Le projet de loi autorisant l’avortement (jusqu’à la 14esemaine) avait été adopté par les députés argentins le 11 décembre par 131 voix contre 117.
Le débat sur l’avortement au Sénat a été organisé le lendemain de la fête des saints Innocents. Il a duré plus de 12 heures et s’est terminé au petit matin par un vote en faveur de la condamnation à mort des tout-petits : 38 sénateurs pour l’avortement, 29 contre, une abstention. Il y a deux ans le texte avait été rejeté avec une majorité de 7 voix.
Communiqué de La Marche pour la vie :
Succombant à la pression du lobby des organisations internationales, le congrès Argentin vote la légalisation de l’avortement.
L’Argentine devient l’une des seule nations d’Amérique du sud, encore largement respectueuse de la vie à naitre, à détruire la première barrière légale qui se dresse pour protéger le fœtus humain. Les élus de ce pays avait pourtant courageusement repoussé le même projet il y a deux ans.
Les scènes de liesse organisées par les associations pro-avortement devant les médias sont répugnantes. L’avortement n’est pas et ne sera jamais un acte banal, encore moins un acte à célébrer.
- La Marche pour la vie regrette ces offensives contre la vie humaine partout dans le monde.
- Elle condamne les pressions pro-avortement des organisations internationales.
- Elle appelle à résister, ici en France, le dimanche 17 janvier à Paris et en visio.
JuanMartinDevoto
Comme argentin, père de dix enfants et grand-père douze petits enfantes, vous pouvez bien imaginer mon état d´esprit après avoir subis l´abominable coup de nos infâmes « représentants », les vénales sénateurs. Et de n´importe quel parti politique, incluses ceux infâmes que se disent catholiques.
On savait que, tôt au tard, ils allaient parvenir à le faire. Les lobbys féministes, médiatiques, les soi-disant « membres de la culture » on foncer a ne pouvoir plus. Bien sûr, avec des tons d´argent et les impositions des très connues organisations et pouvoirs internationales, sous condition de ne pas prêter son secours aux successives gouvernements, les unes pires que les outres en matière politique, sociale, économique.
Mais, aussi, malheureusement la mollesse et la faiblisse de ont était de plus en plus une des plus décourageantes signes de « notre » part.
Nous étions là, la veille du débat, début face au Palais Législative. A vrai dire, plutôt en témoignage, mais avec la presque certitude de la défaite, car il-y-a déjà beaucoup de temps que la absence des voix fort de notre clergé, de nos évêques et même du Pape (justement un argentin ; quel paradoxe).
Imaginez-vous notre douleur en voyant une décadence permanente depuis de des décennies. Ce ne pas le désespoir, même si parfois ces difficile de conserver les forces. Nous gardent, comme même, l’Esperance et grâce à Dieu, Il ne nous abandonne.
Chez nous, nous essayons de nous soutenir de plus en plus entre nous, entre les groupes affins, mais c’est encourageant, en même temps, se sentir proches de ceux que un peu partout, comme vous, mènent sans rien lâcher le bon combat.
Cordialement,
Juan Martín Devoto
lavergne21
Quelle insulte à NOTRE SEIGNEUR en ce temps de sa naissance !