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Une église profanée à Lyon

RL'église de Saint-Rambert, située dans le IXe arrondissement de Lyon,
a été profanée dans la nuit du 27 au 28 novembre par une ou des
personnes qui ont cassé et détruit de nombreux objets liturgiques. La porte du tabernacle a été fracturée,
les plaques de l'autel arrachées, des objets liturgiques volés, le Saint-Sacrement profané.

Le curé a déposé plainte pour vol et vandalisme et explique :

"Je
n'ai pas pu déposer plainte pour le motif de profanation car c'est
uniquement réservé aux tombes et je le regrette, nous vivons dans un
monde où il n'y a plus rien de sacré
".

Le diocèse organise une messe de réparation le vendredi 14
décembre.

L’Agrif porte plainte contre Act Up

Communiqué de l'Agrif :

A"Décision de plainte auprès du Procureur de la République pour provocation directe au meurtre complaisamment relayée
par l’association ACT-UP contre les opposants au « mariage Â» homosexuel.

Grâce au site « Riposte catholique Â», nous avons découvert l’ahurissante menace explicite de mort contre
les catholiques et opposants au mariage homosexuel
formulée par un conglomérat de toutes les marginalités possibles et
relayée par l’importante association étatiquement subventionnée Act-Up. On peut lire sur le site de cette dernière la liste des prosélytes des orientations idéologiques et sexuelles que l’on
entend coaliser dans cette menace terroriste : « NOUS, féministes, gouines, trans, bi-e-s, pédés,
antifascistes, psychiatrisé-e-s, séropos, asexuel-le-s, queers, anormaux-ales, masochistes, poly(in)fidèles, hystériques,
avortante-s, intersexes, enculé-e-s, putes, travs, pornographes, et autres combattantes dénonçons le regain de
respectabilité des discours des droites extrêmes, leur diffusion dans les médias et leur influence sur les prises de
décision politiques. 
»

Cette admirable enfilade est ni plus ni moins appelée à agir ainsi contre les catholiques : « NOUS NE
QUÉMANDONS PAS LES PLEINS DROITS QUI NOUS REVIENNENT. NOUS NE TENDRONS NI LA MAIN NI L’AUTRE JOUE : PRÉPARONS LES PLANCHES ET
LES CLOUS ! Â»

L’AGRIF ne peut laisser passer pareille provocation au meurtre, s’inscrivant dans le désir d’un retour barbare aux
atrocités des persécutions de l‘empereur Néron, dans un Colisée dont les gradins étaient peuplés de la
même faune vociférante. Ces appels ont déjà été constatés par huissier, et la plainte doit être déposée incessamment
auprès du Procureur de la République."

Terrorisme du lobby LGBT à Rennes

Un collectif "transpédégouines" s'est invité lors d'une réunion-débat consacrée à la dénaturation du mariage organisée lundi à Rennes par l'Entente parlementaire pour la famille. Sont intervenus les députés d'Ille-et-Vilaine Isabelle Le Callennec (UMP), Thierry Benoît (UDI), Gilles Lurton (UMP), le sénateur UMP Dominique de Legge, Mgr Pierre d'Ornellas, archevêque de Rennes.

Une vingtaine de personnes ont investi la scène de manière impromptue et sous les huées d'une grande partie du public. Environ 300 personnes étaient présentes dans le public.

Ces terroristes intellectuels brandissaient des panneaux où était écrit, notamment, "On veut tes droits, pas ton avis".

Les petits chanteurs de Saint-Charles chantent “un concert autour d’un conte de Noël”

C

Un autre concert est prévu en l'église de St Cyr l'Ecole le 16 décembre à 17h30.

Le programme comporte des chants de Noël ainsi qu’un extrait de l’Oratorio de Noel composé par Jean Sebastien Bach. L’entrée est libre, venez nombreux ! Retrouvez les Petits Chanteurs de Saint Charles sur Facebook
& Internet.

Une communauté anglicane rejoint l’Eglise catholique

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

"Quelque 11 religieuses de la
Community of St Mary the Virgin
, communauté contemplative anglicane
historique de Wantage, dans l’Oxfordshire, vont être reçues
dans l’unité catholique et l’ordinariat Notre-Dame de Walsingham le
mois prochain. Elles seront rejointes par une religieuse de la société
Sainte-Marguerite de Walsingham, qui a intégré l’ordinariat dès le
début, et vont constituer la communauté des Sisters of the Blessed
Virgin Mary."

Hollande accorde la procréation médicalement assistée

HA l'approche de la manifestation LGBT du 16 décembre, le président de la République accorde au micro-lobby l'ouverture de la procréation médicalement assistée aux femmes. Avant d'accorder la légalisation des mères porteuses aux hommes, sans aucun doute (par "non-discrimination").

