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Accueil de Dominique Bertinotti en Poitou-Charentes, jeudi 6 juin

Programme :

  • 10h45 : Visite de la CAF de Poitiers 5, rue de la Croix-Blanche – 86000 Poitiers
  • 12h00 : Invitée du journal de France 3 Poitou-Charentes
    9, rue du fief des hausses – 86000 Poitiers
  • 14h00 : Visite de la crèche Cap’Vers qui accueille des enfants polyhandicapés Échange avec les personnels et les parents 93 rue des 4 Marie – 79410 Echire
  • 15h00 : Inauguration du multi-accueil Les Collibris en présence de François Fondard,
    Président de l’UNAF et Geneviève Gaillard, Députée maire de Niort Espace Mendes France – 580 avenue de Paris – 79000 Niort

6 juin : conférence sur la théorie du genre à Chantraine

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Le métropolite de Thessalonique dénonce le carnaval désagréable des LGBT

À l’occasion d’informations mensongères publiées sur internet au sujet de sa position sur la « gay pride Â» à Thessalonique,
prévue les 14 et 15 juin, le métropolite Anthime a publié un
communiqué
:

« Le diocèse métropolite de
Thessalonique, avec beaucoup de tristesse et une inquiétude extrême, est
contraint d’affronter à nouveau, de façon pastorale et dissuasive, la
manifestation désagréable, inacceptable et blâmable, des homosexuels
,
lesquels se préparent à réaliser un festival les 14 et 15 juin et à
défiler à Thessalonique. Ainsi, ils nous démontrent leurs passions sous
la forme d’un carnaval.
»

« C’est cependant la décision de
la mairie de notre ville et celle, du maire lui-même, M. Ioannis
Boutaris. La seule concession accordée par celui-ci suite à notre
entretien, a été que ce rassemblement (…) n’ait point lieu comme prévu
devant les églises Sainte-Sophie et Saint-Grégoire Palamas, mais sur la
place de la liberté, loin des saints édifices. Il est néanmoins de mon
devoir de communiquer à l’opinion publique que suite à une manifestation
semblable dans la capitale géorgienne
ont eu lieu des affrontements et des troubles, de la part du clergé et
du peuple chrétien, lesquels ne voulaient pas d’un tel spectacle
affligeant.
(…) En outre, je vous informe que des hommes et des femmes
de Thessalonique m’ont rendu visite dans les bureaux diocésains et m’ont
transmis un dossier comportant 19.500 signatures vérifiées, par lequel
ils protestent fermement et de façon dynamique contre la présence et la
manifestation des homosexuels
dans notre ville de Thessalonique. Je les
justifie pleinement et je suis d’accord avec leurs opinions. Enfin, je
mentionne que, bien que cette question soit très sérieuse et brûlante,
nous, chrétiens orthodoxes, ne pratiquons jamais la violence. Aussi,
comme évêque, je ne recommanderai jamais les affrontements et les coups
dans la société. (…) En tout état de cause, le mieux serait que le maire
annule définitivement ce carnaval dans notre ville
 Â».

Qualifier l’avortement d’assassinat est une perle du Bac

Intéressant de voir que cette phrase est rangée parmi les perles du Bac 2012…

«Le désir d’enfant pour une femme est naturel, donner la vie est dans l’ordre des choses, c’est instinctif d’avoir une progéniture. Les femmes qui n’en veulent pas, ou pire qui choisissent l’abominable assassinat en avortant, sont donc des êtres pervertis.»

Question immorale : “les parents sont-ils ou non les premiers éducateurs des enfants ?”

Extraits du débat hier à l'Assemblée nationale autour de l'amendement sur l'enseignement de la théorie du genre à l'école :

"M. Xavier Breton. Nous abordons
l’article 31 qui est devenu, en quelques semaines, l’un des
articles vedettes de ce projet de loi, malgré les positions du
Gouvernement et de la majorité. Pourquoi ? Parce que cet article 31 indique les objectifs de
la formation primaire. Un amendement adopté en commission des
affaires culturelles a provoqué de vives réactions. Cet
amendement vise à dire que la formation primaire assure les
conditions d’une éducation à l’égalité de genre.

