Sous la pression, la ligne Azur corrige son site
Ainsi que le montre Nouvelles de France.
Peut-on pour autant faire confiance aux personnes qui tiennent ce site ? De toute évidence, non.
Les Femen ont des cartes de presse
Les hystériques Femhaines ont des cartes de presse de l’Associated press.
Boko Haram revendique le rapt des Français au Cameroun
Les ravisseurs de la famille française enlevée le 19 février au Cameroun ont revendiqué le rapt. Dans une vidéo, le groupe islamiste nigérian Boko Haram assure détenir les trois adultes et les quatre enfants et exige la libération de certains de ses combattants. Au début du film, Tanguy Moulin-Fournier, le père de famille, confirme avoir été capturé au Cameroun et être en les mains de Jama'atu Ahlus Sunna Lid-Da'awati wal-Jihad, le nom officiel de Boko Haram.
Un preneur d'otages affirme avoir agi car «le président français a déclaré la guerre à l'islam et nous le combattons partout».
Italie : une majorité pour la sortie de l’euro
La coalition de gauche italienne menée par Pier Luigi Bersani est en tête des législatives avec 35 à 37% des votes contre la coalition de droite de Silvio Berlusconi donnée à 29 à 31%. Le Mouvement cinq étoiles (M5S) de Beppe Grillo qui cristallise le vote de contestation en troisième position, avec près de 20% des voix à la Chambre des députés, tandis que la coalition centriste de Mario Monti se retrouve en quatrième position avec près de 10%.
En revanche, Berlusconi serait en tête au Sénat avec 31%, 29,5% pour le centre gauche et 25,1% pour le Mouvement 5 étoiles de Beppe Grill. Les voix des berlusconiens et despartisans de l'ancien comique Beppe Grillo atteignent ensemble plus de 50% des suffrages. Ils prônent l’un et l’autre la sortie de l’euro.
Tout est en place pour un printemps français
De Charles Consigny dans Le Point :
"La semaine dernière, un homme s'est
planté devant une agence Pôle emploi et a mis le feu à ses vêtements
qu'il avait imbibés d'essence. Le temps pour les gens qui étaient lÃ
d'essayer de le sauver, c'était trop tard, il est mort brûlé. On n'est
pas parvenu à décrocher la corde du pendu. À cet homme on avait refusé
des allocations, il n'avait pas suffisamment cotisé, ou pas dans les
règles, quelque chose comme ça. Les médias ont relaté les faits, les
gens qui travaillent à la gestion du chômage ont invoqué leur manque de
moyens, il y a eu quelques larmes de crocodile et quelques larmes
sincères, et puis c'est passé. En Tunisie, c'est l'immolation d'un homme qui a déclenché la révolution, et celles de l'Égypte et de la Libye
ensuite. Chez nous, rien. Chez nous, on mange n'importe quoi, on ferme
les usines, on laisse les narcotrafiquants faire leur loi sur des villes
entières, on déplore tous les jours mille chômeurs supplémentaires, on
assiste impuissants au désastre scolaire […].Comme il l'avait annoncé, le président déjà sortant gouverne dans la
concertation, c'est-Ã -dire en prenant soin de ne rien enlever aux
privilèges catégoriels et individuels et en laissant divers lobbies lui
dicter sa politique : il est faible avec les banques, faible avec les
Allemands, faible avec l'idéologie des sociologues de gauche
(pléonasme), du magazine Elle et d'Harlem Désir (triple
pléonasme), faible avec les syndicats (quadruple pléonasme), faible avec
les barons locaux (quintuple). Il est le roitelet d'Ile-de-France à la
main de vassaux plus puissants que lui."
Et faible avec les révisionnistes du mariage.
"Il faut que le peuple français soit bien ramolli pour ne pas se lever
en masse contre ces coups, quotidiens, permanents, à sa liberté, à sa
dignité, à son histoire."
Le 24 mars, le peuple se lèvera en masse, à Paris, pour converger, à partir de 3 cortèges, vers les Champs-Elysées et la place de la Concorde.
Baisse des ventes de pilules
Les multiples plaintes suite aux risques liés aux pilules de 3e et 4e générations ont provoqué une chute de 23% des ventes de ces contraceptifs et par une baisse générale de 3,5% des ventes de pilules. Le recul des ventes de pilules de 3e et 4e générations a été en partie compensé par une hausse de 16% des ventes de pilules de 1ère et 2e générations.
Cela signifie qu'environ 150 000 femmes ont cessé d'acheter des pilules en France sur 4 274 000.