A moins qu'il ne s'agisse que d'un pas de danse : un pas en avant en prévision de la manifestation du 16 décembre puis un pas en arrière le 13 janvier, si la manifestation pro-famille se révèle être plus importante que celle du 16/12.

L'opposition dénonce le double discours. Le
député UMP Jean Leonetti souligne :

«Cela confirme le double langage du gouvernement et la théorie de la
pente glissante. Au moment du pacs, les socialistes promettaient qu'il
n'y aurait pas d'ouverture du mariage. Aujourd'hui, le gouvernement
ouvre le mariage et l'adoption, mais ne se prononce pas en faveur de la
PMA pour les femmes. Maintenant, il ne s'y oppose plus…
».

Demain, la gauche légalisera ainsi les "couples" à 3 ou 4, au nom de l'égalité, naturellement.

Rappelons pourquoi l'Eglise condamne la procréation in vitro :

"la fécondation
in vitro implique l’élimination volontairement acceptée d’un nombre
conséquent d’embryons.
Certains pensaient que cela était dû à une technique encore imparfaite.
L’expérience a montré, au contraire, que toutes les techniques de fécondation
in vitro
se déroulent en réalité comme si l’embryon humain était un simple
amas de cellules qui sont utilisées, sélectionnées ou écartées. […]

L’Eglise considère aussi comme inacceptable au plan éthique la
dissociation de la procréation du contexte intégralement personnel de l’acte
conjugal
: la procréation humaine est un acte personnel du couple homme-femme qui n’admet
aucune forme de délégation substitutive. L’acceptation tranquille du taux très
élevé d’avortement que comportent les techniques de fécondation in vitro
démontre de manière éloquente que la substitution de l’acte conjugal par une
procédure technique – outre sa non-conformité au respect dû à la procréation,
laquelle n’est pas réductible à la seule dimension de reproduction – contribue à
affaiblir la conscience du respect dû à tout être humain
. La reconnaissance de
ce respect est au contraire favorisée par l’intimité des époux, animée par
l’amour conjugal."

L’action de Dieu dans l’histoire de l’homme

Extraits de la catéchèse de Benoît XVI à l'audience de ce matin :

B"Dans la dernière catéchèse, j’ai parlé de la Révélation de Dieu, en
tant que communication qu’il fait de lui-même et de son dessein de
bienveillance et d’amour. […] Comme nous l’avons entendu, l’évangéliste saint Marc rapporte en des
termes clairs et synthétiques les premiers moments de la prédication de
Jésus : « Le temps est accompli et le Royaume de Dieu est tout proche Â»
(Mc 1, 15). Ce qui éclaire et donne sa pleine signification à l’histoire
du monde et de l’homme commence à briller dans la grotte de Bethléem ;
c’est le mystère que nous contemplerons dans peu de temps, à Noël : le
salut qui se réalise en Jésus-Christ. En Jésus de Nazareth, Dieu
manifeste son visage et demande à l’homme une décision pour le
reconnaître et le suivre
. La Révélation de Dieu dans l’histoire, pour
entrer dans une relation de dialogue d’amour avec l’homme, donne un sens
nouveau à tout le chemin de l’homme. L’histoire n’est pas simplement
une succession de siècles, d’années et de jours, mais c’est le temps
d’une présence qui lui donne sa pleine signification et l’ouvre à une
espérance solide.

[…] En lisant l’Ancien Testament, nous pouvons voir combien les
interventions de Dieu dans l’histoire du peuple qu’il s’est choisi, et
avec lequel il noue une alliance, ne sont pas des faits qui passent et
tombent dans l’oubli, mais ils deviennent « mémoire Â», et constituent
tous ensemble « l’histoire du salut Â», gardée vivante dans la conscience
du peuple d’Israël à travers la célébration des événements salvifiques.
Ainsi, dans le livre de l’Exode, le Seigneur indique à Moïse de
célébrer le grand moment de la libération de l’esclavage d’Egypte, la
Pâque juive, par ces paroles : « Ce jour-là, vous en ferez mémoire et
vous le fêterez comme une fête pour le Seigneur, dans vos générations
vous la fêterez, c'est un décret perpétuel 
» (12, 14). […]