Il y a eu beaucoup de réactions, dont une pétition en ligne
qui a recueilli 270 000 signatures et qui s’est appuyée
notamment sur les propos de notre collègue Mme Sommaruga. Je
la cite, si elle le permet. En commission, elle indiquait :
« Avec cet amendement, il s’agit de substituer à des
catégories telles que le sexe ou la différence sexuelle, qui
renvoient à la biologie, le concept de genre, qui montre que
les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas
fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et
socialement reproduites
. Â» […]

Il y a eu un recul au Sénat, puisque nous ne parlons plus de
cette notion de genre, mais d’égalité entre les hommes et les
femmes. C’est un recul appréciable au plan sémantique. […] Il y a eu un recul sémantique mais aussi politique : à la
lumière des débats, la majorité, sentant la pression monter
dans l’opinion, a opéré un recul sur cette notion de genre et
nous nous en félicitons. […]

Mme Barbara Pompili. Nous arrivons à
ce fameux amendement n° 180, qui a fait couler déjà beaucoup
d’encre.

Je tiens en préambule à signaler qu’en démocratie, on doit
pouvoir débattre de tout
[sic ! Y compris de l'avortement ? NDMJ] et utiliser tous les arguments
possibles. […] Je suis
évidemment parfaitement consciente qu’il y a une différence
entre les sexes, et j’en suis d’ailleurs très heureuse. Je
parle simplement du genre, qui est un concept utilisé pour
désigner les différences non biologiques entre les hommes et
les femmes, et, notamment, le comportement attendu en fonction
d’un sexe dans une société donnée, qui est défini par la
société de manière hétéronome sans être aucunement lié à
l’inné ou à ce qui est issu de la nature. On voit donc bien
que c’est totalement différent.

On devrait pouvoir s’interroger sur le fait que les enfants
sont programmés très tôt pour être différents parce qu’ils
sont nés filles ou garçons. Les enfants doivent pouvoir
évoquer au sein de l’école ces stéréotypes selon lesquels, par
exemple, une fille doit être meilleure en français qu’en
maths. C’est inscrit très profondément dans notre culture et
les enfants doivent pouvoir s’interroger là-dessus. L’objectif de cet amendement, c’est de demander à tous
d’avoir une réflexion et pas du tout d’entrer dans des
théories fumeuses. […]

M. Yves Durand,
rapporteur. […] J’aimerais donc vous convaincre,
madame Pompili de retirer votre amendement, avec la même
exigence de vérité et de respect des consciences qui est la
mienne. S’il n’est pas retiré, j’y serai défavorable. […]

M. Vincent Peillon, ministre. […] Nous restons sur la position du Sénat, mais c’est la mission
de l’éducation nationale de lutter, dans l’intérêt même de
notre pays, contre un certain nombre de stéréotypes, y compris
de genre
au sens fille-garçon, qui font par exemple que notre
pays a des résultats excellents pour les filles en terminale
et au baccalauréat scientifiques, et en même temps un déficit
en femmes ingénieurs considérable par rapport à nos voisins
européens. […] Nous avons la
responsabilité, dans les orientations, dans le travail
scolaire, de lutter très activement pour l’égalité entre les
filles et les garçons
. Ce sera l’une des actions de ce
ministère ; elle est engagée et sera conduite avec résolution. […]

Par ailleurs, Xavier Breton a soutenu un autre amendement sur la place des parents dans léducation de leurs enfants :

M. Xavier Breton. Cet amendement
vise à préciser que la formation primaire « accompagne les
familles Â» plutôt que d’inscrire dans le texte qu’elle
s’effectue « conjointement avec la famille Â». En effet, ce
serait placer la famille au même niveau que l’école alors que
je considère que les parents sont les premiers éducateurs des
enfants.
L’école accompagne simplement les familles. Je sais
que la majorité ne partage pas cette opinion et qu’elle n’a
pas voté cet amendement en commission. […]

M. Yves Durand,rapporteur. Avis défavorable à un amendement qui
n’a pas été défendu. […]

M. Vincent Peillon, ministre. Les rapports
avec les familles sont précisément au cœur de la refondation
de l’école avec l’idée, d’ailleurs enrichie par les
parlementaires de la majorité, de coéducation, c’est-à-dire la
possibilité de mieux associer les parents au travail de
l’école. Il n’est pas question de prééminence mais de
l’ouverture de l’école aux parents. On l’a vu concernant les
langues et sur un certain nombre d’autres sujets, le Sénat
ayant encore enrichi le texte en prévoyant des espaces pour
les parents dans les institutions scolaires : nous avons
besoin d’accompagner les parents les plus éloignés de l’école
pour assurer, comme le montrent les études, la réussite des
élèves. Leur réussite devrait être le point de vue autour
duquel devrait revenir le débat. Je déplore à cet instant que
M. Breton se serve d’un débat sur l’école qui concerne douze
millions d’enfants pour régler des comptes avec une loi déjà
votée par la République. […]

