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21 novembre : dîner du Cercle Renaissance sur Jeanne d’Arc

600 ans après sa naissance, l'actualité de Jeanne d'Arc :
Grand dîner du CERCLE RENAISSANCE, le mercredi 21 novembre 2012 à 19H45
dans les salons de l'Aéroclub de France, 6, rue Galilée 75016 Paris
Communications :

  • du professeur Jean-Pierre Brancourt, président de l'Association Universelle des Amis de Jeanne d'Arc (général Weygand président d’honneur jusqu’en 1965),
  • de l'Abbé Guillaume de Tanoüarn, fondateur du Centre Saint-Paul, président de l'association"Avec Jeanne",
  • d'Anne Brassié, écrivain
  • de Pierre Maire, vice-président de l'Association Universelle des Amis de Jeanne d'Arc.

Réservations: Cercle Renaissance 138, rue de Tocqueville 75017 Paris – tél: 01 42 27 48 22 (95€ – tenue de soirée).

Mgr Delmas demande à ses diocésains d’agir pour le mariage

Mgr Delmas, évêque d'Angers, a demandé la lecture dans toutes les églises de son diocèse du message suivant :

D"Les débats actuels sur le mariage suscitent une légitime
inquiétude de la part de beaucoup de nos concitoyens. J’en suis témoin depuis
ces dernières semaines. Lors de notre dernière Assemblée des évêques à Lourdes,
nous avons, par la voix de Mgr André Vingt-trois, appelé « les chrétiens, et tous ceux qui partagent notre analyse et nos
questions, à saisir leurs élus en leur écrivant des lettres personnelles, en
les rencontrant et en leur exprimant leurs convictions ».
Nous avons
aussi rappelé que, « comme citoyen, chacun
peut, et peut-être doit, utiliser les moyens d’expression qui sont ceux d’une
société démocratique pour faire connaître et entendre son point de vue ».

Je vous encourage et vous invite à mettre en œuvre ces moyens
d’expression
pour approfondir et faire connaitre l’analyse et le questionnement
de l’Eglise Catholique au sujet du mariage et de la famille. Vous en imaginerez
d’autres dans le cadre paroissial ou de vos mouvements 
: échanges, prière,
etc. Ces moyens doivent en tout état de cause être respectueux de la dignité de
chaque personne et de la démocratie. Les services diocésains « Familles »
et « Cultures et sociétés » vous aideront à les discerner si besoin.

Je compte sur vous et vous dis ma prière fraternelle."

Une croix abattue dans le Rhône

Photo sur l'Observatoire de la christianophobie.

Le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège préoccupé par la dénaturation du mariage

Dans
son éditorial hebdomadaire du samedi, le directeur de la Salle de
Presse du Saint-Siège rappelle la position de
l’Eglise sur le mariage, l’union d’un homme et d’une femme qui
représente « une conquête de la civilisation »
. Le père Lombardi cite trois exemples « préoccupants ». La France bien sûr, avec le projet que l'on connaît, l'Espagne, où la Cour Constitutionnelle a
rejeté un recours contestant la législation existante qui parle de
conjoint A et B, excluant toute référence entre la femme et l’homme.
Enfin aux Etats-Unis, dans plusieurs Etats des référendums se sont tenus
cette semaine sur la question. Le résultat fut là aussi à la faveur du
mariage homosexuel.

L«
Il est donc évident que dans les pays occidentaux, il y a une tendance
répandue à modifier la vision classique du mariage entre un homme et une
femme, ou plutôt à tenter de l'abandonner, supprimant sa reconnaissance
légale spécifique et privilégiée par rapport à d'autres formes d'unions
».

«
Ce n’est pas une nouveauté, mais cela ne cesse de nous surprendre » « est-ce que cela correspond
vraiment au ressenti de la population, parce qu’on n’en distingue pas
bien la logique dans une vision, au long terme, de bien commun ».« Le grand rabbin de
France l'a relevé dans un raisonnement de bon sens : il ne s'agit pas,
en fait, d'éviter une discrimination injuste pour les homosexuels, car
cela doit et peut être garanti par d'autres moyens ».