La foi est nourrie par la découverte et la mémoire du Dieu qui est
toujours fidèle, qui guide l’histoire et qui constitue le fondement sûr
et stable sur lequel on peut faire reposer sa vie
. Le chant du
Magnificat, que la Vierge Marie élève vers Dieu, est un exemple très
élevé de cette histoire du salut, de cette mémoire qui rend présente
l’action de Dieu, et qui la garde. Marie exalte l’action miséricordieuse
de Dieu sur le chemin concret de son peuple, la fidélité aux promesses
de l’alliance faites à Abraham et à sa descendance ; et tout ceci
constitue la mémoire vivante de la présence divine qui ne s’affaiblit
jamais (cf. Lc 1, 46-55). […]

Dieu se révèle donc non seulement à travers l’acte primordial de la
création, mais en entrant dans notre histoire
, dans l’histoire d’un
petit peuple qui n’était ni le plus nombreux, ni le plus fort. Et cette
Révélation de Dieu qui avance dans l’histoire culmine en Jésus-Christ :
Dieu, le Logos, la Parole créatrice qui est à l’origine du
monde, s’est incarné en Jésus et a montré le véritable visage de Dieu.
En Jésus s’accomplit toute promesse, en lui culmine l’histoire de Dieu
avec l’humanité. […]

Le Catéchisme de l’Eglise catholique résume les étapes de la
Révélation divine, montrant synthétiquement son développement
(cf. nn.
54-64) : Dieu a invité l’homme dès les origines à une communion intime
avec lui et même quand l’homme, à cause de sa propre désobéissance, a
perdu son amitié, Dieu ne l’a pas abandonné au pouvoir de la mort, mais
il a plusieurs fois offert aux hommes son alliance (cf. Missel romain, IVe prière eucharistique). […]

Je me suis arrêté sur l’importance de faire mémoire de l’action de
Dieu dans l’histoire de l’homme, pour montrer les étapes de ce grand
dessein d’amour, dont témoignent l’ancien et le nouveau Testaments : un
unique dessein de salut adressé à l’humanité entière, révélé et réalisé
progressivement par la puissance de Dieu, où Dieu réagit toujours aux
réponses de l’homme et trouve de nouveaux moyens de refaire alliance
quand l’homme s’égare.

Ceci est fondamental pour un cheminement de foi. Nous sommes dans le
temps liturgique de l’Avent qui nous prépare à Noël
. Comme nous le
savons tous, le terme d’ Â« Avent Â» signifie « venue Â», « présence Â», et
autrefois, il indiquait précisément l’arrivée du roi ou de l’empereur
dans une province déterminée. Pour nous, chrétiens, ce mot indique une
réalité merveilleuse et bouleversante : Dieu a déchiré le ciel et il
s’est penché sur l’homme ; il a conclu une alliance avec lui en entrant
dans l’histoire d’un peuple ; il est le roi qui est descendu sur la
terre, cette pauvre province, et il nous a fait le don de sa visite en
assumant notre chair, en devenant un homme comme nous.

L’Avent nous invite à parcourir à nouveau le chemin de cette présence
et nous rappelle sans cesse que Dieu ne s’est pas soustrait au monde,
il n’est pas absent, il  ne nous a pas livrés à nous-mêmes, mais il
vient à notre rencontre de diverses manières, que nous devons apprendre à
discerner
. Et nous aussi, avec notre foi, notre espérance et notre
charité, nous sommes appelés chaque jour à entrevoir et à témoigner de
cette présence, dans un monde souvent superficiel et distrait, et à
faire resplendir dans notre vie la lumière qui a éclairé la grotte de
Bethléem."

13 janvier : le message doit se limiter à demander le retrait du projet en cours

De Jean-Pierre Maugendre sur Renaissance Catholique :

M"[…] Les manifestations des 17 et 18 novembre
puis du 8 décembre ont exprimé un sursaut inattendu du pays réel.
L’ampleur de la protestation contre Le mariage pour tous
a surpris les médias, le pouvoir politique et… les organisateurs. Ainsi
donc les évêques de France ont encore l’énergie de se battre pour
défendre la loi naturelle et, divine surprise, leur mobilisation est de
nature à entraîner les foules car, tout le monde en convient, les
manifestants sont très majoritairement issus des paroisses ou, au moins,
de culture catholique. Que de grâces !

Cette incontestable mobilisation populaire a été obtenue par la mise en avant d’étranges porte-paroles : une « parodiste Â», « catho déjantée  Â»,
dont le nom est déjà tout un programme, Frigide Barjot, un homosexuel
contre le mariage Gay, Xavier Bongibault, et une militante de « La
gauche pour le mariage républicain Â», Laurence Tcheng. Elle s’est traduite par des manifestations qui se sont révélées très « politiquement correctes Â» avec leur dress code (s’habiller en rose), l’appel à applaudir les kiss-ins
des provocateurs homosexuels présents, leur insistance à dissimuler les
prêtres catholiques, la mise en valeur des représentants de l’islam et
de la « communauté Â» homosexuelle sans oublier les appels à la lutte
contre l’homophobie.

