant honnêtement un moment important de l’histoire du mouvement écologique.
Dans le contexte actuel, le terme de chroniqueur ’engagé’ me paraît injurieux – à moins que l’on parle des ’éditorialistes engagés’ quand trois éditoriaux avalisent le Traité TSCG, ou de ’chroniqueur engagé’ à propos de notre camarade assurant la chronique Europe, aux vues très tranchées. J’en reste à ces exemples. »

Et la suite :

"Je ne détaille pas les mois suivants, qui ont été pénibles. On
voulait me transformer en coupable. Les événements prirent une telle
tournure que le délégué du personnel me conseilla de consulter le
médecin du travail, qui m’orienta vers une psychologue. J’allais bien,
heureusement, même si le choc était rude. Je découvris alors que
plusieurs de mes collègues étaient en dépression nerveuse, qu’une
mission sur les risques psycho-sociaux était menée dans l’honorable
journal, qu’une plainte pour harcèlement moral était engagée par une
collègue
. […]

Sa chronique sur l'écologie gênait visiblement des financiers du journal :

"Le Débat national sur la transition énergétique, peu traité par le
journal, trouva soudain une vive expression, le 17 mai, sous la forme de
quatre pages axées sur « la compétitivité des entreprises Â» et
majoritairement rédigées par des journalistes économiques extérieurs à
la rédaction. On expliquait que l’enjeu essentiel d’une nouvelle
politique énergétique était la compétitivité des entreprises, que le gaz
de schiste réveillait l’industrie américaine, que la politique
énergétique allemande produisait maints effets pervers. Un colloque
organisé par l’Association française des entreprises privées (les cent
plus importantes) et le Cercle de l’Industrie (fondé naguère par
Dominique Strauss-Kahn) avec Le Monde accompagnait cet exercice
de communication, qui remerciait Alstom, Areva, GDF-Suez, Arkema,
Lafarge, etc. Ces partenaires avaient-ils apporté 35 000 euros au
journal pour prix de ces quatre pages, comme me l’indiqua un collègue
bien placé pour le savoir 
?

Béziers : Dupont-Aignan soutient Robert Ménard

Lu ici :

"Selon un confidentiel du Figaro de ce mardi 3 septembre, le président de Debout la République, le député Nicolas Dupont-Aignan, va annoncer son soutien au fondateur de Reporter sans frontière.
Déjà soutenu par le Front national, même s’il assurait à Midi Libre qu’il ne "partirait pas sur une liste seulement FN", Robert Ménard a assisté, le 8 juin, à l'"université d'été de préparation aux municipales" organisées à Orange par Jacques Bompard, député-maire d'Orange, ex-FN et fondateur de la Ligue du Sud. Un colloque pour expliquer aux futurs candidats et militants qui se présenteront sous ses couleurs en 2014 "la méthode pour gagner"."

Statues saccagées à Bubry (56)

Lu ici :

"La statue de Sainte-Hélène en granit, d’un mètre de
haut et d’une centaine de kilos, placée dans une niche, a été retrouvée
en morceaux dans la fontaine
. Elle avait été commandée par le comité de
chapelle il y a une dizaine d’années à un sculpteur de Querrien. Cette
dégradation aurait été commise dimanche dernier, selon les témoignages.

La
semaine dernière, c’est l’ancien calvaire du bourg, installé depuis
très longtemps sur les hauteurs de Sainte-Hélène, face à la chapelle,
qui a été dégradé. Une statue très ancienne d’un mètre cinquante de
haut, en plâtre patiné qui était placée à la gauche du Christ en croix,
est par terre et cassée en morceaux
."

Homophobie : terme orwellien qui désigne un « crime-pensée », machine à tuer la liberté de penser

Christian Vanneste est intervenu à l'université d'été organisée par le diocèse de Fréjus-Toulon. Extrait de son compte-rendu :

