Sur Liberté politique, Jacques Bichot a risqué une estimation du coût de l’immigration :
"Nul ne s’aventure à effectuer un tel calcul, politiquement incorrect, si bien que je n’ai pas eu la possibilité de confronter mes résultats à ceux d’autres chercheurs. Je les indique donc sous toutes réserves : coût de 24 milliards d’euros par an. Mon collègue Gérard Lafay, lors du même colloque, a cherché combien il faudrait dépenser de plus pour avancer vers une intégration de ces populations : rien que pour les personnes actuellement présentes sur le territoire français, il arrive à 12 milliards par an, effort à poursuivre pendant une quinzaine d’années."
Arthurius
Dans son bloc notes du Figaro du 18 novembre 2005 Ivan Rioufol rappelait : « S’appuyant notamment sur les travaux des professeurs d’économie Jacques Bichot et Gérard Lafay, Yves-Marie Laulan, président de l’Institut de géopolitique des populations, estime le coût de l’immigration et de son intégration (éducation, formation professionnelle, logement, santé, lutte contre la délinquance, maintien de la sécurité, etc.) à 36 milliards d’euros par an. Soit 80% du déficit public, 13,5% des dépenses publiques, 3,5 fois le «trou» de la Sécu, 2 fois de budget de la recherche et de l’enseignement supérieur, 87% du budget de la défense… »
FRL
le rapport de Bichot est disponible depuis déjà plusieurs semaines sur le site de l’institut Thomas More ; il me semble avoir déjà mis un lien d’ailleurs sur le Salon beige; je le remets à tout hasard; c’est un site qui gagne à être connu pour ses études sans tabou…
http://www.institut-thomas-more.org/showNews/81
svenhought
Conclusion : il nous en coùterait beaucoup moins cher d’en renvoyer près de la moitié sur dix ans, munis d’un pécule, et cela inciterait les autres à davantage s’intégrer.
Renvoyer 200.000 immigrés par an (par familles entières), avec 10.000 euros par personne, cela ne ferait jamais que 2 milliards d’euros, soit 5,50 % de ce qu’ils nous coûtent par an. Financièrement, il n’y a donc pas d’obstacles, les obstacles sont dans la tête de nos dirigeants pourris.
Prendre des précautions pour rendre leur retour en France impossible est d’une grande facilité avec les moyens biométriques dont les états disposent désormais.
Les naturalisations obtenues automatiquement par le “droit du sol” ne sont que des naturalisations de papier, sans valeur définitive.
Nous n’avons plus besoin des immigrés, si tant est que nous en ayons jamais eu vraiment besoin.
Et si, par extraordinaire, nous avions besoin de quelques immigrés, tournons nos regards vers les pays de l’Est.
Réservons notre argent pour NOS enfants, qui en auront bien besoin pour répondre aux défis de la mondialisation et moderniser notre pays.
Olivier
Le coût de l’immigration a fait l’objet d’une série d’études au FN, rassemblées sous le titre “rapport Milloz” au milieu des années 90 (“Rapprt Milloz; l’immigration sans haine ni mépris” Editions Nationales 1997).
Il y eut un “rapport Milloz 2”, destiné à répliquer aux critiques des sociologues gauchistes qui caricaturaient le sujet invariablement, dès lors que c’étaient des frontistes qui avaient mené l’étude.
Très poussée d’un point de vue scientifique, cette étude chiffrait déjà à 280 milliards de francs par ans le coût de l’immigration…
André
Combien coûte l’immigration aux contribuables français ?
Sujet « politiquement incorrect », sur lequel l’attention a déjà fort heureusement été attirée, essentiellement pour essayer de réduire l’incroyable déficit public de la France.
Cout de l’immigration (selon Arthurius) = 36 milliards d’€uros par an…
Sur le sîte de l’Institut Thomas More, on peut télécharger les 16 pages du rapport de Jacques Bichot (docteur en mathématiques et en sciences économiques, et professeur à l’Université Lyon III).
JP André