M. Xavier Breton. Monsieur le
ministre, selon vous, les parents sont-ils ou non les premiers
éducateurs des enfants ?
Pour nous, c’est oui. On attend votre
réponse. Elle est importante de la part d’un ministre de
l’éducation nationale.

Plusieurs députés du groupe SRC. C’est une question
immorale !
"

Théorie du Genre à l’école: le Conseil de l’Europe est saisi.

De Grégor
Puppinck, Directeur du European Centre for Law
and Justice :

"Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe a été saisi le 4
juin 2013 d’une question
écrite
mettant en cause la volonté du gouvernement français de « déconstruire
les stéréotypes de genre Â» au moyen de l’école et ce dès l’âge de 6 ans.

Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe regroupe les ambassadeurs
des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe. Il exerce notamment un rôle de
surveillance du respect par ces Etats de la démocratie, des droits de l’homme
et de l’Etat de droit. L’auteur de cette question est M. Luca Volontè, député
italien, Président du groupe PPE (centre-droit) à l’Assemblée Parlementaire du
Conseil de l’Europe (APCE). En avril, il
avait saisi cette même instance au sujet la répression policière des grandes manifestations
pour la défense de la famille
.

Cette question dénonce le caractère idéologique de la théorie du
genre et la violation des droits des enfants, des parents et des
enseignants
qui résulte de son enseignement obligatoire. Elle expose le
gouvernement français à la critique des autres gouvernements européens afin de
le contraindre à la retenue dans la mise en œuvre de son projet.

Il faut noter que la suppression éventuelle du mot « genre Â» du texte
final de la loi Peillon sur l’école n’affectera pas la volonté du gouvernement
d’utiliser l’école pour « déconstruire les stéréotypes de genre Â» ;
la vigilance devra donc s’exercer en toutes hypothèses sur la mise en œuvre
pratique de cet « enseignement Â».

Le Comité des Ministres devra apporter une réponse écrite et circonstanciée
à cette question dans les prochaines semaines
. A cette fin, il devra demander
au gouvernement français d’exposer son projet et les moyens qu’il entend mettre
en œuvre à cette fin.

Voici le texte de la question écrite déposée (Question écrite No. 638
au Comité des Ministres | Doc. 13222 | 04 juin 2013)

Déconstruction
obligatoire des « stéréotypes de genre » et violation des droits des parents

par : M.
Luca VOLONTÈ
, Italie, PPE/DC

Le Gouvernement français a entrepris d’imposer, dès la rentrée scolaire
2013, à tous les enfants âgés de 6 ans et plus, au sein des écoles publiques et
privées (même confessionnelles), un nouvel enseignement sexuel obligatoire
adoptant l’approche de la « théorie du genre Â». Ce projet gouvernemental provoque une immense inquiétude parmi les
parents d’élèves et les enseignants.

Présenté sous
couvert de promouvoir l’égalité sexuelle et de lutter contre l’homophobie, le
but de cet enseignement est de « substituer à des catégories comme le sexe
(…) le concept de genre qui (…) montre que les différences entre les hommes et
les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites
et socialement reproduites Â» (Mme Julie Sommaruga, députée, Commission des
affaires culturelles de l’Assemblée nationale, 28 février 2013). Dans sa lettre
aux recteurs d’Académie du 4 janvier 2013, le ministre français de l’Education
nationale, M. Vincent
Peillon, a déclaré que « le gouvernement s'est engagé à s'appuyer sur la
jeunesse pour changer les mentalités». Selon lui, le but de l’école est « d’arracher l'élève à tous les
déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel. Â» (L’Express, 2 septembre 2012).

[Lire plus]

Un mensonge en direct de Najat Vallaud-Belkacem

Lors du compte rendu du conseil des ministres, une journaliste demande à Najat Vallaud Belkacem, porte-parole du gouvernement, la position du
gouvernement sur la théorie du genre. Réponse de Najat :

"Je ne sais pas ce qu'est la théorie du genre.En réalité, elle n'existe pas".