"Deux jours au pied de la grotte de sainte Marie-Madeleine, dans
l’Hôstellerie de la Sainte-Baume, tenue par les Dominicains qui veillent
sur le sanctuaire et accueillaient la troisième édition des universités
d’été crées à l’initiative de Mgr Rey, l’Evêque de Toulon-Fréjus et
portées par l’Observatoire Socio-Politique de ce diocèse. Le thème en
était certes le changement, mais à travers lui, en fait, la résistance.
La participation de la Présidente de la Manif Pour Tous, Ludovine de la
Rochère, soulignait combien le grand mouvement contre le mariage unisexe
et la mobilisation qu’il avait entraînée étaient les ferments de la
réflexion des participants, des Chrétiens fervents et engagés réunis
dans un « lieu où souffle l’esprit Â». Résister à la dérive de notre
société, à la montée de l’individualisme narcissique, du consumérisme
matérialiste et du relativisme paresseux, tel était l’état d’esprit des
Catholiques réunis à la Sainte-Baume, mais c’était moins résister au
changement, que changer de résistance, en la rendant à la fois plus
dynamique, plus réfléchie et plus créatrice
. Par ses méthodes d’action,
par son inventivité conceptuelle et tactique, la Manif Pour Tous, a
surpris et a atteint ses objectifs, sauf le dernier, le retrait de la
Loi Taubira. C’est la raison pour laquelle sa Présidente, après avoir
retracé l’historique du mouvement a clairement indiqué que le combat
continuait, de manière plus générale contre toutes les actions menées
par le pouvoir et les groupes de pression porteurs de la culture de
mort, et de la marchandisation du corps humain
. Elle a également précisé
l’état des relations entre la Manif Pour Tous et Frigide Barjot qui a
fait d’ailleurs un passage au repas du vendredi soir, sans susciter
beaucoup d’intérêt
. Elle n’a pas été « virée Â» comme elle cherche à le
faire croire, mais est partie, croyant entraîner le gros des troupes,
alors que celles-ci ne la suivaient absolument pas sur le projet d’union
civile. Que les homosexuels hostiles au mariage aient participé aux
manifestations était excellent, mais pour la plupart des opposants,
l’homosexualité n’est qu’un aspect de la vie intime. Elle n’a pas à être
institutionnalisée ni reconnue par la société puisqu’elle ne répond pas
à la vocation anthropologique du couple qui est, bien évidemment, de
prolonger l’espèce humaine à travers une filiation claire d’abord et une
éducation équilibrée ensuite
. J’ai d’ailleurs interpellé Mme de la
Rochère sur l’emploi malheureux du mot « homophobie Â». Ce terme
orwellien qui désigne un « crime-pensée Â» propice aux amalgames n’est
qu’une machine à tuer la liberté de penser
. Lorsqu’on parle la langue
totalitaire des adversaires, on finit par penser comme eux. […]"

Alain Delon : l’homosexualité est contre-nature


 

Lever les freins à la natalité pour garantir le système par répartition

Communiqué des AFC :

"Le Gouvernement a achevé ses consultations à propos de la réforme des
retraites. Différents leviers sont mobilisés pour partager l’effort et
aboutir à une réforme la plus consensuelle possible.

Le Premier Ministre a dessiné les grandes lignes du projet de loi qui
doit être présenté en Conseil des ministres le 18 septembre prochain :
maintien de l'âge légal de départ à la retraite jusqu'en 2020, prise en
compte de la pénibilité, augmentation des cotisations mais aussi
fiscalisation des majorations de retraite pour enfants, avec des
annonces concernant le coût du travail en France.

A ce stade, une question demeure pour les AFC. Cette nouvelle réforme
des retraites, qui vise à pérenniser la retraite par répartition,
prend-elle en compte les difficultés des familles, et en particulier des
familles nombreuses, à croire qu'elles bénéficieront d'une retraite
juste et décente ?
Une telle incertitude, prégnante, souligne la
nécessité de lever les freins à la natalité qui est requise pour
garantir la survie du système par répartition
. En effet, la France est
entrée dans un cercle vicieux.

La baisse du rendement des retraites par répartition accroît le
besoin d'épargne ! Celui-ci a été évalué pour la France, dans une étude
publiée récemment par Aviva, à 7500 euros par an pour un actif de 50
ans, 5200 euros par an pour un actif de 40 ans et 3400 euros par an à 20
ans.

La comparaison avec le revenu net moyen en France de même que les
études de l'INSEE sur l'épargne et le patrimoine des ménages et
notamment l'examen de la variation du taux d'épargne en fonction de
l'âge montrent l'ampleur de cet effort. Il semble même hors d’atteinte
quand les familles se montrent ouvertes à l'accueil des enfants
, du fait

-  de la réduction de leur épargne marginale conséquence de la
présence des enfants et de l'investissement financier réalisé pour leur
éducation ;

-  des choix liés à l'accueil des enfants (investissement du temps
professionnel dans l'éducation, réduction de la mobilité
professionnelle, etc.) qui se répercutent négativement sur le niveau de
salaire et donc sur le niveau de retraite, mais aussi sur la capacité à
épargner.

En définitive, la menace sur leur niveau de retraite et leur
incapacité à constituer des compléments de retraite par capitalisation,
conduisent les couples à renoncer à accueillir tous les enfants qu'ils
souhaitent et affaiblit toujours d'avantage les équilibres futurs de la
retraite par répartition.