«La question est d'admettre qu'un mari et une épouse
soient reconnus publiquement comme tels, et que les enfants qui
viennent au monde puissent savoir, et dire qu'ils ont un père et une
mère». «
Sinon, pourquoi ne pas également envisager
une polygamie librement choisie, et bien sûr, pour ne pas discriminer,
une polyandrie ?
»

L’Eglise, conclut le directeur de la Salle de
presse du Saint-Siège, ne renoncera pas à proposer une société qui
accorde une « place spécifique » au mariage entre un homme et une femme
.

26 novembre : débat sur le mariage à Caen

Suite à l'appel lancé par les évêques de la région, le débat se précise.

Joël Bruneau président du groupe UMP au conseil général de Basse-Normandie sera face à Yves Goasdoue député-maire de Flers (PS).

Conférence mardi 13 à Romans / Isère

M

Prochaine revendication : le mariage homosexuel à l’église

GChristophe Girard, militant homosexualiste et maire de IVème arrondissement de Paris (ici à à 9mn25s) :

"Je pense que les prochaines revendications viendront des hommes et des
femmes homosexuels qui ont une religion, qui ont une foi et qui
demanderont à leur église ou à leur temple, en tout cas à leur
communauté religieuse, de célébrer des mariages religieux. Je pense que
ce sera le prochain combat.
"

UE : nouvelle affaire Buttiglione ?

En 2004, l'italien Rocco Buttiglione avait été nommé commissaire chargé de la Justice, des Libertés et de la Sécurité. Sa nomination a entraîné une vive polémique, ses opposants lui
reprochant notamment ses prises de position publiques, présentées comme hostiles à l'homosexualisme, et sa vision de la famille. La commission des Libertés civiques, de la Justice et des Affaires intérieures du Parlement européen a voté une motion de défiance à l'égard du commissaire pressenti. Pour éviter que sa nomination soit rejetée par le Parlement européen, Rocco Buttiglione a fini par présenter sa démission.

Sur son blog, Jeanne Smits nous informe qu'une affaire similaire semble se produire :

T"Le nouveau commissaire européen à la Santé et à la Protection des
consommateurs passe mardi son « grand oral » devant le Parlement
européen, qui a un quasi droit de veto sur sa nomination. Le Dr Tonio
Borg risque fort de la voir rejetée. Pourquoi ? Parce ce Maltais, qui
est chrétien et même catholique, fait l'objet d'une campagne de
dénigrement de la part des lobbies les plus « progressistes » auprès du
Parlement européen qui le taxent d'« extrémisme » parce qu'il est opposé
à l'avortement, au divorce et au « mariage » gay.

Tonio Borg a été désigné par le gouvernement maltais pour remplacer John
Dalli qui a dû démissionner de son poste de commissaire après avoir été
accusé, sur la foi d'éléments circonstanciels et sans preuve directe,
d'avoir été au courant de démarches d'un entrepreneur maltais qui a
tenté d'utiliser ses relations avec lui pour peser sur la législation
européenne du tabac."

Parmi les associations qui lui font la peau : la Fédération internationale du
Planning familial, la Fédération humaniste européenne et l'Association
internationale lesbienne et gay (ILGA) qui compte l'Union européenne
parmi ses bailleurs de fonds, à hauteur de 70 % du budget de sa branche
européenne.

Des établissements réservés aux élèves et aux profs gay, lesbiennes, bi ou trans

Au Canada, ils y pensent.

L'écolution de la société, diront-ils.

A quand la séparation de la maçonnerie et de l’Etat ?

Lu dans Faits et Documents :

"Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a été initié, dès 1982, au sein de
la loge Nature et Philanthropie (GODF) de Lorient.
Le ministre du Budget Jérôme Cahuzac a été initié
au sein de la loge Locarno 28 du GODF".

Conférence lundi 12 à Chateauneuf de Galaure

L

Patrice Carvalho, Front de gauche, contre la dénaturation du mariage

CPatrice Carvalho, Front de gauche, député de la 6e circonscription de l'Oise, affirme :

« Je voterai contre. J’ai voté le
pacs et c’est suffisant. Le mariage, c’est un homme et une femme qui
peuvent concevoir un enfant. La nature n’est pas faite autrement.
» « Ce dossier, ce n’est pas la priorité des Français en ce
moment, c’est de l’enfumage! ».

