Manifestation quotidienne aux Invalides contre la dénaturation du mariage
À partir de dimanche soir 27 janvier, le collectif Laissez nous voter
donne rendez-vous à tous ceux qui, résidant en région parisienne, refusent l'autisme du gouvernement sur la loi Taubira.
De 17h30 Ã 20h, tous les
soirs de la discussion à l'assemblée pour prier, tracter et manifester
publiquement notre opposition.
Esplanade des Invalides côté Air France.
Mobilisation pro-famille dimanche et jours suivants, esplanade des Invalides !
17h30 sur l’Esplanade des Invalides, côté Seine :
Depuis son annonce par le gouvernement, le projet de loi sur la modification du mariage a fait entendre les voix nombreuses et diverses de ses opposants.
Des parlementaires de l’Entente pour la Famille aux professionnels de l’enfance en passant par les autorités religieuses et de nombreuses associations familiales, les opposants au projet ont développé des arguments de fond qui n’ont rencontré que mépris, dénégation et caricature.
Le 13 janvier, nous étions sans aucun doute plus d’1 million dans les rues pour réclamer le retrait du projet. Il se dégage qu’une majorité de Français ne veut pas de cette dénaturation du mariage et de la filiation que le gouvernement prétend nous imposer en catimini, sans débat.
Le collectif pour la famille « Laissez-nous voter » demande l’organisation d’un référendum national, et la mise en place des instances permettant un réel débat de fond sur les enjeux et les perspectives de ce projet.
Le Collectif invite donc à un rassemblement quotidien, sur l’Esplanade des Invalides, à Paris, de 17h30 à 21h. Tous les jours, jusqu’à ce que le Gouvernement nous entendent et nous écoute.
Avec le soutien de nombreux élus, nous serons là tous les jours pour leur faire entendre la voie du peuple français.
Nous ne lâcherons rien !
Suite à l’initiative menée depuis dimanche par le Collectif pour la famille Laissez nous voter et des pères de famille, nous lançons un appel à la mobilisation générale et quotidienne sur 3 points concrets :
- Une présence sur site de 17h30 à 21h00. Rassurez-vous : La température est certes basse mais l’ambiance est bonne.
- Une aide logistique en nous apportant des boissons (par exemple les ingrédients pour du vin chaud, chocolat chaud, café,…) et autres friandises…
- un relai de l’action auprès de tous vos réseaux
REJOIGNEZ ET SOUTENEZ CETTE ACTION et EXIGONS TOUS ENSEMBLE L’ARRÊT IMMEDIAT DU PROJET DE LOI, UN VRAI DEBAT ET UN REFERENDUM
Pour vos questions ou propositions, vous pouvez nous contacter par messagerie : [email protected]
PMA : le gouvernement devrait reculer
Lu dans Le Monde :
"Le gouvernement a beau avoir assuré, vendredi 25 janvier, que la loi
sur la famille, présentée en conseil des ministres le 27 mars, permettra
d'ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de
femmes, l'avenir de la PMA reste incertain. Car, de son côté, François
Hollande a indiqué, vendredi, à l'Union nationale des associations
familiales qu'il souhaitait saisir le Comité consultatif national
d'éthique (CCNE) sur cette question.A deux mois du dépôt du
texte, les agendas semblent intenables. Il sera en effet difficile au
CCNE, organe de réflexion, de rendre à François Hollande un avis si
rapidement, alors que le délai de trois mois que lui a fixé l'Elysée en
décembre 2012 pour s'exprimer sur la problématique de la fin de vie
semble déjà court. Pour le moment, l'exécutif se garde bien de donner
une date précise pour le débat parlementaire ; " tout ce qu'on peut commencer avant l'été est préférable ", avance seulement Matignon. […]Un
président dont les intentions profondes sont difficilement
déchiffrables, un gouvernement désuni, une opposition radicalisée, un
Comité consultatif d'éthique qui s'empare à son tour de la question sans
que l'on sache quand il donnera sa réponse et ce que ferait le
gouvernement si celle-ci était négative : on voit mal dans l'état actuel
des choses comment le projet de loi sur la famille pourrait être
présenté en conseil des ministres dans moins de deux mois. D'autant plus
que, pour ajouter à la confusion ambiante, ni Matignon ni les
ministères concernés ne sont en mesure aujourd'hui de dire précisément
quels sujets seront abordés dans le texte."