Apartheid sexuel : flagrant délit de discrimination
… relevé par Nouvelles de France :
"[…] L’EuroLESBOpride (sic), qui a lieu à Marseille du 10 au 20 juillet 2013, fait mieux. « Organisé par des lesbiennes pour des lesbiennes », il affiche la couleur sans complexe et promet « une cité universitaire réservée aux lesbiennes ». Aucune précision n’est apportée si ce n’est que celle-ci se trouve « près de la gare ».
Mauvaises langues, nous avons tout de suite pensé à la Cité U Gaston
Berger que gère le CROUS d’Aix-Marseille, un établissement public Ã
caractère administratif pas franchement dans son rôle s’il se confirme
qu’il facilite un festival qui prône l’apartheid sexuel. En effet,
l’EuroLESBOpride ne se cache pas d’être « non-mixte et ouvert à toutes ». Vérification faite, aucun intervenant annoncé n’a effectivement le mauvais goût d’être du sexe masculin. Au programme, « village lesbien », « soirée fête lesbienne », « espace lesbien » et même « pique-nique et balade au clair de lune ». […]"
Des milliers de chèques envoyés à Delanoë
Le maire de Paris a reçu 9000 courriers avec un chèque de 10 centimes d'euro en moyenne. Il l'avoue lui-même sur France Bleu :
«J'ai reçu un certain nombre de milliers de chèques de 10 centimes d'euros, ce qui fait à peu près 3000 euros en tout. Je ne sais même pas comment je vais faire parce qu'il faut, selon la loi, que je leur envoie un récépissé, ça va me coûter plus cher en timbres que ce qu'ils ont envoyé.»
La mairie indique toutefois :
«L'ensemble de ces courriers est traité par le bureau du cabinet. Ils sont considérés comme des dons, et vont être transmis à la régie de la direction des espaces verts. Quant aux récépissés, on ne doit en fournir que pour les envois d'espèces, qui sont très minoritaires, donc cela ne pose pas de gros problèmes».
La Vie : Pierre Bergé veut recadrer Jean-Pierre Denis
Lu dans La Lettre de l'Expansion :
La Vie est filiale du groupe Le Monde. Journaliste à Témoignage chrétien (qui s'est prononcé en faveur du projet de loi Taubira), Jérôme Anciberro vient de rejoindre La Vie.
La déconstruction méthodique de la famille
François Billot de Lochner dénonce la destruction méthodique de la famille :
"[…] Par la promotion systématique de l’idéologie du genre, fondée
sur la dénaturation de l’homme et de la femme, il est porté atteinte Ã
la famille dans son fondement : il n’y a plus de place pour la
complémentarité naturelle, belle et nécessaire des corps et des cœurs.Par la promotion mensongère du mariage dit « pour tous »
(ce qui est un mensonge, puisque deux sœurs, par exemple, ne pourront
pas se marier), le gouvernement réduit l’institution familiale au niveau
d’un simple contrat, pouvant aboutir à des liaisons officielles
contre-nature, comme dans le cas d’unions de personnes de même sexe.Etape suivante, diligentée par le ministère de l’Education nationale : les enseignants se voient intimer l’ordre de promouvoir la pornographie
gratuite, laïque et obligatoire dans leurs établissements, en utilisant
notamment le site gouvernemental Azur, spécialisé dans l'étalage
complaisant de toutes les pratiques sexuelles. Ce qui est une façon
décisive de tuer le modèle familial fondé sur l'amour humain, et sa
beauté intrinsèque.Pourtant, nos dirigeants estiment que cette œuvre de déconstruction n’est pas suffisante : il faut aussi s’attaquer à notre politique familiale, mise en place avec succès depuis plus d’un demi-siècle. Mettre
"en débat" la fiscalisation des allocations familiales, selon la
proposition de Didier Migaud, le premier président de la Cour des
comptes, c'est accepter d'en effacer le principe même. Celui-ci est
simple : il ne s'agit pas de redistribuer les revenus, mais de compenser
la charge financière lourde qui incombe à ceux qui ont le mérite, vital
pour la nation, de construire une famille. […]Ce débat financier est d’ores et déjà lancé : la déconstruction de la politique familiale
est à l’ordre du jour. Pièce par pièce, nos dirigeants abîment, puis
détruisent le premier cercle fondateur de la vie sociale. Nul doute
n’est possible : si cette déconstruction est menée à son terme, les
dégâts seront immenses, pour chaque individu, pour chaque famille, et
donc pour notre société tout entière."
