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Messe d’installation du pape François le 19 mars

PLa messe d’installation du pape François aura lieu en la Saint Jospeh, le 19 mars, à 9h dans la basilique Saint-Pierre au Vatican.

Au lendemain de son élection en tant que 265e successeur de Pierre, le nouveau pape se rendra, dans l’après-midi du 14 mars 2013, dans la basilique romaine de Sainte-Marie-Majeure.

Communiqué de la FSSPX

Lu ici :

"A l’annonce de l’élection du pape François, la
Fraternité Saint-Pie X prie Dieu d’accorder abondamment au nouveau
Souverain Pontife les grâces nécessaires à l’exercice de sa lourde
charge.

Que soutenu par la divine Providence, le nouveau pape puisse « confirmer
ses frères dans la foi », avec l’autorité que saint Pie X proclamait
au début de son pontificat : « Nous ne voulons être et, avec le secours
divin, Nous ne serons rien d’autre, au milieu des sociétés humaines,
que le ministre du Dieu qui Nous a revêtu de son autorité. Ses intérêts
sont nos intérêts ; leur consacrer nos forces et notre vie, telle est
notre résolution inébranlable. »

Saint François d’Assise dont le nouveau pontife porte le nom, entendit
le divin Crucifié lui dire: « Va, François et répare mon Eglise ». C’est
dans cet esprit que les évêques, prêtres, religieux et religieuses de
la Fraternité Saint-Pie X assurent le Saint-Père de leur désir filial de
« tout restaurer dans le Christ, afin que le Christ soit tout et en
tous », selon leurs moyens, pour l’amour de la sainte Eglise
catholique romaine."

Il paraît que la France entretient un dialogue confiant avec le Saint-Siège

Communiqué de l'Elysée :

"J'adresse au Pape FRANCOIS I mes félicitations les plus chaleureuses
et mes vœux très sincères pour la haute mission qui vient de lui être
confiée à la tête de l'Eglise catholique pour faire face aux défis du
monde contemporain.

La France, fidèle à son histoire et aux principes universels de
liberté, d’égalité et de fraternité qui fondent son action dans le
monde, poursuivra le dialogue confiant qu'elle a toujours entretenu avec
le Saint-Siège
, au service de la paix, de la justice, de la solidarité
et de la dignité de l'homme."

François : le nouveau pape élu est le cardinal Bergoglio

Du cardinal protodiacre Jean-Louis Tauran :

Annuntio vobis gaudium magnum :
Habemus Papam,
eminentissimum ac reverendissimum Dominum,
Dominum Georgium Marium,
Sanctæ Romanæ Ecclesiæ Cardinalem Bergoglio,
qui sibi nomen imposuit Franciscum.

B

"Chers frères et soeurs, bonsoir. Vous savez que le conclave est chargé
de donner un évêque à Rome, et cette fois mes frères Cardinaux sont
allés le chercher au loin, presqu'au bout du monde. Et nous voila ici!
Merci de l'accueil de la communauté diocésaine à son nouvel évêque.
Avant tout, je désire prier pour notre évêque émérite Benoît XVI afin
que le Seigneur le bénisse et que la Vierge le protège".

Après la
récitation, tout à fait inhabituelle, du Pater, de l'Ave et du Gloria,
le nouveau Pape a repris la parole:

"Maintenant mettons nous en route,
évêque et peuple ensemble, peuple et évêque ensemble, avec cette Eglise
de Rome qui préside à la charité de toutes les Eglises. Avançons dans
l'amitié et dans la confiance et prions tous pour tous, pour moi, pour
vous et pour le monde, pour qu'il connaisse une grande fraternité.
J'espère que ce parcours d'Eglise qui part de cette chère ville
et dans lequel m'aidera le Cardinal Vicaire, ici présent, sera
fructueux pour" la reévangélisation.

"Et maintenant, avant de vous
donner la bénédiction apostolique, je veux vous demande une faveur, de
demander au Seigneur de me bénir: La prière du peuple pour son évêque,
pour que Dieu
le bénisse. Soyons unis en silence pour prier les uns pour les autres".