Quand on va sur le site du ministère de la femme :

Cabinet de Najat Vallaud-Belkacem

M. Gilles BON-MAURY (JO du 25/08/12) : Conseiller en charge de l’accès aux droits et de la lutte contre les violences faites aux femmes et de la lutte contre les violences et des discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre

Cache cache pour tous lundi soir

A noter l'outrage au drapeau français par un policier à la fin de la vidéo.

Le fils d’un député PS arrêté avec 22 kilos de cannabis

Plutot que de vouloir "arracher nos enfants au déterminisme familial", les élus PS feraient bien de s'occuper de l'éducation des leurs !

Ce n'est pas la première fois que l'élu
municipal de Franconville est contrarié par les grosses bêtises de son
fils. Marc Sebaoun a déjà été condamné en 2007 et 2008 pour des vols
avec arme
par la cour d'assises des mineurs. Cette fois, il aurait été
interpellé par les douanes
avec 22 kilos de cannabis dans sa voiture
. Le
fils du parlementaire, qui arrivait du Maroc
était accompagné dans le véhicule par un complice, un certain Farah
Balhas, connu de la Direction centrale du renseignement intérieur
(DCRI).

 

Furia francese

Extrait d'un article de Jeanne Smits dans Présent :

"C’est inouï. Lundi soir, décidée vendredi, interdite par la préfecture de police, changée de lieu in extremis,
une nouvelle mobilisation de la Manif pour tous a déplacé une nouvelle
fois plusieurs milliers de personnes
qui se sont retrouvées avenue de
Ségur, à Paris, pour dénoncer l’enseignement du « genre Â» à l’école. Au
moins 3 000, dirais-je à vue de nez. Sous les fenêtres du ministère de
la Famille, ils ont crié, hurlé leur refus du mensonge. Jeunes, vieux,
gens du quartier, prêtres des paroisses avoisinantes, mamans venues de
banlieue malgré l’horaire peu commode pour les mères de famille : on
m’aurait dit ça il y a un an, je ne l’aurais pas cru.

Cet enthousiasme, cette jeunesse, cette gaieté française – pour ne pas dire cette furia francese –
sont en eux-mêmes un cinglant démenti à la théorie du genre et à la
« lutte contre les stéréotypes Â» chers aux nihilistes qui détestent
autant la nation que la famille (ce qui est parfaitement logique). Nul
pays au monde n’a su faire cela jusqu’à présent pour contrer les
idéologues du genre."

Le gouvernement démantèle la famille, alors qu’elle est le lieu de la solidarité par excellence

Communiqué de Jacques Bompard :

"Jacques Bompard dénonce la réforme du
quotient familial portée par le gouvernement socialiste. Il s’agit d’une
atteinte grave à la politique familiale de la France, qui avait
jusque-là fait consensus,
quelle que soit la majorité en place.

Une étude de l’INSEE a démontré que
chaque enfant supplémentaire dans un foyer fiscal représente un
« appauvrissement Â» de 10%. C’est la raison pour laquelle la politique
familiale française est nécessaire, afin de soutenir les
Français qui assurent l'avenir de notre pays et éduquent les nouvelles
générations.

L’argumentaire du gouvernement est
spécieux. La branche famille de la Sécurité sociale n’est déficitaire
que parce que ce même gouvernement l’a ponctionnée afin de renflouer le
branche retraite. Sans cela, elle serait excédentaire.

Avec une surprenante célérité, le
gouvernement s’empresse de démanteler la famille, alors que le chômage
grimpe en flèche, et que l’insécurité augmente. Pourtant, la famille est
le lieu de la solidarité par excellence.

Jacques Bompard s’oppose à ce nouveau
coup porté à l’institution familiale, qui suit tout juste la
dénaturation du mariage et précède à peine le vote de la loi sur
l’école, qui risque de consacrer l’enseignement dit du
Gender dès le plus jeune âge."

L’opacité de certaines ONG

Un rapport (pdf de 40 pages) de deux anciens députés, Bernard Carayon (UMP) et Jean-Michel Boucheron (PS), pointe l'opacité de financement de certaines ONG.

