Le 25 mars, une femme se rendant à l’hôpital à Prague, pour un examen de routine, a subi un avortement par erreur. D’origine asiatique, la patiente aurait été confondue avec une autre patiente d’origine similaire, qui devait subir un curetage, une intervention pratiquée pour vider le contenu de l’utérus après une fausse couche ou un accouchement. La femme enceinte de quatre mois et en parfaite santé a donc subi cette opération malgré elle, avant de faire une fausse couche.
Comme pour la peine de mort, le risque d’erreur médicale de ce genre nécessite d’interdire l’avortement…
Le porte-parole de l’hôpital a déclaré :
« Nous avons exprimé nos profonds regrets et nos excuses à la patiente et à toute sa famille pour cet événement malheureux et lui avons assuré que nous ferons tout pour atténuer les dégâts autant que possible et la dédommager ».
Comment comptent-ils la dédommager ?
Selon l’avocate de la victime, le personnel aurait dû se rendre compte que la patiente a signé un consentement qu’elle ne comprenait pas. Sic.
En République tchèque, l’avortement est autorisé jusqu’à la 12e semaine de grossesse, quel que soit le motif.
Irishman
Une vie innocente… ce n’est qu’une erreur… un petit ange qui aura été accueilli par le petit Émile !
Il faudrait remettre à l’honneur la fête – ô combien actuelle – des Saints Innocents !
cantor
Encore aurait-il fallu qu’il fût baptisé, mais non, donc il n’est pas au ciel avec Émile.