Un adolescent de 12 ans est décédé après avoir été tabassé à coups de barre de fer dans la commune des Lilas, en Seine-Saint-Denis, hier soir.
Une bagarre, près du centre-ville, aurait opposé une bande des Lilas à une bande la ville voisine de Bagnolet, dont était originaire la victime. Les voyous étaient munis de barres de fer et de bâtons.
Le 28 septembre, à Garges-les-Gonesses, un garçon de 17 ans avait été roué de coups par des voyous munis de crosses de hockey ou de barres de fer. Il a reçu 67 points de suture au niveau de la tête.
Le 13 septembre à Toulouse, un individu d’origine syrienne a frappé un homme à la tête avec une barre de fer et un pied de parasol. Agée de 40 ans, la victime souffre d’une fracture du crâne, d’une fracture du fémur et de multiples fractures au visage.
F. JACQUEL
Avec une pointe de cynisme, je pense que tant que cela se passe entre bandes rivales, c’est toujours ça de pris. Si la victime l’avait été du fait de l’intervention des forces de l’ordre, intervenant pour s’interposer, comme pour l’affaire Théo et tant d’autres, des policiers auraient été suspendus, mis en examen par une “justice” pusillanime, leurs noms jetés en pâture par tous les média bien pensants, et que sais-je encore.
Fan de ...
votre commentaire est on ne peut plus vrai
Gaudete
Voilà ce qui se passe en macronie et jupiter du fond de ses ténèbres n’en n’ a que faire. C’est le résultat de 30 ans d’avortements car cela rejaillit sur la société mais le dictateur au pieds plats n’est pas assez intelligent pour comprendre cela.
philippe paternot
pourquoi ces petites frappes n’oseraient pas puisque la “justice” les absout .
des égorgements, agressions au couteau (déséquilibrés) sont maintenant quotidiennes.
Reine Tak
Je me souviens d’un Arménien qui, bêtement, parce qu’il en avait marre que les musulmans attaquent la France, s’était fait remarquer en fonçant avec sa voiture sur des gens qui sortaient d’une mosquée. Il n’y eut aucun blessé mais le nom de cet homme avait été jeté en pature dans la presse ainsi que son quartier d’habitation et, je crois, le nom de sa rue.
Qui nous dira au moins les prénoms des petits voyous qui, à coup de barres de fer sèment la terreur dans les quartiers de la Seine Saint-Denis et d’ailleurs ?