Il faut ici saluer la réussite tactique des organisateurs de La manif pour tous.
En faisant défiler des foules considérables derrière des slogans et des
figures de proue dans lesquelles elles ne se reconnaissent pas (les
témoignages abondent), ils sont parvenus à désorienter médias,
commentateurs et opposants, soudain privés de leurs clichés et de leurs
caricatures. Gustave Le Bon aurait apprécié en connaisseur.

Le paradoxe est qu’il semble que ce soit
à ce prix que les évêques de France aient accordé, cette fois, un
soutien massif à des manifestations clairement aconfessionnelles et
apolitiques. On ne se souvient pas d’un tel enthousiasme pour des
manifestations publiques de prière, ouvertement catholiques et
clairement politiques, qui demandaient, par exemple, le retrait des lois
légalisant l’avortement.

Le problème est que cela a conduit les
figures médiatiques de la contestation à s’en impatroniser les chefs,
autour de mots d’ordre très étrangers, sans doute, aux motivations de
ceux qui sont descendus dans la rue, comme par exemple la revendication
de l’aménagement d’un « Pacs + Â»
(on croit se souvenir que les mêmes
manifestants étaient pourtant descendus dans la rue, il y a treize ans,
pour s’opposer à l’instauration du Pacs pur et simple !).

PTout cela nous rappelle quelque chose : « Que faut-il penser (…) de l’audace et de la légèreté d’esprit d’hommes qui se disent catholiques qui rêvent de refondre la société (…) et d’établir sur terre « le règne de la justice et de l’amour Â»
avec des ouvriers venus de toute part, de toutes religions ou sans
religions, avec ou sans croyances pourvu qu’ils oublient ce qui les
divise : leurs convictions religieuses et philosophiques et qu’ils
mettent en commun ce qui les unit : un généreux idéalisme et des forces
morales
prises « 
où ils peuvent Â» (…) Ce sera une
agitation tumultueuse, stérile pour le but proposé et qui profitera aux
remueurs de masses moins utopistes
… Nous ne connaissons que trop les
sombres officines où l’on élabore ces doctrines délétères qui ne
devraient pas séduire des esprits clairvoyants. Les chefs (…) n’ont pu
s’en défendre ; l’exaltation de leurs sentiments, l’aveugle bonté de
leur cœur, leur mysticisme philosophique mêlé d’une part d’illuminisme
les ont entraînés vers un nouvel évangile. Â»
Ainsi s’exprimait saint
Pie X
, dans sa lettre condamnant le Sillon du 25 août 1910. Ces propos
résonnent aujourd’hui d’une singulière actualité à l’écoute des
déclarations des chefs de file de la manifestation du 13 janvier 2013.
Tout y est : la générosité, le syncrétisme philosophique et religieux,
une forme de messianisme…

Sans doute l’union de toutes les bonnes
volontés est-elle nécessaire lorsqu’il ne s’agit que de s’opposer à une
mauvaise loi. Mais le message doit alors se limiter à demander le
retrait du projet en cours
, sans s’empêtrer dans des revendications
« positives Â» comme l’aménagement du PACS ou la lutte contre la « vraie
homophobie Â». Quant à porter ce message dans l’aconfessionnalité et la
laïcité, qui est l’interdiction de l’expression des religions sur le
terrain public, est-ce une habileté tactique ou une trahison scélérate ?

Une fois encore la ligne de fracture passe comme l’écrivait Dom Guéranger entre « ceux
qui avaient comme premier souci la liberté de l’Église et le maintien
de ses droits dans une société encore chrétienne, et ceux qui
premièrement s’efforceraient de déterminer la mesure de christianisme
que la société moderne pouvait supporter pour ensuite inviter l’Église à
s’y réduire.
 Â»
Un siècle et demi plus tard le débat est
toujours d’actualité, avec comme avantage le recul de l’histoire qui
faisait écrire à René Bazin : « Les hommes utiles dans les révolutions sont ceux qui ne leur accordent rien ; tous les autres font leur jeu. Â»

On ne peut que se réjouir de voir les
évêques de France élever courageusement la voix, après une longue
période de silence, contre la dénaturation du mariage. Mais Mgr Aillet
(Bayonne, Lescar et Oloron) sera-t-il rappelé à l’ordre le 13 janvier
2013, comme le fut ce prêtre lors de la manifestation du 8 décembre, à
Lille, s’il s’avise de répondre aux questions d’un journaliste ? Mgr
Centène (Vannes) devra-t-il ôter sa croix pectorale ? Mgr de Germigny
(Blois) devra-t-il applaudir un kiss-in homosexuel avant d’écouter religieusement un imam ou un homosexuel célèbre prendre la parole devant la foule assemblée ?