La question est de savoir si nous voulons donner un statut légal à l’homosexualité
Le père Cédric Burgun, du diocèse
de Metz, membre de la Communauté de l'Emmanuel, enseignant-chercheur Ã
la Faculté de droit canonique de l'Institut catholique de Paris (ICP), dénonce dans Liberté politique l'idée d'une union civile. extraits :
"L’union civile, ou alliance civile, est présentée par certains
opposants au projet de loi Taubira ouvrant le mariage et l’adoption aux
personnes de même sexe comme une alternative sérieuse et raisonnable.
PaCS amélioré ou mariage édulcoré, la formule reviendrait Ã
institutionnaliser une pratique privée, élevée ainsi au rang de norme
sociale. Au dépens du bien commun.Beaucoup de questions
restent ouvertes concernant le « mariage pour tous » et certains
souhaitent trouver, légitimement, des solutions paisibles. Pourtant, il
me semble que l’union civile ne peut en aucun cas être soutenue.
Pourquoi ? Compréhension individualiste de l’union ou du mariage d’un
côté, et institutionnalisation de l’homosexualité de l’autre, sont, Ã
mon sens, les deux erreurs de cette idée.
La
question du droit naturel revient régulièrement comme opposition au
projet de loi sur le « mariage pour tous ». Or il y a plusieurs manières
de voir cette loi naturelle et de creuser les enjeux d’aujourd’hui. Si
le droit naturel semble remis en cause, il nous semble opportun de
considérer que c’est en sa vision moderne (celle de 1789) que les choses
ont basculé ; ce n’est pourtant pas une raison pour proposer des choses
invraisemblables. Et disons-le tout de go : l’union civile proposée par
certains nous entraînera de la même manière que le mariage pour tous. […]Alors
que le mariage (civil) se concevait comme base de la société qui le
protège et le garde, et comme (pour le religieux) le lieu d’une
révélation de ce que Dieu dit à l’homme sur son être et son essence, il
se conçoit aujourd’hui uniquement comme un acte individualiste et
personnel s’enracinant dans la compréhension révolutionnaire des droits
de l’homme. Le « mariage pour tous » ne sera
qu’un acte de plus dans cette « individualisation » de l’homme et du
mariage, coupé de la société et de son histoire. Il ne sera en rien une
évolution dans l’histoire matrimoniale, mais un repli de l’enjeu
sociétal des époux.Mais
ce n’est pas le mariage que veulent certains lobbies gay et autres
associations libertaires. C’est la destruction de la famille et des
repères naturels de la société. Des chrétiens, des catholiques, voire
même certains membres de l’institution ecclésiale, peuvent être tentés,
par « esprit d’ouverture », par peur, ou par inconscience tout
simplement (c’est-à -dire par une conscience non suffisamment éclairée),
de vouloir nuancer les enjeux et proposer une union civile, un contrat,
ou encore un PaCS amélioré. […]Tous
les soutiens à cette fausse bonne idée de l’union civile (comme
certains députés), sous couvert d’ouverture, ont simplement oublié une
chose essentielle : le bien commun. Il ne s’agit nullement de répondre Ã
des demandes individualistes : la question est savoir si nous voulons
donner un statut légal à l’homosexualité. Et répondre par ces artifices
sera de toute manière ouvrir une porte que l’on ne refermera plus.Dans
l’histoire, « l’homosexualité » n’existait pas en tant que telle, mais
des personnes avaient des pratiques homosexuelles. LÃ est toute la
différence. Aucune société ne l’a institutionnalisé en lui donnant un
« statut » de culture, de mentalité, ou de lobbying. Qu’il y ait des
comportements personnels, c’est une chose (et du reste, beaucoup de
personnes homosexuelles ne demandent rien si ce n’est à avoir la
paix !) ; mais voulons-nous institutionnaliser l’homosexualité comme
norme pour une société, c’est-à -dire une norme considérée comme
possible, proposée et encouragée socialement (toute norme répondant au
bien commun répond à ces critères) ? Là est le véritable enjeu.Or
que ce soit le mariage, un PaCS amélioré, une union civile, ou je ne
sais quoi d’autre encore, tout ceci participera d’une manière ou d’une
autre à cette institutionnalisation. Oui, cette question est
politiquement incorrecte, mais doit être posée ! À
vouloir une société qui se sape elle-même en ne se réduisant qu’à la
somme des intérêts privés, alors le mariage disparaîtra, tout simplement
parce que le « mariage pour tous » ne sera qu’un pas de plus dans cette
mentalité individualiste.À partir du moment
où la loi n’est plus là pour sauvegarder le fondement d’une institution
sociale, mais uniquement garantir des droits individuels, le mariage –
ou l’union civile – se réduira immanquablement à un contrat privé où je
devrai pouvoir mettre ce que je veux. Cette union civile, et ses
arguments trompeurs, n’en sont que le reflet le plus immédiat,
croyons-le.Or le nivellement se fait toujours
par le bas : sur le chemin de la destruction du mariage, l’union civile
ne sera qu’une étape. Mais, pour les chrétiens, le choix doit être
clair : cela ne passera pas par nous."