Mgr Mathieu : Le mariage, avant d’être une question de sentiments, garantit la stabilité sociale et la filiation

Mgr Jean-Paul Mathieu, Évêque de saint-Dié, écrit :

M"Le débat est vif.
Est-il bien lancé ? Le domaine des sentiments est évidemment
respectable. L’amour est une donnée importante dans ce monde où croît la
violence.
L’éducation à la vie affective et sexuelle, qui est du ressort des
familles, doit aussi être relayée dans toutes les instances éducatives.

Les jeunes ont besoin de repères.
Il y a la situation des personnes homosexuelles, que la famille a
parfois du mal à accepter et que la société a souvent stigmatisées. Nous
en connaissons. Elles
ont leur place dans la société et dans l’Église. Nous devons nous
interroger là-dessus.

Pour autant, faut-il remettre en cause un socle essentiel de notre
société ? Le mariage, union d’un homme et d’une femme, donne des repères
clairs sur la famille : avant d’être une question de sentiments, il
garantit la stabilité sociale et la filiation.
S’il y a des situations où ce modèle ne marche pas très bien (mais ce
n’est pas d’aujourd’hui), ça ne veut pas dire que le mariage d’un homme
et d’une femme
est périmé. Si le code de la famille en vient à ignorer la différence
sexuelle, en remplaçant à chaque fois “père et mère” par “parents”, l’on
remet en question cette définition du mariage : cela ébranle un
fondement de la vie sociale et le repère essentiel de la filiation :
repère indispensable dans une société qui n’en a plus guère.

Toutes les religions manifestent leur inquiétude et cherchent à faire
valoir leurs arguments, non pas d’abord d’un point de vue
confessionnel, mais au nom d’une idée de l’homme commune à beaucoup,
même non croyants.

Parmi d’autres, les évêques interpellent les responsables chargés de
faire les lois, ils appellent aussi tout citoyen à entrer dans ce débat
de façon constructive.
Dans le respect de tous."

Le père de François Hollande à l’UMP

Lu dans le dernier Faits et Documents :

"Ne cachant pas ses opinions politiques, Georges
Hollande, père de l’actuel président de la
République, a participé à la réunion de rentrée de
la section UMP de Cannes
, organisée par le maire."

Homosexualité : agir en vérité

Dans Le Monde, William Marx, essayiste et Gilles Philippe, linguiste, signent une tribune contre l'Eglise. Extraits :

"N'oublions pas qu'en 1991 le catéchisme des évêques de France a déclaré "malade" toute société "qui prétend reconnaître l'homosexualité comme une chose normale". N'oublions pas qu'en 2005 […] le Vatican a refusé le sacerdoce aux homosexuels, fussent-ils vierges et chastes. […]"

Aidons-les dans leur charge en rappelant le CEC :

"la Tradition a
toujours déclaré que "les actes d’homosexualité sont intrinsèquement
désordonnés
".
Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la
vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle
véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas."

Et le Compendium :

"Quels sont les principaux péchés contre la chasteté?

Sont des péchés gravement contraires à la chasteté,
chacun selon la nature de son objet : l’adultère, la masturbation, la
fornication, la
pornographie, la prostitution, le viol, les actes homosexuels. Ces
péchés sont l’expression du vice de la luxure. Commis sur des mineurs,
de tels actes sont un attentat encore plus grave contre leur intégrité
physique et morale."

Ceci pour dire qu'il ne sert à rien, comme un certaine catho branchée, d'affirmer que "l"homosexualité est une richesse pour notre société" ou aimer la gay pride (mais plus depuis qu'elle réclamait le "mariage" – alors qu'elle le réclame depuis toujours) ou encore qu'il faut être pour le Pacs (lequel, outre qu'il légitime la reconnaissance des unions juridiques entre homosexuels, a légalisé la répudiation). Agir en vérité, c'est ne pas s'efforcer de cacher non seulement que nous sommes contre la dénaturation du mariage, mais aussi que nous considérons les actes homosexuels comme désordonnés.