Mariage : la question n’est pas celle des droits des adultes, mais des devoirs envers les enfants
Nathalie Heinich, sociologue et directrice de recherches au CNRS, publie une tribune dans Le Monde, sur le mariage. Extraits :
"Il est faux d'affirmer que le
mariage est non seulement l'institution organisant la filiation mais
aussi celle reconnaissant une " communauté de vie " : si c'était le cas,
maints pères pourraient se marier avec leur fille, maintes mères avec
leur fils, maints frères avec leur soeur, puisque nombreuses sont les
familles où existe une telle communauté de vie. Ce que reconnaît
l'institution du mariage, c'est l'existence d'un rapport sexuel dans une
communauté de vie, ouvrant donc à la possibilité d'une filiation.Dans ces conditions, prétendre ne revendiquer le mariage homosexuel que
pour la reconnaissance d'un lien amoureux, et non pas pour la
filiation, revient à exiger de l'Etat qu'il ait un droit de regard sur
la sexualité des personnes (ce que, soit dit en passant, les mouvements
de défense des homosexuels ont longtemps combattu, du temps où
existaient des lois condamnant l'homosexualité). Faut-il accepter, au
nom de l'égalité, que la sexualité entre adultes consentants devienne,
pour tous – hétérosexuels comme homosexuels -, une affaire d'Etat ?
C'est là une conséquence majeure de l'actuel projet de loi, qui
mériterait d'être, pour le moins, discutée.Concernant,
justement, l'argument de l'égalité : il est faux d'affirmer que le
mariage homosexuel serait conforme à l'exigence d'égalité de tous les
citoyens, car une telle exigence n'a jamais existé, en démocratie, que
sur le plan des droits civiques – le droit de vote en particulier.[…] Reste la question de la parentalité
: là , le statut des homosexuels n'est pas équivalent à celui des
hétérosexuels, puisque leur sexualité rend problématique l'engendrement,
sauf à pratiquer la bisexualité ou à recourir à des techniques
artificielles. Nos institutions juridiques ont-elles pour vocation de
compenser les conséquences problématiques que peuvent avoir pour des
individus leur refus de recourir à des arrangements avec l'autre sexe,
en dissociant plaisir sexuel et procréation ? Là encore, le saut logique
et éthique est considérable. Certes, l'on peut toujours modifier une
institution. Mais est-ce parce qu'une modification est possible, ou
parce qu'elle est souhaitée par certains, qu'elle doit être imposée Ã
tous, au prix de bouleversements dont les implications n'ont pas été
réellement discutées, faute justement de réel débat ou d'arguments
sérieux ?[…] En l'état de nos institutions, il faut donc admettre
que le mariage homosexuel ne prend sens que dans une revendication de
filiation : ce qui est d'ailleurs le fondement de l'institution du
mariage, qui consiste initialement (même si cette fonction a été
historiquement élargie par diverses réformes) à donner des parents
légaux (donc une généalogie) à des êtres de chair. Et en effet,
autoriser le mariage homosexuel, c'est ouvrir automatiquement le droit Ã
l'adoption pour les couples homosexuels.La question qui doit se
poser alors n'est plus celle des droits des adultes, mais des devoirs
envers les enfants ; et précisément : quel sera leur état civil ?
Auront-ils accès à l'identité de leurs géniteurs ? Leur propre identité
sera-t-elle inscrite dans la différence des sexes qui a présidé à leur
engendrement, ou bien y aura-t-il déni de cette réalité originaire ?