"Maintenant je vous donne à tous la bénédiction, qui s'étend au monde
entier, aux femmes et hommes de bonne volonté".

Après la bénédiction
solennelle Urbi et Orbi, le nouveau Pape a dit désirer pouvoir aller
prier demain la Vierge, souhaitant bonne nuit et bon repos à la foule.

Jorge Mario Bergoglio, né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine, est un cardinal argentin, jésuite et archevêque de Buenos Aires depuis 1998.

En 2007, il déclarait :

"Nous disons que nous ne sommes pas d'accord avec la peine de
mort, qu'elle est une injustice, mais en Argentine nous avons la peine
de mort. On peut condamner à mort un enfant conçu
à la suite du viol
d'une femme retardée mentale. Soyons conscients que nous ne pourrons
pas occulter la culture du rejet avec des euphémismes
".

En 2009 :

"Chaque enfant doit être accompagné pour toute la vie
(…) Il faut veiller à ce que les enfants grandissent sainement,
soient suffisamment nourris, reçoivent une bonne éducation fondée sur de
solides principes moraux.

C'est une bataille à soutenir contre les nombreux attentats à la vie humaine, contre la diffusion de la culture de mort.
Une bataille, qui doit être soutenue aussi pour les personnes âgées,
qui sont la sagesse de la vie, et quand la vie humaine est proche de
s'éteindre. Cela, évidemment, demande des dévouements et du sacrifice (…)

Nous ne pouvons pas embrasser la culture de la vie si nous ne mettons pas nos racines en Jésus,
si nous ne sommes pas unis à lui comme le sarment de la vigne au
tronc. Parce que Jésus est le patron de la vie. Il s'est défini comme le
chemin, la vérité et la vie. Ce n'est qu'avec Jésus que nous
pouvons répandre cette ardeur, que nous pouvons avoir cette ferveur pour
proclamer le message de la vie
(…)"

Et en 2010, à propos de la dénaturation du mariage :

"Ne soyons pas naïfs : il ne s'agit pas d'un simple combat politique : c'est le projet de détruire le plan de Dieu.
Il ne s'agit pas d'un simple projet législatif (celui-ci est seulement
un instrument), mais une « movida » du père du mensonge qui prétend
embrouiller et tromper les enfants de Dieu.
Jésus nous dit que, pour nous défendre face à cet accusateur mensonger, il nous enverra l'Esprit de Vérité. Aujourd'hui
la Patrie, devant cette situation, a besoin de l'assistance spéciale de
l'Esprit Saint qui mette en lumière de la Vérité au milieu des ténèbres
de l'erreur
; elle a besoin de cet Avocat qui nous défende des
sortilèges de tant de sophismes par lesquels on tente de justifier ce
projet de loi, qui embrouillent et trompent même des gens de bonne
volonté.

C'est pourquoi j'ai recours à
vous et vous demande oraison et sacrifices, les deux armes invincibles
qu'avouait détenir la petite sainte Thérèse
. Suppliez le Seigneur pour qu'Il envoie son Esprit aux Sénateurs qui doivent exprimer leur vote.
Qu'ils ne fassent pas, mus par l'erreur ou par des situation de
conjoncture, mais selon ce que la loi naturelle et la loi de Dieu leur
dicte. Demandez-le pour eux, pour leurs familles : que le Seigneur les
visite, les fortifie et les console. Demandez qu'ils fassent un grand
bien pour la Patrie."

Les yeux rivés sur la loggia de la basilique Saint-Pierre

L

La foule des catholiques attend son pape

S

5 votes auront suffi

V

Mgr Le Vert encourage à manifester le 24 mars

Monseigneur
Le Vert invite les catholiques du Finistère à participer à la "Manif
pour tous", à Paris, le 24 mars pour tous :

Le Vert"L’Assemblée nationale a voté il y a peu de temps le projet de loi sur le « mariage pour tous Â»

Beaucoup,
dans notre société, mesurent la gravité de ce vote. Comme je l’ai déjà
dit, cela ne touche pas d’abord à une vision confessionnelle du mariage,
mais à sa fonction sociale qui ne dépend d’aucune religion. Nous le
percevons de plus en plus : le « mariage pour tous Â» sera une source
d’injustices profondes et de problèmes insolubles, spécialement au
niveau des enfants.