Alors qu’un puissant mouvement de
résistance populaire se lève contre la dénaturation du mariage nous ne
manquerons pas de participer à ce rassemblement national.
Mais nous
souhaitons du fond du cœur pouvoir le faire, en communion avec nos
évêques, avec nos prêtres, et dire publiquement, selon ce que nous
sommes, et non dans la quasi-clandestinité, notre opposition publique à
ce nouvel avatar de la culture de mort qu’avait dénoncée Jean-Paul II."

Le Mouvement Initiative et Liberté appelle à manifester le 13 janvier

MExtrait d'un communiqué du Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) :

"le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) appelle ses adhérents et ses sympathisants à participer en masse à la manifestation du dimanche 13 janvier 2013 contre le mariage homosexuel et l’adoption."

Elisabeth Guigou favorable à la dénaturation du mariage et à la privation de père ou de mère

En 1998, lors des débats sur le Pacs, Elisabeth Guigou, alors ministre, avait déclaré qu'il n'était pas question qu'elle reconnaisse le mariage et l'adoption pour les homosexuels. Ce discours circule encore beaucoup sur internet.

10 après le Pacs, elle reconnaissait avoir menti pour arracher la décision des indécis.

Aujourd'hui, elle écrit à ceux qui lui demandent son avis sur le projet de loi :

G"En 1998, en tant que Garde des Sceaux du Gouvernement Jospin, j’ai porté avec conviction le projet de loi sur le Pacte civil de solidarité, qui constituait une avancée majeure en termes de libertés individuelles. Les débats sur le PACS se sont tenus dans un contexte particulièrement houleux. Des propos homophobes injurieux et haineux ont été entendus jusque dans l’hémicycle. Dans ce contexte, j’ai préféré à l’époque distinguer clairement la question du PACS de celles du mariage et de la parentalité. Lier ces différents enjeux aurait en effet compromis toute avancée en matière de droits des personnes homosexuelles.
Depuis l’adoption du PACS, la société française a profondément changé et j’ai moi-même évolué dans mes positions. Je soutiens aujourd’hui fermement l’engagement de François Hollande en faveur du mariage pour tous, qui doit permettre l’union des couples, indépendamment de leur orientation sexuelle.
Je suis également favorable à l’ouverture de la parentalité aux couples de même sexe et donc à l’adoption par les couples homosexuels
. Je souhaite que nous puissions apporter une solution aux situations légales complexes des enfants élevés par des parents homosexuels. En tant que Garde des Sceaux, j’avais d’ailleurs initié de premiers pas en ce sens au travers de la réforme du droit de la famille, qui reconnaissait des droits aux beaux-parents.
Cependant, la question de la filiation me semble encore irrésolue. Il m’apparaît essentiel de distinguer la filiation biologique, qui émane nécessairement d’un homme et d’une femme, de la filiation sociale. Cet enjeu complexe devra faire l’objet d’une réflexion approfondie dans le cadre des débats sur le mariage pour tous."

La Russie veut relancer sa démographie

PLe président Poutine a enjoint les Russes à concevoir plus d'enfants, au moins trois par famille, sous peine de voir le pays s'appauvrir et devenir incapable de "préserver son territoire". Dans son adresse annuelle à la Nation, le président russe a déclaré :

"Il faut mettre en place des conditions favorables, tout d'abord pour les femmes, afin qu'elles n'aient pas peur que la naissance d'un deuxième et d'un troisième enfant ne mette un frein à leur carrière".

Afin d'atteindre cet objectif, il a précisé que les autorités russes examinaient actuellement les moyens d'encourager financièrement les familles.

"Si la nation n'est pas capable de se préserver et de se reproduire (…), alors on n'a même pas besoin d'un ennemi extérieur, car tout s'écroulera tout seul". "pour que la Russie soit souveraine et forte, nous devons être plus nombreux".

La Russie a perdu plus de cinq millions d'habitants depuis la chute de l'URSS en 1991, et des études publiées ces dernières années ont prévu un déclin démographique important.

Marisol Touraine doit couper les subventions publiques d’Act Up

Riposte Catholique publie une lettre ouverte au ministre de la santé et au maire de Paris :

T"C’est avec stupéfaction que nous avons pris connaissance, sur le site de l’association Act Up Paris,
d’un communiqué appelant au meurtre des chrétiens. Plus exactement,
appelant à préparer « les planches et les clous Â». Ce qui peut
s’entendre au moins de deux façons : soit préparer les futurs cercueils
des chrétiens assassinés, soit préparer les croix pour crucifier les
chrétiens qui n’ont pas l’heur de plaire à ce groupuscule déjà connu
pour sa violente rhétorique et ses actions anti-chrétiennes.