Sachant l'importance des troubles (parfois psychotiques) liés au secret
ou au déni de l'origine, il serait irresponsable de s'engager dans une
ouverture du mariage, donc de la filiation, aux couples de même sexe,
sans réponse claire à ces questions – principe de précaution oblige. Et
ne parlons même pas ici des problèmes posés par la procréation
médicalement assistée (PMA) ou la gestation pour autrui (GPA), qui ne
manqueront pas d'être exigés, toujours au nom de l'égalité. […]"
Manif LGBT : nouveau bide à Brest
Maville.com voit 400 personnes. J'en compte environ 150 :
A noter que cette manifestation a mobilisé de nombreuses associations : Wet-Up,
Aides, Divers-Genres, Sud, CFDT, UDB, les Verts, le syndicat étudiant
Unef, le Planning familial, etc. Bref : chaque association a mobilisé une poignée de personnes.
Rugby : les belles références de Pascal Papé
Sur Le Salon Beige, très peu de sport, mais une fois n'est pas coutume :
""Si j'avance, suivez-moi, si je recule, tuez-moi, si je meurs, vengez-moi."
Remonté comme jamais et bien décidé à quitter ses partenaires de club
sur une victoire et rien d’autre, avant de rejoindre et de mener les
Bleus dans le prochain Tournoi des Six Nations, Pascal Papé avait fait
sienne cette citation du chef de guerre vendéen Henri de La
Rochejaquelein à l’heure d’affronter ce vendredi les promus grenoblois Ã
Charléty. Placardés sur le paper-board du vestiaire parisien, ces mots,
forts, intenses même, auront à coup sûr inspiré ses coéquipiers
capables non seulement d’équilibrer le bilan des confrontations cette
saison avec le FCG à deux victoires partout, deux semaines après une
nouvelle défaite en Isère dans le cadre du Challenge Européen, mais
aussi et surtout d’y ajouter la manière en signant la première victoire Ã
cinq points de la saison du club parisien (35-6)."
Autres dérapages LGBT
Voici les slogans de demain, récoltés par Le Figaro :
- «Dieu est-il une lesbienne noire?»
- «On veut l'adoption, pas les gosses».
- «on veut des enfants pas naturels»
- «Retirez votre sexe de mon état civil!»
- «face au pont Marie, la reine des inséminées»
- «Poussez pour la PMA»
La pilule tue selon un rapport de l’Agence du médicament
Le Figaro s'est procuré un document confidentiel interne de
l'Agence du médicament daté du 25 janvier, émanant de la direction de la
surveillance. Cette étude concerne Diane 35 (laboratoire Bayer), un
traitement contre l'acné en réalité très largement prescrit comme
contraceptif. Il en ressort qu'au 21 janvier 2013, 7 cas de décès
(toutes causes confondues) ont été enregistrés en France avec Diane 35
dans la base nationale de pharmacovigilance depuis 1987.
A côté de ces décès, il y a aussi toutes les complications sanitaires provoquées par cette pilule.
Violences abominables contre les femmes chinoises. Où sont les féministes ?
Reggie Littlejohn, présidente de
Droits des femmes sans frontières, qui se bat tout particulièrement
contre la politique chinoise de l’enfant unique, a déclaré que
« la politique
chinoise de l’enfant unique a provoqué davantage de violence envers les
femmes que toute autre politique officielle dans l’histoire du monde, en
raison du nombre de femmes impliquées : une femme sur cinq dans le
monde est chinoise ».« Ma question
est celle-ci : où est le mouvement pro-choix ? Que l'on soit pro-vie ou
pro-choix, personne ne soutient l’avortement forcé, puisque ce n’est pas
un choix. Pourquoi le mouvement pro-choix ne condamne-t-il pas
l’avortement forcé en Chine ? Pourquoi ne se dresse-t-il pas contre la
stérilisation forcée ? Pourquoi ne crie-t-il pas contre l’avortement
sélectif des filles ? En ce moment même où je vous parle, des femmes
sont traînées hors de leurs maisons, attachées à des tables, et avortées
de force et stérilisées. Je mets au défi ces organisations de prendre
position. »
L’européisme, cela paie bien
La dernière blague de l'européiste Jean Quatremer :
"Les quelque 1500 fonctionnaires britanniques des
institutions communautaires se sont étranglés en entendant leur premier
ministre proposer, mercredi, un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni Ã
l’Union. Outre qu’ils sont très souvent des fédéralistes européens convaincus,
ils s’interrogent sur leur sort personnel : vont-ils se retrouver à la rue
si le « non » l’emporte ? Vont-ils devoir demander une autre
nationalité pour garder leur job ?"