Notre
gouvernement n’a pas voulu prendre la mesure de la manifestation
impressionnante du 13 janvier dernier à Paris, où plus d’un million de
personnes se sont mobilisées pour exprimer leur opposition à ce
changement de société. Mais la loi n’est pas encore votée ! Le projet
doit maintenant passer devant le Sénat. Aussi, une nouvelle
manifestation est prévue le 24 mars, et elle est tout à fait opportune.
Comme la précédente, elle reçoit mon soutien.

J’invite
les fidèles catholiques du diocèse de Quimper et Léon qui le jugent
nécessaire en conscience, à rejoindre les femmes et les hommes de bonne
volonté qui vont se réunir à Paris le 24 mars 2013, pour continuer
d’exprimer leur opposition à ce projet de loi
. Le fait que ce soit le
dimanche de Rameaux ne doit pas les arrêter. Cette date n’a pas été
choisie volontairement par les organisateurs, mais était la seule date
possible autorisée par la Préfecture de Police. Je comprends que cela
puisse poser des problèmes de conscience à certains fidèles. Mais ils
pourront célébrer cette entrée en Semaine Sainte lors de la messe de la
veille au soir, ou à Paris le dimanche matin. En défendant ainsi le bien
de la société et l’avenir des enfants, ils ne s’éloigneront pas du
Christ Serviteur de tous que nous célébrerons tout au long de cette
Semaine Sainte.

Des
associations familiales, confessionnelles ou non, organisent des
transports vers Paris, spécialement par car. Vous pouvez prendre contact
avec elles aux adresses suivantes :

 
www.lamanifpourtous29.com [email protected] 07 60 49 94 11

Puisse un grand nombre de personnes contribuer à l’élaboration du bien commun de notre société !"

500 000 signatures bloquent un vote parlementaire

Non, ce n'est pas la dénaturation du mariage.

500 000 courriels ont permis de
bloquer
le vote d'une résolution en séance plénière du Parlement
européen. Cette résolution sur les stéréotypes de genre demandait notamment :

« 17. invite l'Union européenne et ses États membres à prendre des
mesures concrètes à la suite de la résolution du Parlement européen du
16 septembre 1997 sur la discrimination de la femme dans la publicité, qui réclamait l'interdiction de toutes les formes de pornographie dans les médias, ainsi que de la promotion du tourisme sexuel. »

Suite à la pression des courriels, par 368 voix contre 159 et 98 abstentions, le Parlement européen a voté pour la pornographie sur internet.

Bonjour Le Plessis Robinson

P

Bonjour Metz

M
Lundi de 7h à 9h sur l'A31 où 100 000
véhicules passent par jour.

Mgr Aillet manifestera sur les Champs-Elysées le 24 mars

Lettre de Monseigneur Marc Aillet aux diocésains à propos de la « Manif pour tous » du 24 mars :

2"Le 13 janvier dernier à Paris, le projet de loi Taubira de « mariage et adoption pour tous », a suscité une mobilisation sans précédent, tant par son ampleur que par la diversité des manifestants et leur motivation : on ne marchait pas pour défendre des intérêts particuliers, mais on avait conscience, de manière plus ou moins explicite, de promouvoir le bien commun de la société, un bien précieux à transmettre aux générations futures.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette mobilisation ne semble pas avoir eu d’effets immédiats sur le gouvernement : son absence presque totale de réaction a même pu s’apparenter à un certain mépris. Le débat parlementaire a été à l’image des auditions devant la commission des lois de l’Assemblée nationale : un parti-pris idéologique, un refus d’entendre la voix de la raison en tournant systématiquement en dérision les arguments avancés, une occultation des vrais enjeux pour la société, en particulier « le droit de l’enfant » au profit d’un mortifère « droit à l’enfant ». Les 700.000 pétitions déposées au CESE n’ont pas eu plus de succès. Les media qui minimisent cette mobilisation, au mépris de son ampleur inédite en France, continuent de donner la parole aux promoteurs du projet de loi qui s’en prennent avec virulence à leurs adversaires en brandissant contre eux le facile qualificatif d’ « homophobes » pour les diaboliser aux yeux de l’opinion.

