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Nous ne sommes plus maîtres chez nous ! La condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’Homme, pour « ne pas avoir rapatrié des filles et petits enfants détenus dans des camps en Syrie » car « nul ne peut être privé du droit d’entrer sur le territoire dont il est ressortissant » pose deux affirmations, d’abord celle de notre souveraineté perdue par une soumission à des règles contraires à l’intérêt de nos compatriotes, ensuite par rapport au retour de ces femmes djihadistes, fanatiques et barbares, traîtres à la France, qui en rejoignant l’ennemi ont renié et lutté contre notre pays.
En jetant leurs passeports lors de leur migration djihadiste, certaines d’entre-elles, se sont positionnées en combattantes et contre le pays dans lequel elles souhaitent l’accueil ou le retour aujourd’hui. Refusons de leur trouver des excuses en mettant en doute leur faculté de discernement par l’embrigadement fanatique islamique. Elles doivent assumer leur choix de renier la France… Quant à leur progéniture, surtout ne les confions pas aux grands parents qui par le départ de leurs enfants en Syrie, prouvent concrètement leur incapacité à éduquer dans l’amour de nos valeurs, de la France et des Français.
Sortons de ces tribunaux internationaux qui nous contraignent contre l’intérêt de nos compatriotes (et nous coûtent cher surtout en période de crise). Être maître chez soi, souverain en son pays ne saurait souffrir aucune exception. La justice française ne connaît pas l’arbitraire, même si les haineux de la France veulent nous le faire croire. Attaquer la police ou la justice y compris verbalement, en mettant en doute leurs intégrités respectives, mériterait une action en justice contre ces tenants de l’islamo-collaborationnisme, fanatiques, intolérants et sectaires.
Les sanctions encourues devraient prononcer une peine d’inéligibilité en plus d’une contrainte de privation de liberté. En aucun cas il ne s’agit de privation du droit d’expression, mais du respect de ceux qui parfois risquent leur vie pour assurer la sécurité des Français. En ce qui concerne les élus, il ne saurait être question de leur conserver une quelconque immunité prenant l’apparence d’une impunité pour privilégiés. Dans ce cas particulier, procéder à de nouvelles élections pour représenter nos compatriotes ne saurait nuire à la démocratie.
Le bon sens le plus élémentaire pose simplement une question : quel est l’intérêt général ? Certainement pas de rapatrier les femmes volontaires pour rejoindre l’Etat islamique dont les barbares criminels ont commis des attentats hyper meurtriers sur notre sol, en particulier à Paris et à Nice… Femmes qui ont enfantées délibérément afin de grossir une population de fanatiques meurtriers et haineux.
La raison d’Etat, dans ce cas particulier, d’un fait se déroulant à l’étranger, ne saurait faire l’objet d’un recours devant une juridiction internationale même si les tribunaux français sont incompétents pour traiter des choix politiques ou intéressant la sécurité de la France. Le gouvernement des juges étrangers et leur ingérence dans les choix souverains de la France ne sauraient être tolérés.
Sortons des contraintes extérieures illégitimes en ne reconnaissant plus les tribunaux internationaux et leurs décisions iniques. Comment admettre que l’on nous impose une vision politique et militante inappropriée des droits de l’Homme alors que nous sommes à l’origine du concept ? Nous n’avons pas de leçon à recevoir de ces organismes… que nous finançons pour nous sanctionner ! La justice Française possède notre entière confiance pour son domaine de compétence. Notre souveraineté ne peut être bafouée plus longtemps.
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Cro-Magnon
Oui, il est urgent de quitter ces sanhédrins vérolés.
CesarevitchAlexei
Les femmes de djihadistes ont brûlé leur passeport —> elles ne sont plus francaises—>la France n’est plus concernée par leur sort —-> que la CEDH aille se faire voir !
cadoudal
la CEDH a la même doctrine que la Justice française;
ce sont les mêmes qui appliquent la même doxa licrasseuse.
Mgr Lefebvre a été condamné par la Cour d’ Appel de Paris pour délit de racisme , la semaine de sa mort.
son crime ? avoir dit qu’il fallait demander à nos dirigeants de s’ opposer à l ‘immigration des musulmans en France.
la Licra a sorti son fouet .
AFumey
Au risque d’aller à contrecourant, ce n’est pas si simple.
Le principe: nul pays ne peut priver un de ses ressortissants de sa nationalité. Pour faire court, chacun se garde ses problèmes et ne s’en défausse pas sur les autres.
Une transgression conduit à une situation dangereuse: sur n’importe quel prétexte – on connait désormais la valeur de “l’encadrement” des lois – tout citoyen pourrait se voir retirer ses droits. Devinez qui serait ciblé en priorité?
Par contre l’idée des “droits” inhérents à la nationalité mérite d’être explorée davantage: droit de vote, d’association, de propriété, de détenir un compte bancaire avec tous ses moyens de paiement, etc.
L’un des droits couramment retiré est bien celui “d’aller et venir” – parfois sans raison ni décision de justice comme dans l’épisode “sanitaire” récent.