Les
ONG sont devenues des acteurs d’influence essentiels de la « société
civile Â». En France, les ressources gérées par le secteur associatif
(fondations comprises) s’élèvent à 70 milliards
d’euros, soit près de 3,5% du produit Intérieur Brut
, plus que le budget de  l’Education Nationale. La
transparence des associations a progressé : leurs statuts sont
disponibles en préfecture, leurs comptes sont publiés lorsqu’elles
reçoivent plus de 153.000 euros de financement et les organismes
qui font appel à la générosité du public ont l'obligation de décrire
l'emploi des fonds collectés.

Ces
contraintes sont globalement très bien respectées par les associations
sportives, culturelles ou caritatives. Mais singulièrement moins par les
ONG les plus riches, les plus puissantes,
les plus activistes, à l’instar de Greenpeace, de Transparency
International (TI) et de Trace
, qui jouent pourtant un rôle majeur
dans les processus de décision publique, en particulier auprès de la
commission européenne et des organisations internationales.
Plusieurs rapports parlementaires ont souligné la difficulté d'accès
aux informations élémentaires sur les financements des ONG et leur
gouvernance.

TI par exemple,  n’est indépendante ni financièrement ni culturellement:
son existence doit tout à des fondations (Bill Gates et Soros) et des
multinationales anglo-saxonnes (BP, Shell,
General Electric, Procter & Gamble) ou encore des institutions
gouvernementales (l’Agence américaine pour le développement
international – USAID, notoirement proche de la CIA).  TI-UK, la branche
britannique de l’ONG, est financée à près de 60% par le gouvernement
britannique via le Departement of International Developement.

TI
a acquis ses titres de noblesse en évaluant la transparence des Etats :
l’ Â« indice de perception de la corruption », défini à partir d’un
panel totalement opaque de « personnalités Â», classe
curieusement la France au m̻me niveau Р22̬me Рque les Bahamas. Il
serait opportun que l’organisation publie les critères de composition
de son panel, ainsi que le nom de ses principaux donateurs privés, pays
par pays. Il serait souhaitable aussi que
cette vertueuse ONG exerce ses talents avec autant d’équité dans les
pays du Golfe, en Russie et en Chine, qu’en Europe !

Trace,
consœur de TI, est dirigée par Alexandra Wrage, ancienne directrice
dans le groupe américain de défense, Northrop Grumman, dont l’éthique a,
pour le moins, été sujette à débat! L’ONG
propose de fournir des intermédiaires « vertueux Â» (agents,
consultants, fournisseurs, sous-contractants) aux entreprises et
gouvernements pour leurs relations d’affaires internationales. Ceux qui
refusent, bien sûr, s’exposent au soupçon.
Bel exemple d’un « business model Â» de l’éthique au service d’une stratégie inspirée par la puissance dominante :
certaines grandes entreprises américaines, avec l’aide de leur
gouvernement, ont su développer des pratiques habiles de contournement
de
la convention OCDE, pendant que des ONG comme Trace, pointaient du
doigt les concurrents moins « organisés ».

Greenpeace enfin, est bien connue pour ses coups d’éclat médiatiques, et moins pour son opacité.
Le rapport, en 2011, des députés Jean-Michel Boucheron (PS) et Jacques Myard (UMP) avait souligné qu’
« Ã  l´évidence, Greenpeace est une organisation opaque, qui ne souhaite pas faire trop de lumière
sur ses méthodes et surtout ses financements
 Â»
. Et
lorsque Greenpeace fut invitée par les deux parlementaires à présenter
ses comptes, l’organisation prétexta qu’« on ne discute pas avec un
parti politique (l’UMP !) qui prône la violence ou
des valeurs contraires à la solidarité et au respect des autres 
(sic !)
».

A Vernon, on ne lâche rien !

Lundi soir, lors du Conseil Municipal de Vernon (Eure), Bernard Touchagues, élu de l'opposition au maire socialiste et défenseur de la famille, porte haut les couleurs de LMPT.

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Peines de prison requises contre des policiers pour “arrestations illégales”

Après avoir requis des peines allant de trois mois à dix mois de prison avec sursis à l'encontre de six des  huit policiers poursuivis, le procureur, Aurore Chauvelot, a jugé "inquiétant" "l'état
d'impréparation voire d'amateurisme", en tout cas "d'inefficacité de
l'intervention des policiers".