Création de l’Académie pontificale de latinité

Benoît XVI a publié aujourd'hui un Motu Proprio créant l’Académie pontificale de latinité :

"Cette nouvelle institution dépendra du Conseil pontifical de la
Culture.
Du coup, la fondation Latinitas créée par Paul VI en 1976 sera
supprimée, rapporte Radio Vatican.

Le latin est la langue
officielle de l’Eglise. Mais depuis la Pentecôte, elle n’a pas hésité à
parler toutes les langues, rappelle le texte du Motu Proprio ("de son
propre chef", lettre émise par le pape de sa propre initiative, ndlr).
La connaissance de la langue et de la culture latine devient de plus en
plus "superficielle". Cela se vérifie jusque dans "les études
philosophiques et théologiques des futurs prêtres", précise le texte.

Paradoxalement,
le pape constate un regain d’intérêt pour le latin hors de la sphère
religieuse à travers le monde
. Aussi Benoît XVI entend soutenir les
efforts en vue d’une utilisation plus importante du latin dans le milieu
ecclésial et dans le monde de la culture. L’objectif est double:
revivifier des études qui s’essoufflent et accompagner un nouvel élan,
indique Radio Vatican.

Les grandes lignes d’action de la future
Académie de latinité veilleront à faire vivre cette langue que l’Eglise
a maintenue depuis la chute de l’empire romain
. Pour cela, "des
méthodes didactiques adaptées" à notre époque devront être mises en
place. "Un réseau entre institutions académiques et universitaires"
devra être promu pour valoriser le patrimoine de la civilisation latine."

Islam, immigration et délinquance : cartographie comparée

Vu ici :

I
Eléments de lecture à lire ici. (Merci à GG)

Lionel Jospin doute de la dénaturation du mariage

 
Encore un homophobe ?

Faire de la communication de droite

Après avoir été journaliste durant
près de 30 ans, Bruno
Larebière a créé une société de
conseil en communication ([email protected]). Extrait de son entretien à Monde et Vie :

M"Le principal obstacle que
rencontre l’« homme de droite » – quelle que soit
« sa » droite –, c’est lui-même
. A savoir […] la certitude – légitime –
qu’étant porteur du « bon sens », les choses doivent
s’imposer par elles-mêmes et n’ont pas besoin d’être
expliquées par une campagne de communication […].
Je pourrais citer aussi une hémiplégie qui lui
fait tenir tout ce qui est émis par des gens de gauche
comme a priori détestable selon un sectarisme
qui, trop souvent, n’a rien à envier à celui de la
fraction la plus bruyante de la gauche […].

Votre réquisitoire est violent…

Il l’est, et, si je l’exagère volontairement, c’est
afin de bien faire comprendre que la communication
est d’abord affaire de méthode avant d’être
une affaire d’imagination. Il est impératif de faire
d’abord sauter les verrous psychologiques de
l’« émetteur » si l’on veut qu’il ait une chance de
se faire entendre du « récepteur ».
Sinon, il ne va
parler qu’à lui-même et à ceux qui sont d’accord
avec lui, ce qui n’a aucun intérêt.

N’existe-t-il pas à droite un complexe
face aux médias, un défaut d’identité,
voire une honte de se réclamer de la
droite et de ses idées?

C’est ce que je vous disais: quand j’entends
parler de la « caste médiatique », cela me fait hurler
.
On confond par cette formule les quelques
grands éditorialistes avec l’ensemble d’une profession composée de personnes qui cherchent avant
tout à faire leur métier. On peut les ostraciser globalement,
si ça fait plaisir, mais qu’on ne cherche
pas ensuite à leur expliquer qu’on n’est pas de
mauvais bougres. L’erreur inverse, tout aussi idiote,
est de chercher à les convaincre qu’on a raison.
Ce qu’on est légitimement en droit d’attendre
d’un journaliste, c’est qu’il rapporte ce qu’on lui
dit et ce qu’on fait, et commente mots et actes sur
la base de la réalité de ce qu’on est
.
Pour ce qui est de la honte de se réclamer de
la droite, cela relève de la difficulté à mettre à jour
son logiciel. Pour beaucoup d’« hommes de droite », la société est la même en 2012 que ce qu’elle
était dans les années Mitterrand et Chirac, que j’associe
dans la chape de plomb du « politiquement
correct » qui a pesé sur la France. Or c’est faux. Les
années Sarkozy, quoi que l’on pense de son action,
ont libéré la parole, ouvert des espaces, fissuré tout
l’édifice de la « bien-pensance » de sorte qu’il faut
être sourd et aveugle pour croire qu’il est encore
tabou de se dire de droite
.