Face à une telle fin de non-recevoir et devant l’obstination du gouvernement, voire une certaine faillite des institutions républicaines qui apparaît de plus en plus comme un déni flagrant de démocratie, la partie est-elle perdue pour autant ? Non, et il convient de rester mobilisés, même si le doute et le découragement semblent en gagner plus d’un.

Il reste que la mobilisation historique du 13 janvier est une lame de fond qui ne saurait se réduire à un combat à court terme, lequel demeure pour autant légitime. En effet on ne saurait être dans une logique d’affrontement ou de rapport de forces. Face au mépris et à la dérision, il n’est pas question de se laisser aller à quelque forme de violence ou d’agressivité que ce soit. C’est un combat spirituel où les ennemis ne sont pas « des êtres de chair et de sang », comme dirait saint Paul : c’est la « béatitude des doux » qui doit nous animer ; et la douceur n’a rien à voir avec la mollesse et la lâcheté, elle est même la vertu qui nous aide à convertir la violence en force d’âme. Mais il semble bien que l’on soit engagés dans une « guerre idéologique » qui entend procéder à la déconstruction de la société et à la déstructuration de la personne humaine, jusqu’à détruire son lien constitutif au Créateur, pour hâter l’avènement d’un « homme nouveau ».
Tel est bien, semble-t-il, le sens de la « réforme de civilisation » prônée par Mme Taubira, au nom de laquelle le gouvernement entend « arracher les enfants au déterminisme de la religion » (Christine Taubira à l’Assemblée nationale ») et faire de l’Education nationale un instrument susceptible de promouvoir une « morale laïque » pour « arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » (Vincent Peillon). Au bout du compte, ce projet totalitaire n’a d’autre objectif que d’imposer à l’ensemble de la société une politique hélas synonyme de « culture de mort » (promotion de l’idéologie du genre, mesures visant à faciliter l’accès des femmes à l’IVG, remise en cause annoncée de notre politique familiale et du droit de la famille, légalisation programmée de la procréation médicalement assistée , autorisation des expérimentations sur l’embryon humain, du « suicide assisté », des « salles de shoot », etc.).

Dans ces conditions, la manifestation du 24 mars ne sera pas d’abord une démonstration de force, qui chercherait à tout prix à faire plier le gouvernement, même s’il est légitime de réclamer purement et simplement le retrait du projet de loi Taubira. Car ne nous y trompons pas : adopté par l’Assemblée nationale en première lecture, il doit encore être discuté au Sénat, puis vraisemblablement, revenir en seconde lecture à l’Assemblée, sans préjuger de son application, si d’aventure il parvient à franchir toutes ces étapes parlementaires. Mais il s’agit plus encore de montrer qu’il existe en France un vaste et profond mouvement de résistance spirituelle, morale, sociale et politique, sous-estimé par les organes institutionnels et les appareils de partis.

Sans doute les déclarations de certains porte-paroles de la « manif pour tous » ne sont-elles pas toujours ajustées. En même temps, leur diversité et leur profond désir de rester unis sur l’essentiel, à savoir le retrait du projet de loi, sert ce mouvement de résistance, au-delà des divergences d’approches. Je sais bien aussi que la date retenue, due à des contraintes indépendantes de la volonté des organisateurs, pourrait gêner les catholiques qui entrent en ce dimanche 24 mars dans la grande semaine sainte.
Toutefois, devant l’importance de l’enjeu, j’encourage les fidèles du diocèse qui le décideront en conscience et en auront la possibilité, à se rendre à Paris le 24 mars. Moi-même, je célèbrerai la Messe anticipée du dimanche des Rameaux, le samedi 23 mars à 18h à la cathédrale Saint- Marie de Bayonne et je les accompagnerai afin de manifester ma sollicitude de pasteur pour leur légitime engagement : pour vous, je suis évêque, mais avec vous je suis chrétien … et citoyen !