Contrairement à ce peu recommandable groupuscule, nous ne sommes pas,
pour notre part, des adversaires inconditionnels de la liberté
d’expression. Il est clair que cet appel au meurtre constitue un acte
punissable par la loi. Mais ce n’est pas à nous qu’il appartient d’en
tirer les conséquences.

En revanche, il y a plus grave, et plus facilement réparable : Act Up
doit l’essentiel de son existence aux larges subventions publiques
reçues de votre ministère et de votre municipalité. Comme contribuables,
surtout à une époque où les finances publiques sont particulièrement
malmenées, il nous semble absolument indéfendables de financer ces
appels au meurtre avec nos impôts.

C’est pourquoi nous vous prions, Madame le Ministre, Monsieur le
Maire, de bien vouloir interrompre immédiatement le financement public
d’Act Up. Si des particuliers ou des entreprises veulent financer ce
type d’associations, grand bien leur fasse. Ils assumeront les risques
judiciaires afférents à leur participation à une organisation appelant à
assassiner des chrétiens. Mais il n’est pas tolérable que l’argent
public serve à cette propagande nauséabonde et mortifère.

A défaut de décision rapide, nous comprendrons que l’argent public
peut être utilisé pour encourager des attitudes délictueuses et nous en
tirerons naturellement toutes les conséquences qui s’imposent."

L’AGRIF appelle à manifester le 13 janvier

Communiqué de Bernard Antony :

A"L’AGRIF qui œuvre contre les racismes antifrançais et antichrétien réagit avec la même détermination
et appelle à un surcroît d’énergie mobilisatrice devant une forme de racisme encore plus abominable, celle de la haine
nihiliste contre la vie et la famille
 :

Contre le déni du droit de naître à des enfants conçus et leur extirpation meurtrière dans le sein de leur
mère.

Contre la dénaturation-destruction du mariage de l’homme et de la femme sur lequel a toujours fondamentalement reposé la
famille, noyau constitutif des sociétés.

Avec l’unanimité de son bureau, j’appelle donc nos milliers d’adhérents à participer à la Marche
pour la défense du mariage le 13 janvier 2013
.

Compte tenu de l’importance immense de l’enjeu de civilisation, s’unissent à cet appel les autres initiatives à
finalités distinctes que j’anime  par ailleurs, à savoir Chrétienté-Solidarité, le Cercle
d’Amitié Française Juive et Chrétienne et l’Institut du Pays Libre
dont les positions sur d’autres plans
n’engagent pas l’Agrif.

Nos militants, partout, en province et  à Paris, s’emploieront dans la discipline à tout faire pour la réussite
d’une immense manifestation d’intérêt non seulement national mais de civilisation et de refus d’une loi de barbarie
moderne que veut imposer le lobby ultra-minoritaire d’inversion-subversion LGBT.

Nous défilerons, comme cela est exigé par le centre d’autorité de la manifestation, sans banderoles, ni
bannières, ni slogans particuliers.

Nous n’en sommes que plus légitimés pour demander à cette direction, et notamment à madame Virginie Merle, alias
Frigide Barjot, de ne pas tout de même trop confondre dans ses généreux appels passionnés, le respect des personnes
homosexuelles avec d’inutiles expressions d’affectivité par trop ostentatoires et exagérées pour leur orientation
sexuelle et qui en deviendrait ainsi comme un modèle.

En effet, ce n’est pas parce qu’elles sont homosexuelles que l’on aime des personnes mais parce que, même homosexuelles, on
doit s’efforcer malgré leurs défauts et les nôtres d’aimer nos semblables selon les commandements d’amour du
Décalogue et de l’Évangile.

Présents avec nombre de militants et amis dès le rassemblement mais sans organisation propre, nous serons heureux dans notre
déambulation de rencontrer nombre de celles et ceux que nous connaissons, toujours fidèles dans la défense de la vie et de
l’avenir des petits enfants contre les idéologies et les lois de l’inversion-destruction nihiliste."