Défaut de comptage : un policier témoigne
Témoignage d'un lecteur présent hier devant l'Elysée :
"Un policier en civil qui m’a dit avoir été patron d’une équipe en charge de comptabiliser les manifestants du 13 janvier sur le trajet Denfert / Champs de Mars.
Il a comptabilisé 470 000 personnes uniquement sur ce trajet en fin de journée. Il confirme que les chiffres donnés ne sont pas sortis de la préfecture de Police mais viennent du ministère de l’intérieur.
Le policier m’a demandé pardon au nom de la police, il m’a confié avoir honte de ne pas dire cela au grand jour. Il m’a confié que son épouse était dans la manif avec leurs enfants.Concernant la manif de demain, il m’a dit que les chiffres étaient déjà sortis pour la préfecture de police et qu’il y aurait 500 000 manifestants."
“Années 30”, “antisémitisme”, les pro-LGBT tombent dans le délire
Non content de traiter les opposants à la dénaturation du mariage d'homophobes, Pierre Bergé a dénoncé vendredi soir « un humus antisémite, antigay ». Sic.
De son côté, Philippe Villin, banquier d'affaires, homosexuel, ancien vice-président-directeur général du Figaro, a déclaré :
"C'est un devoir vu ma place en France de soutenir sans réserve le projet de loi de François Hollande. Trop d'entre nous ne sont pas encore sortis du placard. Alors que, dans les années 1930, les couples gays étaient au cœur de la vie parisienne, le sujet est redevenu tabou après-guerre."
Tout le monde sait à quoi a mené l'insouciance de la vie des années 30…
Philippe Villin ajoute aussi :
"À droite, un homme en revanche a toujours poussé pour l'égalité absolue des droits pour les homosexuels, c'est Nicolas Sarkozy. À Bercy, d'abord, puis à l'Élysée, il a donné l'égalité fiscale aux pacsés. S'il avait été réélu, le droit à la pension de réversion aurait été ouvert et un contrat d'union civile renforcé établi. Et je n'avais pas été loin de le convaincre à l'été 2011 d'accepter le mariage dans son programme."
Qu'en pensent les nouveaux convertis au sacro-saint mariage Copé et Fillon ?
Enfin, Philippe Villin, qui a le mérite de dire ce qu'il pense, prévient aussi :
"Pour les homosexuels, la pratique de la PMA existe à l'étranger et il s'agit aujourd'hui de trouver un cadre légal. Je comprends que la société française puisse être encore réticente à la GPA mais on y viendra."
Voilà qui est dit.
Nénamoins, il ne compte pas se marier et fait cette révélation :
"Pour moi, c'est une institution trop rigide et religieuse. Je ne suis pas sûr qu'elle convienne ni à notre époque ni aux couples nombreux, tant chez les hétéros que chez les homos, qui souhaitent conserver en transparence une grande liberté sexuelle, garante, de mon point de vue, de la longévité des unions. Dans les années 1930 [une époque idéale visiblement, NDMJ], dans la grande bourgeoisie, maris et femmes vivaient souvent chacun librement et la vie de famille était heureusement et fréquemment en partie dissociée de la vie sexuelle. Et il y avait en plus la soupape des maisons closes. Au fond, l'idéal serait peut-être de remplacer le mariage civil par un contrat d'union civile renforcé et de laisser le mariage aux cultes…"
Bref : la fin du mariage.