L’Eglise n’a certes pas vocation à se lancer dans la bataille politique, mais son rôle est bien de réveiller les forces morales et spirituelles de la société. Mon intervention se situe dans cette ligne. Comme évêque et en conscience, je ne saurais me soustraire à ma mission prophétique. Comme le Pape Benoît XVI nous le rappelait, lors de notre visite ad limina : « Dans les débats importants de société, la voix de l’Eglise doit se faire entendre sans relâche et avec détermination. En continuant
d’exercer comme vous le faites la dimension prophétique de votre ministère épiscopal, vous apportez dans ces débats une parole indispensable de vérité qui libère et ouvre les cœurs à l’espérance
». « Garante de la culture de l’humain », qui est née, comme le rappelait notre Pape émérite, « de la rencontre entre la Révélation de Dieu et l’existence humaine », l’Eglise a quelque chose à dire sur l’homme, précisément parce que l’homme a été créé à l’image de Dieu, fondement ultime de sa dignité, et parce que « le mystère de l’homme ne s’éclaire vraiment que dans le Mystère du verbe incarné » (Vatican II).

La manifestation du 24 mars, comme celle du 13 janvier, doit être l’expression d’un véritable printemps des consciences.
Je n’oublie pas pour autant les souffrances des personnes homosexuelles et de leurs familles, pour lesquelles l’Eglise a une longue expérience d’accompagnement pastoral. Je ne veux pas non plus minimiser les nombreuses situations de précarité économique et sociale engendrées par la crise actuelle, pour lesquelles des solutions politiques tardent à être trouvées et qui exigent de notre part un engagement redoublé en ces jours de Carême. Mais le projet de loi de mariage et d’adoption pour tous représente un enjeu considérable pour l’avenir de notre société et c’est pourquoi je me permets d’insister sur la juste mobilisation qu’il réclame.
En vous engageant d’abord à la prière, car « l’action déborde toujours de la prière » (Marthe Robin), je vous propose de consacrer le vendredi 22 mars à une journée de jeûne et de prière à cette intention.
Avec mes sentiments dévoués dans le Christ et Son Eglise."

La Manif pour tous n’est pas arrêtée par la neige

Même à Cherbourg :

C

Le cardinal Luis Antonio Tagle, le benjamin

L'archevêque de Manille, primat des Philippines, membre de la Congrégation pour l'éducation catholique, a été créé cardinal lors du dernier consistoire, le 24 novembre 2012. Membre du comité de présidence du conseil pontifical pour la famille et de celui pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, le cardinal Tagle n'est apparu que dans un seul post du Salon Beige, celui relatant son élévation au cardinalat, avec une photo montrant son émotion :

T
Agé de 55 ans, il est presque le plus jeune, après le cardinal indien Baselios Cleemis, Archevêque de Trivandrum des Syro-malankares (53 ans).

Benoît XVI suit attentivement les événements

Lu sur le VIS :

