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Homosexualité : revendication du lobby gay

Chronique des cinglés

Chronique des cinglés

Nos journalistes découvrent qu’il faut en effet un papa et une maman pour un enfant…

Ils ne sont pas en couple et ont choisi d’avoir un enfant ensemble à RouenL’histoire de coparentalité atypique de Florent, homosexuel, et Pascale, hétérosexuelle, est racontée par la journaliste Sixtine Lys dans le podcast Un papa, une maman. En 11 épisodes, disponibles sur les principales plateformes audio, ils livrent un récit à cœur ouvert, touchant et sans concession. […] 

Florent est comédien et vidéaste et Pascale musicienne. Elle, approchant la cinquantaine, avait laissé cette idée derrière elle. Lui avait très envie d’être papa. « Pour mes amies hétéros, j’étais une sorte d’option au cas où elles ne trouveraient pas le bon compagnon », raconte Florent. « Ce n’était pas facile à vivre. » Il ne souhaitait pas passer par une gestation pour autrui (GPA), ni par une coparentalité à trois vue à l’œuvre avec son ancien compagnon, qui a eu des enfants avec un couple de femmes. « Je voulais que mon enfant ait un papa et une maman », souligne-t-il.

C’est en le voyant interagir avec « ses enfants de cœur », ceux de son ex, que Pascale a vu un père en Florent et a décidé de se lancer dans cette aventure avec lui. Ils se doutent que leur choix posera question à leur fils, né en mars 2021, et c’est en partie pour cela qu’ils ont accepté de témoigner. […] :

Le « coup de foudre amical » entre Florent et Pascale a muté en la construction d’une famille loin des carcans traditionnels, et par aspect assez proche de celle d’un couple divorcé. Chacun s’occupe de l’enfant un certain nombre de nuitées par mois, avec deux nuitées communes. […]

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2 commentaires

  1. J’ai rien compris, pouvez répéter?

    • Ouf ! ça me rassure : je ne suis pas le seul !
      De mon temps – comme on dit – c’était un peu plus simple : on se mariait (un homme et une femme, je le précise, et ça ne posait apparemment de problème à quasiment personne, pas plus que de se demander qui était l’homme, et qui la femme) et on avait des enfants (parfois en mettant “la charrue avant les boeufs”, mais bref, ceci mis à part, la procédure était la même. Et il y avait aussi ceux (voire celles, beucoup moins visibles) qui étaient “de la jaquette”, ils nous foutaient royalement la paix, ne la ramenaient pas trop, et pour ce que j’en connais, n’avaient pas d’enfants et ne réclamaient pas d’en avoir) … ça paraît dingue, non ?

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