“J’ai été très frustré par le manque d’un père”
Témoignage de Loïc Rémy, footballeur international français, à lire sur Nouvelles de France.
Une proposition de loi retirée de l’ordre du jour
La
proposition de loi du sénateur du Cantal Jacques Mézard (RDSE,
Rassemblement Démocratique et Social Européen) instituant l'immunité
juridictionnelle des membres de la Mission interministérielle de
vigilance et de lutte contre les dérives sectaires dans le cadre de
leurs fonctions (Miviludes) a été retirée.
C'est une procédure exceptionnelle de retirer
un texte inscrit à l'ordre du jour.
Un interlocuteur du groupe PS indique :
"La décision (a été) prise lors de la dernière réunion des travaux de la commission, réunion faite le mardi 22 janvier à 14h30".
Le retrait de la proposition de loi en commission des lois
intervient après la publication d'un communiqué de la TFP (laquelle avait justement fait condamner Georges Fenech, ex-président de la Miviludes) diffusé aux 49 membres de la commission des
lois et au secrétariat de celle-ci ainsi qu'à la presse. La Société française pour la défense de la Tradition, de la Famille et de la Propriété s'insurge :
"(…) Si un texte est proposé
pour faire échec à une procédure en cours, alors il s'agit d'une loi
privée conçue pour qu'un individu échappe à la loi générale. C'est
l'instauration d'un privilège exorbitant. C'est la violation des
libertés publiques et individuelles. C'est la négation des principes
fondamentaux du droit et de notre société (…)".
Si une proposition de loi peut-être retirée de l'ordre du jour, un projet de loi aussi…
Manif LGBT : ils ont appelé les syndicats à la rescousse
Lu ici :
"Cinq syndicats (CGT, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires) participeront dimanche
au défilé parisien en faveur du mariage pour tous au nom de l'égalité
des droits. FO et la CFE-CGC refusent de prendre position".
Saisir le Conseil économique, social et environnemental
Lu dans Le Figaro :
"Des citoyens peuvent, en vertu de la loi constitutionnelle de juillet
2008 (modification de l'article 69) et de la loi organique de juin
2010, saisir le Conseil économique, social et environnemental (Cese) par
le biais d'une pétition. Celle-ci doit être «présentée par au moins
500.000 personnes majeures, de nationalité française ou résidant
régulièrement en France. Chaque signataire doit indiquer son nom, son
prénom et son adresse.» Une fois les signatures collectées, un
mandataire adresse la pétition au président du Cese. Il revient alors au
bureau de statuer sur sa recevabilité. Dans un délai d'un an à compter
d'une décision favorable, le Conseil se prononce par un avis en
assemblée plénière sur les questions soulevées et énumère les suites
qu'il propose d'y donner. L'avis est adressé au premier ministre, aux
présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, et au mandataire de la
pétition ; il est publié au Journal officiel. Deux pétitions font
actuellement l'objet d'un examen par le Cese: l'une porte sur
l'éducation au développement durable, l'autre sur la situation
économique des personnes autistes."
Fichier pdf à imprimer, remplir, signer et renvoyer à l'adresse indiquée.
Le Président se veut déterminé ? Nous aussi
"Le président de la République a reçu une délégation du collectif « La manif pour tous ».
Il a réaffirmé sa détermination à voir adopter un projet qui
constitue une grande avancée pour l’égalité entre tous les citoyens. Il
a, notamment, insisté sur l’importance qu’il attache à la protection des
enfants et de toutes les familles auxquelles la loi apportera une plus
grande sécurité juridique.Le chef de l’Etat a, enfin, rappelé que c’est au Parlement qu’il
appartient de débattre dans la sérénité sur ce texte. Et il a écarté de
nouveau l’idée d’un référendum sur cette question conformément Ã
l’esprit et à la lettre de notre Constitution."