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France : Société

Chronique de la douce France

Lu sur Novopress :

"L’homme de 67 ans, Monsieur Trilles, attaqué dimanche dernier par un groupe de voyous, est aujourd’hui entre la vie et la mort. Rappel des faits : cet homme, peintre en bâtiment à la retraite, père de 7 enfants, promenait tranquillement son chien dans son quartier lorsqu’il a été violemment agressé par une bande de voyous âgés d’environ de 14-15 ans qui l’ont attaqué à coups de pierres. Deux jours après l’agression, ayant fait soigner les multiples blessures causées par la pluie de pierres, la victime se rend au commissariat pour déposer une plainte. Deux jours plus tard il fait un malaise cardiaque.

Le témoignage de l’un des fils de la victime est aussi effrayant que révélateur de cette nouvelle barbarie qui se répand désormais en toute impunité dans les cités françaises. « Aujourd’hui, c’est ton tour ! » ont simplement hurlé les agresseurs à l’encontre de Monsieur Trilles qui n’a jamais eu de réponse à sa seule question : « Mais pourquoi ? » Un acte de violence gratuite, de pur sadisme et de lâcheté absolue. De quoi était coupable Monsieur Trilles ? Simplement d’être français ?"

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3 commentaires

  1. Les lois sont là pour nous empêcher de commenter en toute objectivité ce type d’évènement qui tend à se répandre.
    Liberté? Égalité?? Fraternité???
    Imposture totale !
    Nous ne sommes pas sortis de l’hystérie de la nuit du 4 aout 1789. Au départ une bonne intention généreuse de justice, au final la violence et l’iniquité.
    Plus que jamais, comme le disait si bien Chesterton : “le monde est plein d’idées chrétiennes devenues folles”, devenues folles parce que déchristianisées par les suppôts du singe de Dieu.

  2. — Mais pourquoi ?
    — Parce que c’est la guerre.
    — Pourquoi ? demandait Primo Levi au gardien du camp de concentration.
    — Ici, il n’y a pas de pourquoi, lui répondit le nazi.

  3. pourquoi un point d’interrogation à la fin de cet article.
    Les points de suspension auraient étaient malheureusement plus judicieux.
    Cordialement.

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