Et cela se passe bien en France, à Paris… mais en 2010. Les "victimes" de ces arrestations illégales sont deux "vendeurs à la sauvette" opérant au pied de la Tour Eiffel.

Mariés et résistants

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7 juin : accueil de Pierre Bergé à Bernay

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6 juin : accueil de Anne-Marie Escoffier à Colmar

Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Réforme de l'Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique, chargée de la Décentralisation, Anne-Marie Escoffier sera jeudi 6 juin à partir de 14h30 au Centre de Congrès de Colmar

(Parc des expositions)
Programme :

  • 14h 25 : Accueil au Centre de Congrès
  • 14h30 – 14h 50 : Discours d’accueil et d’ouverture de CHRISTIAN PIERRET, ancien ministre, maire de Saint-Dié-des-Vosges, président de la FVM, GILBERT MEYER, maire de Colmar, président de la CA de Colmar, CHARLES BUTTNER, président du Conseil général du Haut-Rhin, André REICHARDT, premier vice-président du conseil régional d'Alsace, sénateur du Bas-Rhin du président de la FVM
  • 14 h50 : Discours d’ANNE-MARIE ESCOFFIER

A Lyon, il n’y a pas que l’UMP

Extrait d'un article de Minute sur la primaire UMP à Lyon :

"[…] Pour comprendre pourquoi tout
ne se joue pas pour la droite lyonnaise
lors de cette élection primaire
de l’UMP, il nous faut revenir à la
soirée du vendredi 15 mars 2013. Ce
soir-là, une centaine de jeunes se
pressaient dans une salle de la rue
Sala, à quelques dizaines de mètres
de la célèbre place Bellecour.
Ils étaient là pour écouter la philosophe
Chantal Delsol discourir
sur l’actualité du clivage entre la
droite et la gauche. […] Il serait plus
juste d’y voir aujourd’hui le pôle
transpartisan de rassemblement de
la droite indépendante lyonnaise
.
Ce soir de mars, on pouvait par
exemple croiser Denis Broliquier,
maire UDI du 2e arrondissement de
Lyon (où se trouve la rue Sala),
Patrick Louis, déjà cité, conseiller
du 6e arrondissement, ou encore le
président national des jeunes du
Cnip, Antoine Aupetitallot. […]

Denis Broliquier, 51 ans, ancien
directeur de cabinet de Million, incarne les espoirs de cette famille
politique. Rappelons que la ville de
Lyon compte au total neuf arrondissements,
dont plus aucun n’est
détenu par l’UMP!
Sept sont en effet aux mains de la gauche et deux
dans celles de « Lyon Divers Droite
», la structure locale de Broliquier.
Il faut rappeler aussi que Jean-Jacques David, maire Lyon DVD du
6e arrondissement, a battu l’UMP
Dominique Perben, ancien garde
des Sceaux, aux élections cantonales
de 2011, sur le score sans appel de
54,06 % à 45,94 %. Déjà, à l’époque,
Patrick Louis avait appelé, dans
l’entre-deux-tours, à sauver le soldat
Perben… […] « Lyon Divers Droite », écrivions-nous
après la défaite de Dominique
Perben et la victoire de Jean-Jacques
David – une « surprise majeure
» pour « Le Progrès » –, « est l’une
des meilleures preuves qu’une droite
indépendante peut exister politiquement
en dehors de l’UMP
». Il reste à
savoir si le futur vainqueur de la
primaire UMP et Denis Broliquier,
patron de « Lyon Divers Droite »,
voudront s’entendre ou s’ils partiront
en ordre dispersé."

Belfort ne lâche rien !

Accueil de ministres à Belfort la semaine dernière. Jeudi : Madame Carlotti et vendredi Madame Touraine.

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Belfort ne lâche rien par Le_Salon_Beige 

Action des Hommens à Nancy

1Succès des Hommens lorrains pendant la gay pride samedi dernier sur la
place Stanislas à Nancy en début de soirée. Une vingtaine de membres masqués et
torses nus ont protesté fièrement et pacifiquement contre la loi Taubira. Des incidents
ont surgi juste avant le discours anti-Hollande. Certains membres ont
été légèrement blessés suite au lancement de projectiles (bouteilles de
verre, chaîne de vélo, …) et à des affrontements physiques par un
groupe
anti-fascistes
. Mais les Hommens ne lâcheront rien, jamais !

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