Profanation à Toulon : le député Poisson interpelle le ministre de l’Intérieur

Question posée à l'Assemblée :

P"Samedi 8 décembre, dans la chapelle Saint-Vincent-de-Paul de la base navale de Toulon, le tabernacle a été renversé et cassé, les hosties répandues à terre, le baptistère détruit et l’ambon renversé. En visant le cœur de la foi catholique, ce sont les chrétiens que l’on atteint au plus profond. Beaucoup de catholiques ont ainsi exprimé leur peine et leur souffrance. Ces agissements d’une grande gravité n’ont pourtant fait l’objet d’aucune réaction officielle, et encore moins de la condamnation sans réserve que cet acte aurait pourtant nécessité. Il demande au ministre ce qu’il compte faire pour faire justice de cet acte de vandalisme et plus généralement ce qu’il compte engager pour que cessent ces attaques violentes et répétées contre les lieux de culte en général et les lieux chrétiens, tout particulièrement et régulièrement visés."

Les enfants savent de moins en moins bien lire : problème de sous ou de méthode ?

L'étude Pirls (Programme international de recherche en lecture
scolaire), coordonnée tous les cinq ans dans 45 pays, dont 23 européens,
par l'Association internationale pour l'évaluation des performances
éducatives, révèle que les élèves
français âgés de 10 ans maîtrisent moins bien la lecture que la moyenne
des écoliers européens du même âge
. Et leurs
performances se sont dégradées depuis une décennie. Pire : tous les établissements sont touchés, et même le groupe des très
bons élèves enregistre des résultats en recul par rapport à
la moyenne européenne.

EUne fois le constat fait, comment agir ? Le Monde estime que cette étude justifie les mesures dépensières de Vincent Peillon, le
ministre de l'éducation nationale :

"on pourrait croire que l'enquête Pirls a été commandée par le ministre
de l'éducation nationale pour justifier sa politique. Et pour répondre à
tous ceux qui s'affolent ou s'insurgent de voir le gouvernement
déverser tant de milliards dans le tonneau des Danaïdes de l'école et
recruter des enseignants par dizaines de milliers."

Or, depuis le temps que le ministère de l'éducation nationale avale le budget français, nous savons que le problème de l'école n'est pas un problème de moyen, mais de méthode. Et Le Monde, qui n'a pas encore assimilé le principe de non-contradiction, explique :

"Or ce n'est pas une fatalité, comme
le démontre, notamment, l'exemple des Etats-Unis, bien évalué par Pirls.
Depuis 1997, la lecture y est devenue un combat national. A cette date,
le Congrès a mis en place une commission chargée de faire la synthèse
de toutes les recherches scientifiques sur l'apprentissage de la
lecture, d'identifier les méthodes les plus efficaces et d'établir un
plan de bataille
, le National Reading Panel, qui a sensibilisé de
nombreux Etats de l'Union. Résultat : les écoliers américains ont
nettement amélioré leurs performances en lecture depuis dix ans.
"

C'est bien un problème de méthode pédagogique, mais Le Monde interdit d'en parler :

Si
la France veut sérieusement refonder son école, il est donc urgent
qu'elle sorte de ses vieilles querelles (entre méthode syllabique et
globale, par exemple)
, qu'elle adopte une approche plus scientifique et
tire profit des expériences convaincantes mises en oeuvre à l'étranger.
Le chef de l'Etat a fait de l'éducation, et en particulier de l'école,
une priorité nationale : au-delà des moyens, indispensables, cela
suppose des méthodes, efficaces.
"

Il faut donc trouver des méthodes efficaces qui ne remettent pas en cause les méthodes d'apprentissage de la lecture… C'est le serpent qui se mord la queue.

La mairie de Paris veut faire l’inventaire des biens ecclésiastiques

ILa menace se précise sur l'Eglise à Paris. A la suite de la requête de Cécile Duflot, le Conseil de Paris a adopté mardi un voeu rédigé par les Verts, demandant que le maire de Paris sollicite les congrégations religieuses.
Le voeu propose qu'

"en vue de mobiliser les bâtis vacants sur le territoire parisien, le maire de Paris sollicite les acteurs des congrégations confessionnelles pour engager un travail d'inventaire de l'occupation et des potentialités de ce foncier spécifique".

Les Verts rappellent que le Canard Enchaîné avait listé mi-novembre "plus d'une centaine" de biens immobiliers appartenant à des communautés religieuses, "le plus souvent aux trois quarts vides".

Matraquage homosexualiste

A défaut d'écouter les Français et les arguments solides pour défendre la famille, la gouvernement matraque, au premier rang duquel, Najat Vallaud-Belkacem. Elle a annoncé que la France va accueillir fin mars 2013, donc en plein débat parlementaire sur la dénaturation du mariage, à Paris une conférence
européenne visant à faire avancer l'objectif d'une dépénalisation
universelle de l'homosexualité
.

Elle a aussi affirmé que le gouvernement "ne bloquera pas à tout prix" l'élargissement de la procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes homosexuelles lors du débat parlementaire.