[…] De façon concrète, la droite doit
apprendre à la fois à « travailler en mode projet »,
c’est-à-dire sur un temps court avec des effets immédiats (ce que font très bien les Identitaires), et
accepter de s’investir dans des travaux de fond qui
ne porteront leurs fruits que dans dix, vingt ou
trente ans (ce que font très bien les réseaux catholiques).
Pour ce qui relève purement, ou concrètement,
de la communication, la droite dispose d’atouts
considérables. Je suis profondément persuadé que
nous nous trouvons à une charnière historique de
renversement des perspectives
– là aussi, que la
droite arrête de cultiver un défaitisme paralysant!
– et que beaucoup de choses qui n’étaient plus
audibles le redeviennent
.
En raison de la crise économique et des lourdes
incertitudes pesant sur l’avenir, les Français
retrouvent ces « valeurs refuges » que sont l’ancrage
dans un terroir, le renforcement des liens
familiaux, le besoin d’inscription dans une lignée
via la recherche généalogique, etc. Ce terreau est
extrêmement favorable […]."

Mgr Le Gall : j’encourage les catholiques à prendre leurs responsabilités

Mgr Le Gall, archevêque de Toulouse, communique :

G"Ce qui nous mobilise, c’est la conviction,
fondée en humanité, que le mariage ne peut exister que dans un
engagement public entre un homme et une femme
 ; ce n’est que dans ce
milieu naturel de l’union des époux, au sein d’une famille, que peuvent
naître et grandir des enfants.

Quand je dis nous, je ne parle pas
seulement des évêques récemment réunis à Lourdes, ni des catholiques,
ni des chrétiens qui se prononcent dans ce sens, mais aussi des Juifs,
des Musulmans et bien des personnes de tous milieux ; nous réagissons 
au nom du bon sens, que la théorie du gender tente de miner
depuis plusieurs années.
Avant même d’invoquer des motifs venus de notre
foi, fondée sur la Parole de Dieu et celle de Jésus lui-même, nous nous
plaçons ensemble sur le terreau de l’expérience séculaire des êtres
humains
, consacrée par les religions.

Ne pas remettre en cause la structure même de la société

Nous demandons que la structure même de la société ne soit pas remise
en cause par « un brouillage des généalogies, des statuts et des
identités
 », comme dit le Grand Rabbin Gilles Bernheim, « par une
confusion entre l’égalité et la similitude
 », pour reprendre les mots de
Mohammed Moussaoui, Président du Conseil français du culte musulman en
France.

Nous assistons à un trafic dangereux des relations humaines qui sont
structurelles pour la personne : relations entre hommes et femmes,
entre époux, entre parents et enfants ; ce sont ces derniers qui portent
et porteront les graves conséquences d’un refus d’accepter la condition
humaine différenciée, en sa fragilité certes, mais aussi en sa beauté.
[…]

C’est pourquoi j’encourage les catholiques du diocèse de Toulouse, au
nom de leur humanité et au nom de leur foi au Christ, vrai Dieu et vrai
homme, né de la Vierge Marie, à prendre leurs responsabilités de
baptisés et de confirmés. Il s’agit de porter au monde la bonne nouvelle
– c’est aussi cela la « nouvelle évangélisation » – de la distinction
et de la complémentarité des sexes, de la beauté du mariage et de la
famille, dans la grâce de notre Créateur et Sauveur. Que Dieu nous aide
et nous éclaire ! Je vous bénis de tout cœur."

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