"A 7 h 45' les 115 Cardinaux électeurs ont quitté la Domus Sanctae
Marthae pour concélébrer la messe en la Chapelle Pauline et, à 9 h 30'
se sont rendus à la Chapelle Sixtine pour procéder à deux scrutins. A 11
h 40', la fumée noire a averti la foule de l'échec du second et
troisième vote
. En début d'après-midi, le Directeur de la Salle de
Presse s'est rendu au Media Center pour rencontrer l'ensemble des
journalistes et opérateurs accrédités pour le conclave. Le P.Lombardi a
évoqué le caractère unique du mois déjà passé depuis l'annonce de la
renonciation de Benoît XVI au pontificat, soulignant l'intensité du
climat qui règne à Rome, parfaitement illustré par la quantité de
personnes
qui dès hier après-midi s'est rassemblée Place St.Pierre, et qui afflue à
pied vers le Vatican malgré le trafic automobile et la carence des
services publics
. Malgré ces inconvénients, la population, les fidèles
et les visiteurs attendent avec attention l'élection du nouveau Pape.
Commentant l'échec des premiers scrutins, il a rappelé que pratiquement
personne n'attendait une fumée blanche hier soir. Pour ne parler que des
conclaves du siècle dernier, seul Pie XII fut élu au premier tour. On
était il est vrai à la veille de la seconde guerre mondiale. Ensuite il a
précisé qu'on ne comptait aucun Cardinal n'était malade, ce qui n'a pas
retardé le déroulement des scrutins. Beaucoup ont été surpris par
l'abondance de la fumée rejetée hier soir, due à un
procédé chimique expliqué hier par le VIS. Le Directeur de la Salle de
Presse a exclu que cette fumée ait été polluante ou dangereuse pour les
fresques de la Sixtine, qu'elle ait pu indisposer les hôtes de la
chapelle. Le Préfet de la Maison pontificale Mgr.Gänswein, qui est
présent depuis hier au Vatican, a confié que Benoît XVI suit
attentivement les événements grâce aux media. Il a pris part à la messe
Pro Eligendo et demeurera au Vatican jusqu'à la fin du conclave. Il a
été précisé que, par respect, le Pape émérite n'assistera pas à la messe
d'intronisation de son successeur
. De manière à donner aux journalistes
une idée de l'ambiance interne à la Chapelle Sixtine, le P.Lombardi a
cité l'interview du Cardinal Lehman qui a participé au
précédent conclave, insistant sur la solennité et la spiritualité de
l'événement, mais aussi sur le caractère familier et simple des
rapports. Quant au temps que passent les Cardinaux électeurs à la
résidence Ste.Marthe, il est librement occupé entre prière, repos, repas
et rencontres."

16 mars : portes ouvertes de l’école l’Espérance dans l’Oise

E

Le 24 mars dites non à Pierre Bergé

K

Visitez la cathédrale du pape

Voici un site pour visiter la cathédrale Saint Jean de Latran.

L’ancien Grand Maître du GODF condamné

Lu ici :

"Le 8 mars 2013, le Tribunal correctionnel de Marseille a condamné Simon Giovannaï, ancien Grand Maître du GODF (1999-2000), et Jean-Paul Brunel, qui fut Grand Maître adjoint d’Alain Bauer en 2002-2003, à 10 000 € d’amende chacun.
Il s’agit d’une affaire née d’une plainte de 2007 du légataire
universel de l’archevêque de l’Église apostolique arménienne de
Marseille
[orthodoxe autocéphale, NDMJ]. Les deux frères avaient été mis en examen pour abus de
confiance. Sur l’essentiel de l’affaire, la
non-restitution d’une somme de 2 millions de francs confiée par le
prélat, lui-même initié, à une société gérée par Brunel et Giovannaï, le Tribunal de Marseille a déclaré les faits prescrits. Alors que le parquet avait requis 4 mois de prison avec sursis.

C’est sur « l’affaire dans l’affaire Â»,
un plus petit abus de confiance (160 000 francs) au sujet duquel
Giovannaï avait reconnu sa maladresse, que le tribunal est entré en voie
de condamnation avec une amende inférieure de 5 000 € en comparaison de
ce qu’avait requis le procureur. […] En revanche, le conseil du légataire universel de l’archevêque de l’Église apostolique arménienne de Marseille n’est pas satisfait d’avoir été débouté de ses demandes de dommages et intérêts. « La prescription ne concerne que le volet pénal de l’affaire, indique Me Jean-Simon Manoukian. Pour les intérêts civils de mon client, nous ferons appel devant la Cour d’Aix-en-Provence. Â» Affaire à suivre, donc.

Les allusions déplacées à l’Eglise interdites dans la presse libanaise

Lu dans Présent :

"Les dernières livraisons du Canard Enchaîné et de VSD ont été interdites au Liban, pour « allusions déplacées Â» sur la renonciation de Benoît XVI.
La Sûreté générale dont dépend la commission de censure, commission
mixte islamo-chrétienne, ayant estimé que ces pages étaient « attentatoires à l’Eglise et aux religieux chrétiens Â».

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