Enfin elle a indiqué qu'elle "passerait saluer les organisateurs au départ de la manifestation" du 16 décembre en faveur du projet de loi.

Astérix et Obélix ont fui la France

AChristian Clavier est parti à Londres, Gérard Depardieu à Bruxelles.

Et plutôt que de se remettre en cause et de remettre en cause les impôts confiscatoires, contraires au droit de propriété privée, la gauche fustige les acteurs.

"La propriété privée et les autres
formes de possession privée des biens « assurent à chacun une zone indispensable
d'autonomie personnelle et familiale; il faut les regarder comme un prolongement
de la liberté humaine. Enfin, en stimulant l'exercice de la responsabilité, ils
constituent l'une des conditions des libertés civiles
». La
propriété privée est un élément essentiel d'une politique économique
authentiquement sociale et démocratique et la garantie d'un ordre social juste
.
La doctrine sociale exige que la propriété des biens soit équitablement
accessible à tous
, de sorte que tous en deviennent, au moins
dans une certaine mesure, propriétaires
, sans pour autant qu'ils puissent les «
posséder confusément»." [DSE 176]

Jean-Marc Ayrault a jugé « assez minable » la décision de Gérard Depardieu de quitter notre enfer fiscal. Le Premier ministre a déclaré :

« Payer un impôt, c’est un acte de solidarité, c’est un acte patriotique ».

Le patriotisme, c'est juste pour payer les impôts…

Le député PS Yann Galut a réclamé la déchéance de la nationalité de l’acteur. En voulant par ailleurs donner le droit de vote aux immigrés qui paient des impôts, la gauche va bientôt rétablir le suffrage censitaire… Et ce n'est pas cela qui fera revenir les riches.

Exilé en Suisse, Gérard Jugnot avait déclaré :

"Je
fais partie de ces gens qui morflent parce que je suis aisé (…) Je ne
trouve pas ça très efficace
".

Le député UMP Françoise Guégot ne votera pas le projet de loi

Le député UMP de Seine-Maritime Françoise Guégot écrit sur son site :

G"[…] Il
est utile de rappeler que le mariage civil français est une institution
républicaine créée "pour protéger la femme et ses enfants nés et à
naître
". Son ouverture aux couples de même sexe entraînerait donc leur
accès à la filiation. En l'état actuel du droit, la filiation est fondée sur l'identification d'un lien maternel et d'un lien paternel.
L'état civil qui définit l'identité d'une personne est donc bien
aujourd'hui sexué et censé être le plus proche de la réalité: il est le
reflet d'une réalité biologique. Le code civil évoque d'ailleurs clairement les termes: "père et mère par le sang" ou "famille d'origine".

Le
projet de loi présenté par le gouvernement retire toute référence dans
notre code civil à la mère et au père au profit du terme "parent".
Ainsi
pour régler la situation de quelques milliers de couples de même sexe,
la loi va supprimer à près de 15 millions de familles, le droit d'être
reconnu comme père et mère de leurs enfants.

[…] Cette question du mariage pour tous est un sujet qui mérite un débat ouvert dans notre société. Il ne peut pas se résumer à opposer les « pour Â» et les « contre Â» de manière frontale. Les
libertés familiales qui sont offertes aujourd'hui doivent être
respectées. 65% d'enfants vivent avec des parents mariés. Il y a donc
plus d'un tiers des enfants de notre pays qui vivent actuellement dans
des familles structurées autrement que par le mariage civil. Il nous
faut en tenir compte sans juger, sans stigmatiser.

Le
rôle de la République est bien de protéger l'ensemble de ses
concitoyens, de leur donner les mêmes droits devant la loi. C'est cet
objectif qui doit primer pour les enfants. Dans cet esprit nous devons défendre les droits de l’enfant et non le droit à l'enfant. Maintenir
l'existence du père et de la mère dans notre code civil qui définit la
filiation, est une nécessité. C’est la base de nos origines, c’est bien
cette existence qui définit notre identité et c’est de là que commence
notre histoire individuelle."

Les Français ne trouvent pas cela normal

2 ANNONCES_FONDATION LEJEUNELa campagne de la Fondation Lejeune rencontre un succès certain. Plus de 10 000 signataires ont déjà fait part de leur mécontentement sur la proposition de loi permettant la destruction d'embryons. Et les cartes de protestation, en rupture de stock, sont en cours de réimpression !

L’affaire de la publicité dans leTélé Obs réveille plutôt qu’elle n’effraye : on ne peut pas parler de l’embryon bien qu’il s’agisse d’un débat démocratique qui a cours en ce moment au Parlement. En faisant preuve d'intolérance, Renaud Dély, directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, a tiré contre son camp.

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