Protéger la vie et aider la mère, est-ce “insidieux” ?
Le Figaro (pas Libé) publie un article contre la "stratégie insidieuse des anti-IVG sur le net". Voilà qui donne le ton. Extraits :
"Se présentant comme neutres et ressemblant à des sites officiels, des sites présentent l'IVG comme un acte douloureux et aux conséquences psychologiques irrévocables."
En quoi serait-ce faux ?
"Mais les témoignages d'IVG postés sur ces sites font tous le récit d'un traumatisme suivi de regrets. «J'ai arraché mon bébé, je l'ai fait disparaître, en gros j'ai tué mon bébé», écrit une certaine Elodie de 23 ans sur ivg.net. L'embryon ou le foetus est systématiquement appelé «le bébé» et la femme enceinte la «future maman». Pas d'opposition frontale donc, mais un message martelé l'air de rien."
Le retour au réel n'est pas accepté par la journaliste Judith Duportail.
On attend que cette journaliste aille faire une enquête sur l'objectivité et l'attention qui règnent au sein du Planning familial. Des journalistes l'ont déjà fait : le résultat est accablant pour ce lobby pro-avortement.
Addendum 21h40 : Dans Le Monde, Samuel Laurent ose parler de "désinformation" alors que la propagande pro-avortement baigne dans les écoles, sur les affiches, à la télévision, à la radio, dans les médias officiels…
Le rapport “Vatileaks” restera secret
Benoît XVI a reçu ce matin la commission des trois cardinaux qui a
enquêté depuis avril au sein du Vatican sur le scandale des
fuites de documents confidentiels, l'affaire "Vatileaks" : le cardinal
espagnol Julian Herranz, le Slovaque Jozef Tomko et l'Italien Salvatore
De Giorgi, accompagnés du secrétaire de la
Commission, le père Luigi Martignani.
Dans un communiqué publié par la Salle de presse du Saint-Siège, on précise :
"Au terme de la mission qui leur avait été confiée, le Saint-Père a tenu
à les remercier pour le travail efficace réalisé, et il s'est déclaré
satisfait des conclusions de l'enquête. Celle-ci, en effet, a permis de
mettre en évidence, à côté des limites et des imperfections propres Ã
l'aspect humain de toute institution, la générosité, la droiture et la
dédition de tous ceux qui travaillent au Saint-Siège au service de la
mission confiée par le Christ au Pontife Romain.""Le Saint-Père a décidé que les actes de l'enquête, dont seul Sa
Sainteté est informé, resteront exclusivement à la disposition du
nouveau Pontife".
Le Cardinal Keith O’Brien ne participera pas au Conclave
L'archevêque d'Edimbourg, au centre d'un scandale de moeurs, qu'il conteste, a démissionné aujourd'hui. Benoît XVI a accepté sa démission. Le cardinal précise qu'il ne participera pas au Conclave.
Récemment, il a affirmé que les prêtres catholiques devaient pouvoir se marier (au lieu de dire que des hommes mariés peuvent devenir prêtre, ce qui est le cas).
Motu Proprio Normas Nonnullas
Le motu proprio de Benoît XVI portant des modifications aux normes
relatives à l’élection du prochain pape a été publié lundi midi. Ce
texte prend un certain
nombre de mesures très concrètes. Tout d'abord, pas question
pour les cardinaux électeurs de manquer à l’appel au début du conclave.
Aucun d’eux ne pourra être exclu sous quelque prétexte que ce soit. Sur
le délai de convocation du conclave, si le pape rappelle le délai
officiel de 15 jours à compter de la vacance effective, les cardinaux auront toute légitimité pour anticiper le
conclave ou pour la repousser à vingt jours maximum.
Au-delà des
détails techniques qui doivent assurer la confidentialité du vote,
comme faire en sorte que les cardinaux n’aient de contact avec personne
entre la casa Santa Martha où ils résideront et la chapelle Sixtine,
Benoît XVI rappelle que le vote par acclamation et par compromis sont
abolis : le nouveau pape devra être élu aux deux-tiers des suffrages des
cardinaux électeurs présents.