Pour les AFC, l'ensemble des familles en France doivent pouvoir
accueillir les enfants qu'elles désirent et c'est d'elles que dépend la
pérennité du régime par répartition. Une réforme en la matière peut être
l’occasion de rappeler leur rôle essentiel."

Bras de fer entre Mme Bompard et la justice socialiste

Bonne synthèse en 3mn :

 

Les Sentinelles de retour devant le Palais de justice

Les veilleurs debout, renommés les Sentinelles, ne lâchent rien. Cette nuit, ils ont été rejoints par Philippe Arino :

A

Des militants pro-avortements assoiffés de sang

Lu sur Nouvelles de France :

"Midge Slater, une activiste pro-avortement, rejointe par deux candidats
démocrates au poste de gouverneur de l’Iowa, remercie Dieu pour
l’avortement et prie pour qu’il y en ait davantage encore
".

La situation des mères en détresse, ils s'en moquent bien. C'est qu'ils veulent, ce sont des sacrifices humains.

Comment être parents d’élèves à l’heure de l’arrivée du « Gender » à l’école ?

En cette rentrée scolaire, les AFC proposent aux parents de décrypter l'idéologie du genre qui risque d'être inculquée à leurs enfants :

"Les parents sont les premiers et principaux éducateurs de leurs
enfants. Le premier lieu où s’exerce cette primauté éducative est
l’école.

Si le mot « Genre Â» n’est pas dans la loi de refondation de l’école,
cette perspective inspire, à la rentrée 2013, plusieurs initiatives et
évolutions dans le cadre scolaire. Elles sont à considérer comme autant
d’actions pour atteindre l’objectif de « changer les mentalités en
s’appuyant sur la jeunesse Â».

Comment, tout en restant ces « premiers éducateurs Â», les parents
peuvent-ils être force de propositions positives au sein de l’école de
leurs enfants ? Comment être parents d’élèves à l’heure de l’arrivée du
« Gender Â» à l’école ? Qu’est-ce que le « genre Â» ? Sous quelle forme se
présente-t-il à l’école ? Que révèle-t-il ?  Que pouvons-nous
proposer ? Voilà quelques questions auxquelles les AFC entendent
apporter des réponses. [Lire la suite]"

Le ministère de la justice veut des condamnations pour “homophobie”

Avant sa réforme pénale, destinée à vider les prisons, Christiane Taubira a publié dans une circulaire du 23 juillet, publiée au bulletin officiel le 30 août 2013, donnant aux parquets des instructions sur la lutte contre l'homophobie. Les procureurs de la République doivent

« sensibiliser les associations d'aide aux victimes et les services d'enquête de leur ressort sur la question spécifique des violences et discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ».

« Le nombre de condamnations figurant au casier judiciaire national, en réponse à des actes commis à raison de l'orientation sexuelle de la victime, demeure peu important au regard de la réalité du phénomène ». « Ce décalage peut s'expliquer pour partie par la difficulté, parfois, de caractériser le mobile homophobe, les condamnations intervenant alors sans mention de la circonstance aggravante. Mais, au-delà de cette explication, il apparaît que nombre de victimes demeurent réticentes à l'égard du dépôt de plainte ».

Elle préconise ainsi de resserrer les liens « entre l'institution judiciaire et les associations spécialisées », lesquelles sont souvent subventionnées par l'Etat.

Les procureurs de la République devront

« veiller à la mise en place de mécanismes d'alerte, par exemple par voie électronique, permettant un signalement et un traitement rapides des infractions commises ».

Elle recommande aux procureurs de « retenir systématiquement la circonstance aggravante de l'orientation sexuelle de la victime » et s'assurer « que les enquêteurs réunissent les éléments en ce sens ».

Le totalitarisme LGBT est en marche.

Un peu de concentré de suffisance ?

BHL part en guerre contre la Syrie et la Russie (devant son bureau du boulevard Saint-Germain) :

"À l'heure, lundi matin, où je remets cette chronique, pas de vraie incertitude sur l'origine des tirs qui ont provoqué, mercredi dernier, dans la banlieue de Damas, le premier massacre chimique de cette guerre contre les civils qui dure depuis deux ans et demi : à l'exception de l'habituel quarteron de rouges-bruns qui ne ratent aucune occasion d'exercer leur révisionnisme maniaque, tous les observateurs s'accordent à désigner Bachar el-Assad et son régime. [Lire la suite avec ceinture de sécurité]

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